Rando itinérante avec une chambre

Sujet de dissertation : Choisir, c'est renoncer.

Vous avez quatre heures.
(moi je ne partissipe pas, j'ai déjà la réponse) ;-D

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.: jeanbaPhoto ::: jeanbaBlog :.

On peut faire le choix du renoncement ou renoncer à choisir.
Ayé, j'ai partissipé.

.

<<D'ailleurs airV ne nous a pas vraiment développer le pourquoi de cette règle.

Conceptuel a-t'il dit !

Bonjour à tous,

Un grand merci pour vos nombreux messages.
Cela est très stimulant pour la mise en place de mon projet tant dans ses différents aspects.

Nestor Burma écrivait:
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> Je n'y vois pas une contrainte véritable, plutôt
> une sorte de libération jubilatoire,
> De toute façon après une photo, il y aura
> toujours une photo,
> Fixer une limite permet de s'affranchir de ce
> problème.

Oui la notion de contrainte ne se réfère qu’à la règle, l’objet est d’un autre ordre.
Lorsque j’ai eu cette idée de ne prendre qu’une photo par jour c’était comme si j’allais m’offrir une bulle d’oxygène

> Le coup des filtres c'est vraient un faux
> problème,
> En couleur, et en reportage extérieur c'est
> inutile,
> Et en N&B c'est typé,
> Donc on choisit une esthétique au départ, un
> film et éventuellement un filtre qui restera sur
> l'optique,
> C'est juste au DA de décider.

Dans cette perspective mon choix irait plutôt vers l’absence de filtre.
Je me suis posé la question pensant que l’installation des filtres était «fortement recommandé »
et c’est du poids de gagné.

Alain écrivait:
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> Actuellement je suis sur 1 projet avec d autres
> collègues sur 1 an. L idée est de réaliser des
> prises de vues sur les 23 communes de la
> communauté de communes Vale es Dunes.

Beau projet également dans l’esprit du « style documentaire »

> Je suis le seul argentiste. Je me suis comme
> contrainte 2 peloches 120 en 4.5*6 1 objo fixe de
> 80mn et 2 photos retenues lors de mon editing par
> communes.
Dans mes séries, je me fixe aussi des contraintes, des règles, ou un protocole.
Je trouve que c’est un moyen de se ménager un espace de liberté et de mon point de vue, c’est plus stimulant pour la créativité.

> En numérique les collègues accumulent beaucoup
> plus.
> Oui avec le temps j ai tendance à travailler avec
> contrainte en finale ç aide.

Même si j’ai toujours mon matériel argentique, aujourd’hui je fais principalement des photos en technologie numérique. J’ai beaucoup plus d’années de pratique argentique que numérique, toutefois certaines bonnes habitudes (enfin que je conseilère comme tel) sont passées à la trappe un peu subrepticement. le déclenchement excessif lié au numérique fait partie des éléments (mais il y en a d’autres) qui ont en partie amené cette idée d’une photo par jour.

<<Je me suis posé la question pensant que l’installation des filtres était «fortement recommandé »

Dans les photo club ...

Jean écrivait:
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> Je trouve que cette contrainte assumée d'une
> seule image par jour relève d'une "hygiène
> artistique" tout à fait respectable, même si le
> concept n'existe pas.

Il y a effective cette idée « d’hygiène artistique » qui sous-tend mon projet.
sous la forme d’une recherche de type minimaliste.


> On est là dans une démarche inverse de la
> plupart des projets, elle donnera à l'image
> journalière une valeur bien supérieure
> puisqu'elle contiendra à elle seule un ensemble
> complexe d'émotions vécues le long de la
> journée.

L’émotion sera déterminante dans le choix de la photo du jour.
depuis quelques années je mène des réflexions sur les rapports qui peuvent exister entre ce qu’on nomme le « ravissement » (forme de coup-de-foudre) et l’intuition dans la conception.
Cette notion de « coup de foudre » existe déjà fortement dans une autre série que j’ai réalisée, elle prend une autre forme avec ce projet.


> Elle exprimera aussi peut-être l'effort, la
> souffrance, la détermination.

Ce sont des paramètres qui vont s’en nul doute entrer en jeu dans le choix.

> Les images ainsi réalisées seront comme autant
> de pierres blanches qui marqueront ce chemin de
> pèlerin.

Lorsque j’ai eu cette idée (il y a quelques années maintenant) elles s’est aussitôt associée au chemin de Compostelle et à une prise de vue à la chambre à un point que je ne sais pas déterminer ce qui est à l’origine. c’est un peu l’histoire de l’œuf ou de la poule

ivanr écrivait:
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> Pour faire la bonne photo du jour:
> Parcourir le chemin du jour et noter les
> différentes possibilités
> Faire une sieste pour que le cerveau intègre les
> différentes possibilités,
> Revenir sur la meilleure
> Faire la photo
> Repartir à la fin de l'étape du jour…


Ce serait une technique :),

Je profite de ta boutade pour dire que dans mon esprit, cette idée de photo qui serait « la bonne » n’est pas vraiment présente. Enfin je ne pense pas, il faut que je mette un peu plus de choses à plat pour l’affirmer.
Si toutefois on relie ce concept de « la bonne photo » cela à des paramètres purement photographiques. Beaucoup d’autres vont entrer en jeu comme ceux évoqués juste au dessus.

Le moment de cette photo va aussi marquer l’étape fortement, de manière presque aussi importante que le départ et l’arrivée. Je ne pense pas que je marcherai avec le même « état d’esprit » avant et après ce moment.

Pour ma participation aux mots d'argent, j'applique aussi une règle, une photo par lettre, ça marche parfois ou pas mais c'est toujours stimulant...

Ca demande de se creuser les méninges ou parfois de se laisser aller comme pour ma dernière participation ou j'ai pris l'arrivée d'une étape du tour de France au sténopé...

Par rapport au défi d'Hervé, c'est tout de même plus simple car je peux faire un tour visuel avant de prendre ma décision.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/08/18 09:11 par ivanr.

Ventdesable écrivait:
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> Hello,
>
> Comme l'a signalé plus haut (il y a quelques
> pages...) Nestor : pour revenir sur le choix de la
> chambre en 8x10 pour ce genre de randonnée, mon
> choix serait rapide. La
> (url=https://www.facebook.com/WoodymanProject/]Wod
> yman[/url] est vraiment bien.
>


Hello

Merci beaucoup pour ton avis à propos de la Woodyman.
Comme dit plus haut j’avais lu l’article dans la revue profession photographe.
Un « à priori » lui avait associé un caractère peut-être un peu capricieux que je jugeais incompatible avec mon intention d’avoir le matériel le plus sans souci qui soit pour ne pas avoir à gérer cela en plus.
Mais tous ces avis positifs invitent à aller au delà de cet à priori, et je vais m’y intéresser.

Luc Peiffer écrivait:
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> Pour faire la bonne photo du jour,
> la direction de la lumière solaire a son
> importance,
> sauf si le ciel est gris ...

La lumière va bien sur jouer un rôle, mais plus dans la partie coup de foudre que dans l’aspect photographique. je veux dire par là qu’un ciel gris ne sera pas forcément rhédibitoire.

Et je n’aurai pas une grande latitude quant à la lumière. je ne serai pas dans le cas où on va sur un site à l’heure qu’on juge la meilleure (pour diverses raison d’ailleurs). Je serai sur le chemin à pied tributaire de la course du soleil.

Pour revenir sur la série que j’évoquais au dessus, je cherchais des lumières assez neutres pour éviter tout aspect expressionniste lié aux ombres, et je me déplaçais plusieurs fois pour que ces conditions soient réunies. ici cela ne sera pas possible.

Nestor Burma écrivait:
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> On peut inverser le problème, en randonnée, la
> photographie à faire, c'est la belle lumière,
> une fois par jour cela devrait le faire.

Je serai plus dans ce cas de figure avec la lumière qui ne sera qu’un des paramètres m’invitant à décider du moment choisi.

Jean-Paul Mahé écrivait:
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> Je suis peut-être trop cartésien, mais je ne
> vois pas comment on pourra trouver dans une image
> unique faite au temps T dans un lieu A les
> émotions du temps T+1 dans un lieu B que l'on ne
> connait pas d'avance.
> Il faut considérer le contexte d'une telle
> randonnée: changement de lieu en permanence sans
> les connaitre à l'avance, pas de possibilité de
> revenir sur ses pas (ou peu), généralement un
> objectif à atteindre en fin de journée.
> C'est pour cela que je disais que c'est très
> différant d'une contrainte "une seule image dans
> un seul lieu" ou là en effet on essaye d'y mettre
> toutes les émotions et sensations du lieu.

De ce point de vue, vous avez tout à fait raison,
il est impossible de déterminer à cela à l’avance.

Mais je ne pense pas m’inscrire dans cette démarche, qui est davantage celle qui a guidé ma précédente série.

Ici je serai plutôt dans le cas d’être « saisi » à un moment et de rendre compte de ce coup de foudre dans la foulée, si je puis me permettre.

Alain écrivait:
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> Chacun avance à son rythme, chacun glane son
> souvenirs.

Ruthme et souvenirs vont enrichir le voyage et je gage qu’ils influenceront les choix au fur et à mesure.

La question de la forme finale m’a été posée à plusieurs reprises et je n’y ai pas encore répondu car encore un peu floue dans mon esprit. toutefois je suis quasi convaincu que l’ordre chronologique devrait être respecté. L’autre, même si j’ai encore une petit doute sur ce point précis, est le fait qu’il ne devrait peut-être pas y avoir d’editing.

On peut s'inscrire dans une tendance actuelle : celle de la décroissance.
On pousse à utiliser plus d'électricité au lieu d'apprendre à s'en passer...faut rentabiliser le nucléaire et ces déchets qu'on va laisser à nos enfants.
Alors en photo on peut se dire : less is more !
Décidement se fil est propice à la réflexion avant même d'acoir commencé le camino !

Alain Gillet

[www.alaingillet-auteurdimages.fr]

ean écrivait:
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> Cela ne relève effectivement pas du
> cartésianisme mais de l'instinct, du ressenti, de
> l'affect.

Oui, c’est exactement cela.
c’est ce que j’ai essayé d’exprimer dans mes réponses précédentes avec d’autres mots, mais c’est bien l’esprit.

> En outre, ce pèlerinage est nimbé de
> spiritualité. Hervé ne va pas guetter une image
> toutes les minutes de son raid ou se demander s'il
> aurait avantage à avancer encore.

> A un moment de sa journée il va se dire: "c'est
> ici".

Cette description correspond également à ce que je recherche.
La différence que j’introduirai concerne le fait que l’instant de la décision ne m’appartiendrait pas complètement.
La notion de coup de foudre est associée à celle du rapt dans le sens d’un instant volé.
C’est sur ce point précis que, dans mes réflexions sur les processus de conception, j’entrevois les liens qui lient intuition et ravissement.

> Par ailleurs j'imagine que ce lieu qu'il prendra
> avec lui fera partie de sa quête photographique
> et spirituelle construite pas à pas.
>
> Pour l'instant on est dans la technique.
> Dès que le périple aura débuté, elle aura fait
> place à bien d'autres valeurs.

C’est effectivement in situ que tout cela prendra un sens.
et aussi sûrement un autre sens.

Gabriel écrivait:
-------------------------------------------------------
> Ma modeste contribution á ce fil tiendra en une
> citation: "Ne chassez pas trop les jours du
> seigneur, hommes, mais ne laissez pas non plus
> passer une belle occasion, ce serait repousser les
> dons du Ciel!" (Melville-Moby Dick).
> Pour être moins clair je dirais que je trouve
> suspect de s'imposer des contraintes, comme si le
> sujet n'avais plus d'intérêt en leur absence.
> Une photo par jour n'est pas synonyme
> d'excellence. Je dirais même qu'il est important
> de faire des mauvais trucs. Qui sait si ce que
> l'on estime mauvais aujourd'hui ne sera pas bon
> demain.
> Les photos seront lá pour être partagées, sans
> l'appuis du moindre discours du style "tu sais, je
> portais 40kgs, j'avais un bras attaché dans le
> dos et je ne faisais qu'une photo par jour".
> Quant au reste, avant de faire l'Everest on
> s'assaye sur la Cougourde, puis le Mont Blanc,
> puis...on commencera á avoir une idée de ce que
> l'on mettra dans sa besace.

j’ai, je pense, apporté quelques éléments de réponses dans celles que je viens de poster, mais je vais tenter d’éclaircir davantage mon propos, notamment sur l’aspect des contraintes.

je suis architecte de formation, praticien, et depuis pas mal d’années maintenant enseignant de la conception architecturale. Les contraintes font parties intégrantes de la conception architecturale dans les différents champs : techniques, physiques, historiques, anthropologiques, programmatiques…
Il ne peut y avoir (ou alors il y a, selon moi, un sérieux problème) de conception qui par d’une feuille blanche. On nous apprends à trouver notre espace liberté dans toutes ces contraintes, c’est comme cela que j’ai pratiqué, et comme cela que j’enseigne.
lorsque je fais des incursions dans le domaine photographique, j’ai naturellement besoin de contraintes.
ou dit autrement : sans contraintes je ne sais rien faire.
Il n’y a d’ailleurs rien de pire que la plage blanche pour écrire.

Pour le reste, il n’y a aucune recherche, ou justification, liées aux contraintes, elles sont « moteurs » tout simplement.
Et je suis d’accord, seul l’artefact final à une valeur, la démarche n’est là que pour le concepteur ou pour ceux qui s’intéressent à la fabrique mais n’a pas à interférer avec l’image.

Il n’y a pas non plus de recherche d’excellence dans le fait de faire une photo par jour, je ne pense pas avoir introduit cette notion dans mes propos, si jamais elle transparaît c’est que je me suis mal exprimé.

Si on me demandait de partir pour ce projet (ou un autre d’ailleurs) sans que j’ai mis à plat un certain nombre de contraintes destinées à me guider, je répondrai aussi par une phrase de Melville, tirée de Bartleby, cette fois : I would prefer not to.

Jean-Paul Mahé écrivait:
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> Ok, mais se donner cette règle d'un PF ni plus ni
> moins n'est ce pas cadrer ses instincts?

Oui c’est de l’ordre de la discipline

> L'instinct, le ressenti, l'affect n'aiment pas
> trop les règles.

elles entretiennent un rapport trouble.
Dans mes réflexions sur le processus de conception, ces notions de ravissement et d’intuition sont considérées comme une éléments perturbateur de la mise en place d’une modélisation de la conception, du fait de cette notion de rapt.
c’est une des raisons pour laquelle, je pense que, loin de les masquer, il convient de les introduire dans la modélisation.

> D'ailleurs airV ne nous a pas vraiment développer
> le pourquoi de cette règle.
j’ai essayé de developper au fil de mes réponses à vos remarques et interrogations.
j’espère avoir éclairci un peu ce point.


> Je dis ça moi qui suis pas le genre "mitrailleur"
> et au vu de quelques vieilles discussions ici,
> loin d'être celui qui grille le plus de film par
> prise de vue.;)

le PF par jour va bien entendu à l’encontre d’un effet mitraille que le numérique à aceentué, ce que j’évoquais précédemment,
mais aussi à un aspect un peu plus personnel chez moi qui est celui du choix. J’ai tendance à penser que tout peut être sujet à être photographié, il suffit de regarder. Par moment cette pensée peut atteindre, chez moi une forme de paroxysme qui peut aller jusqu’à l’inhibition. Des périodes plus ou moins longues durant lesquelles il m’arrive d’être incapable prendre des photos, faute de pouvoir effectuer un choix discriminant. Ce projet est notamment né de cela.

jeanba3000 écrivait:
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> Sujet de dissertation : Choisir, c'est
> renoncer.
>
> Vous avez quatre heures.
> (moi je ne partissipe pas, j'ai déjà la
> réponse) ;-D

Oui il y a un peu de ça :)

je viens de commencer à poser les idées principales à développer :)

Jean écrivait:
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> On peut faire le choix du renoncement ou renoncer
> à choisir.
> Ayé, j'ai partissipé.


Moi aussi j’ai commencé ;)

Alain écrivait:
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> On peut s'inscrire dans une tendance actuelle :
> celle de la décroissance.
> On pousse à utiliser plus d'électricité au lieu
> d'apprendre à s'en passer...faut rentabiliser le
> nucléaire et ces déchets qu'on va laisser à nos
> enfants.
> Alors en photo on peut se dire : less is more !
> Décidement se fil est propice à la réflexion
> avant même d'acoir commencé le camino !

Cette participation et toutes se remarques sont vraiment très stimulantes.
Un grand merci à tous.

Dans notre série « Qui peut le plus, peut le moins », voici sur le forum étazunien un gaillard qui est parti pour l'Elbrouz (sommet à 5600 m d'altitude) avec une chambre 13x18. La fin de la vidéo montre la préparation de don sac à dos.

http://www.largeformatphotography.info/forum/showthread.php?147774-On-Elbrus-mount-with-a-large-format

E.B.

"Merci beaucoup pour ton avis à propos de la Woodyman.
Comme dit plus haut j’avais lu l’article dans la revue profession photographe.
Un « à priori » lui avait associé un caractère peut-être un peu capricieux que je jugeais incompatible avec mon intention d’avoir le matériel le plus sans souci qui soit pour ne pas avoir à gérer cela en plus.
Mais tous ces avis positifs invitent à aller au delà de cet à priori, et je vais m’y intéresser."

;-)

Je suis curieux de connaître ce "caractère un peu capricieux" ; dans quelles conditions, pour quelles raisons ?

J

Ventdesable écrivait:
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> "Merci beaucoup pour ton avis à propos de la
> Woodyman.
> Comme dit plus haut j’avais lu l’article dans
> la revue profession photographe.
> Un « à priori » lui avait associé un
> caractère peut-être un peu capricieux que je
> jugeais incompatible avec mon intention d’avoir
> le matériel le plus sans souci qui soit pour ne
> pas avoir à gérer cela en plus.
> Mais tous ces avis positifs invitent à aller au
> delà de cet à priori, et je vais m’y
> intéresser."
>
> ;-)
>
> Je suis curieux de connaître ce "caractère un
> peu capricieux" ; dans quelles conditions, pour
> quelles raisons ?

<<dans la revue profession photographe.

C'est tout, il n'y a pas de raison, tu as déjà lu ce torchon ?

Les contraintes existent, si on les accepte on peut se créer un espace de liberté.
S'en imposer relève plutôt du masochisme c'est la pénitence, le martyre, la souffrance volontaire, sous la promesse d'un final heureux, ce que je vous souhaite.
Il y a aussi la réalité de la route, accepter le chemin tel qu'il se présente, accepter aussi d'en prendre des détours.
Heureux que Hervé (?) aime Melville.

Gabriel
gabrielramon.com

Emmanuel Bigler écrivait:
-------------------------------------------------------
> Dans notre série « Qui peut le plus, peut le
> moins », voici sur le forum étazunien un
> gaillard qui est parti pour l'Elbrouz (sommet à
> 5600 m d'altitude) avec une chambre 13x18. La fin
> de la vidéo montre la préparation de don sac à
> dos.
>
> [url=http://www.largeformatphotography.info/forum/
> showthread.php?147774-On-Elbrus-mount-with-a-large
> -format]http://www.largeformatphotography.info/for
> um/showthread.php?147774-On-Elbrus-mount-with-a-la
> rge-format[/url]

Instructif, merci.
le sac ultralight qu'il présente est du même ordre que l'Osprey Levity dont il était question plus haut.
[url]https://www.ospreyeurope.com/shop/fr_fr/levity-60-2018[/url]
Un litrage identique de 60l, mais 400g de plus pour le Levity. En revanche ce surcroit de poids semble profiter au système de portage qui apparait nettement plus sommaire sur le sac de la vidéo.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/08/18 13:48 par airV.

Ventdesable écrivait:
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> Je suis curieux de connaître ce "caractère un
> peu capricieux" ; dans quelles conditions, pour
> quelles raisons ?

Il s'agit, comme je l'avais écrit, d'un simple à priori.
A la vue des photos et de la lecture d'une phrase l'article (je ne l'ai pas sous les yeux), pourtant élogieux, je trouvais que c'était très différent de la mécanique arca.
Donc rien de véritablement fondé dans ces réticences.

Nestor Burma écrivait:
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> C'est tout, il n'y a pas de raison, tu as déjà
> lu ce torchon ?

Je ne connaissais pas cette revue.
Je l'ai prise pour la première fois à la vue de la woodyman qui figurait sur la couverture

airV écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> > C'est tout, il n'y a pas de raison, tu as
> déjà
> > lu ce torchon ?
>
> Je ne connaissais pas cette revue.
> Je l'ai prise pour la première fois à la vue de
> la woodyman qui figurait sur la couverture

C'est juste un torchon professionnel, mal écrit, peu de compétence, mal illustré, sensé défendre la profession, en fait juste le gros des troupes, c'est à dire les boutiquiers et ceux pour qui la photo d'identité est le cœur de la production.