soucis plans film 8x10" FP4 HP5 Foma 100

Bonsoir à toutes et tous,
j’ai un petit soucis avec des plans films 8x10” Ilford HP5 et FP4 et les Fomapan 100
Des fines lignes grises apparaissent sur certains négatifs, elles sont bien évidement visibles sur une surface unie comme le ciel et ( invisibles ) pour des prises de vues d’arbres, forêts, etc.
L’ÉMULSION N’EST PAS GRIFFÉE, MAIS IMPRESSIONNÉE ! moi de même !
D’autre prises de vue sur HP5 et FP4 ( 3 sur 13 ) comprenant une partie de ciel et ayant eu exactement le même traitement ne manifestent pas ce phénomène; les Fomapan 100 ont eux - pour la même prise de vue à quelques minutes d’intervalle un autre phénomène.
Fotoimpex à qui j’ai acheté ces plans film en septembre 2019 a accepté après avoir reçu les scan que j’envois un plan film pour vérification; les FP4 ont le n° 78BFM1CO2/06 4 ok > juin 2023 les HP5 ont le n° 82BHK1CO1/05 3 ok > octobre 2022 les Fomapan 100 ont le n° 021354 - 04 ok > janvier 2023 je suis en contact avec Foma Bohemia Czech Republic qui étudie le problème.

Tous ces plans film ont été:
chargés quelques heures ou quelques jours (max) avant les prises de vue dans une tente de chargement 8x10” Photoflex neuve, dans des châssis d’occasion qui ont été vérifiés ( aucunes infiltrations de lumière après un test avec papier photo et bain de lumière 2, 3 minutes MAIS vous verrez plus loin que des traces aux bords se sont révélées - le papier ne serait-il pas suffisamment sensible pour ce genre de test ? ).

Lors du chargement dans les châssis, j’ai vérifié au mieux l’absence de poussière cad: une table de travail propre, l’utilisation d’une loque très légèrement humide si nécessaire, et d’un compresseur + aérographe ou un pinceau doux avant d’introduire les châssis dans la tente.
Tous les châssis chargés ont été stockés dans un plastic noir papier photo.

Des prises de vues identiques avec du Fomapan 100 n’ont pas révélés ce phénomènes - mais un autre ( sur le tirage: petites et nombreuses tâches blanches disséminées parfois en forme d’arc ) !

Les prises de vue terminées, les plans film ont été stockés pendant 1 mois dans un plastic noir de papier photo ensuite une boite de papier photo 8x10”; il y avait une feuille de papier A4 coupée en 2 servant d’intercalaire et reprenant une courte légende de la prise de vue afin de m’y retrouver au développement.
Enfin, sortis de leur boite et sac noir dans l’obscurité totale et développés avec du HC110 1+49 à 22°c ( HC110 préparé avec eau du robinet ).

Tous les traitements ont été réalisés de la manière suivante: chaque plan film SEUL dans des cuves plates de 24x30cm avec le volume liquide ( eau - révélateur - fixateur - eau ) suffisant mais pas trop pour éviter de renverser, soit 1000ml de liquide, le niveau est à 1,1cm, l’émulsion vers le haut.
Voici mon processus de développement:
1. pré-mouillage à l’eau à température du révélateur 60” - je soulève les 4 coins de la cuve sans arrêt
2. bain du révélateur HC110 - je soulève les 4 coins de la cuve pendant 30” puis 10x toutes les 60” ( coin gauche haut, bas droite - haut droit, bas gauche )
3. bain d’arrêt à l’eau 40” - je soulève les 4 coins de la cuve sans arrêt
4. bain de fixage AGFix 3’ - je soulève les 4 coins de la cuve 20” toute les 1’ ( mode idem révélateur )
5. un 1er bain d’eau ensuite 4 bains d’eau renouvelée suivant la méthode de Mr. Rolf Suessbrich, le dernier avec de la Volvic + agent mouillant puis le séchage.

Voici des scan du phénomène
Il y a 2 artefacts sur la droite milieu de chaque image ou haut si cadrage vertical, des ovnis dans le scanner ( un Epson V700) .

La 2016 Collioure est du Foma 100 avec sa légion de tâches blanches + voilage à gauche.
La 2017 est du HP5 même prise de vue à 1 minute près, au centre entre les anneaux de Newt-Epson une belle grappe de lignes, + une ligne vertical floue à gauche et une nette à droite.
La 2018 Port Vendres est du FP4 avec au centre entre les anneaux de New-Epson une grappe de lignes.
La 2019 est du HP5 même prise de vue à 10’ près, la grappe plus visible.
La 2020 Seynes-les-Alpes est du Foma 100 avec sa légion de tâches blanches + une ligne vertical floue à gauche et une nette à droite.
La 2021 est du FP4 même prise de vue que la 2020 Foma
La 2023 est du FP4 prise de vue 1h après les 2020 et 2021 et celle-ci cumule avec des tâches blanches identiques au Foma !

Auraient-ils révélés des particules venant du sol de la maison ( près de Digne les Bains ) ?

Mystère ! ! !



2016 Foma 100 [zupimages.net]
2017 HP5 [zupimages.net]
2018 FP4 [zupimages.net]
2019 HP5 [zupimages.net]
2020 Foma 100 [zupimages.net]
2021 FP4 [zupimages.net]
2023 FP4 [zupimages.net]

Bonsoir,
Concernant votre Foma de 2016, j'ai eu le même phénomène sur du 4X5 mais plus récent.
J'ai supposé qu'il s'agissait d'électricité statique...

Bonjour,
J utilise aussi FP4+, HP5+ et Foma 200.
J ai parfois quelques soucis mais rien de suffisamment récurrent pour mettre en cause les fabricants de film.
Au sujet de vos problèmes rencontrés avec 3 modèles de films bien différents, je chercherais encore du côté du chargement, du stockage, des poussières, des châssis, des cuvettes, de l eau... bref de tout votre environnement.

Sebastien

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Je pense aussi que le phénomène provient de votre environnement et non de la fabrication des plans film (plusieurs marques).
Le problème est de savoir à quel niveau.
Je ne pense pas que le fait de stocker les PF exposés avec des intercalaires papier, de plus avec des inscriptions, soit une bonne idée. Quel papier? Inscrit avec?
D'autant que 1 mois c'est assez long.

RECTIFICATION:
LE HC 110 EST PRÉPARÉ AVEC DE LA VOLVIC !

Merci seb88

à Jean-Paul:
le papier est un habituel à photocopier, écrire, faire des avions ! en A4 blanc
et un Bic comme celui-ci: [www.google.com]

Montre bracelet luminescente pendante le chargement ou traitement?

bonjour Marcel, non rien de ce genre ( à part ma "propre radioactivité " )

Je dirais une marque par simple pression au cours des manipulations du film avant développement.
Cela change la sensibilité locale et au développement on obtient une légère montée de densité mais aucune trace sur la gélatine.

Cela n'a rien à voir avec les émulsionneurs c'est juste une question de manipulation ...

Voilà ce que je pourrais dire, une bague ou une alliance peut provoquer ce genre de défaut ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/02/21 09:39 par Nestor Burma.

Vu la multiplicité des émulsions et fabricants - dont la régularité de fabrication est établie- il me paraît très probable que cela provienne de votre process.

Ou alors vous avez vraiment la poisse..

Nestor Burma écrivait:
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> Je dirais une marque par simple pression au cours
> des manipulations du film avant développement.
> Cela change la sensibilité locale et au
> développement on obtient une légère montée de
> densité mais aucune trace sur la gélatine.
>
> Cela n'a rien à voir avec les émulsionneurs
> c'est juste une question de manipulation ...
>
> Voilà ce que je pourrais dire, une bague ou une
> alliance peut provoquer ce genre de défaut ...

Oui, il m'est arrivé une fois d'avoir ce genre de traces à l'endroit où on attrape le PF pour le sortir du chassis avec un ongle un peu agressif...
Peut être des poussières un peu dures lors du stockage des PF exposés pas bien "calés"?

Bonjour Henri

lors du développement ( évidement MAINS NETTOYÉES ET SÉCHÉES, AUCUNS BIJOUX ) :
je décharge les châssis en enlevant entièrement le volet
puis je soulève le plan film avec l’ongle du majeur gauche ( limé de manière adéquate )
ensuite avec le pouce, l’index et le majeur, je glisse le plan film hors des guides du châssis
je transporte le plan film vers la cuve de développement avec ces 3 doigts tenant le BORD côté 8” et de l’autre main, un coin calé dans la paume droite avec l’index sur la tranche
je pivote le plan film entre les pouces, index, majeur des 2 mains pour le glisser dans le 1er bain.
au passage d’un bain à l’autre, je relève la cuvette, ce qui crée une onde dans le liquide permettant de glisser index et majeur sous le plan film et l’attraper avec le pouce direction le bain suivant . . .

Donc, je ne touche pas le centre du négatif où se trouve les lignes grises.

Serait-il possible qu’un effet physico-chimique côté émulsion du à un contact ( à déterminer ) puisse sensibiliser l’émulsion ?

Etienne écrivait:
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> Donc, je ne touche pas le centre du négatif où
> se trouve les lignes grises.

Perso je le touche,
Parfois au chargement pour un contrôle,
Et systématiquement au développement en cuvette que je fais par 12,
Et je n'ai plus de trace depuis des années,
Mais bien sûr, j'en ai eu, depuis 1971 il s'est passé du temps et des plan-film, en 8x10 je double mes PdV c'est plus sûr ...

en 120, je mets deux films dans une spire en virant les billes qui servent à faire avancer les films.
Je fais ça depuis des années, je touche partout, je presse la courbure pour prendre appui et faire avancer le film.
Par moment je me dis "Vasy mollo, t'es trop pressé", je n'ai jamais eu de pb de traces.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/02/21 01:15 par Toai.

Je réitère l'hypothèse de particules agressives glissées entre les PF lors du stockage post exposition ( vous nous avez bien dit dans votre premier message que les PF avaient été stockés dans une boite après exposition avant développement). Ces particules se déplacent au moment du "calage" ou à chaque rajout de nouveau plan film.
J'ai déjà constaté ce phénomène sur des PF découpés par mes soins à la cisaille et stockés en boite.
Au moment du réglage et essai de la cisaille à la lumière du jour j'avais pu observer la production de particules de support de PF. (surement due à une cisaille en mauvais état)
Mais cela reste bien sûr qu'une hypothèse.

Pour l'autre phénomène de taches blanches je l'ai déjà constaté sur du film Foma et je crois que je ne suis pas le seul, bien que vous l'avez eu une fois sur de la FP4?

Pour le voile en bord d'image j'incriminerai moins les châssis proprement dit que le contact entre ces derniers et le dos de la chambre au moment ou le volet est retiré.

Toai écrivait:
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> en 120, je mets deux films dans une spire en
> virant les billes qui servent à faire avancer les
> films.
> Je fais ça depuis des années, je touche partout,
> je presse la courbure pour prendre appui et faire
> avancer le film.
> Par moment je me dis "Vasy mollo, t'es trop
> pressé", je n'ai jamais eu de pb de traces.

tout pareil !

:-D

Etienne, c'est votre scanner ou il y a du zonage dans tous vos ciels ! Avez vous essayer un tirage contact pour voir ?
N'ayez aucune confiance dans un scan !

+1 avec Daniel...

à Jean-Paul: les particules viendraient des feuilles de papiers, très probables, la tranche déchirée du papier laisse se disperser des tout petits bouts / poussières et le geste de déposer dans le sac un nouveau plan film + une demi feuille a pu entrainer un frottement entre le plan film inférieur et la demi feuille.

Mais ensuite, il faudrait une action du genre électricité statique qui agisse entre ces particules et l’émulsion, sensibilisant ainsi à un endroit donné le plan film; est-ce possible ?
Mais dans votre cas Jean-Paul, vous deviez avoir des griffes, des particules arrachées de PE du plan film ont du faire du dégat; pour mes négatifs, je répète il n’y a aucunes griffes.

Oui, c’est curieux le FP4 qui cumule les 2 phénomènes, dans votre cas, sur quel Foma et en avez-vous trouvé la cause ?

Concernant le voile en bord d’image, la chambre est une Woodyman neuve, les châssis tous d’occasion.
Les ressorts plaquant le châssis ne seraient pas suffisamment costauds ?
Je vérifierai avec une lampe dans le soufflet, châssis introduit, le volet enlevé; en solution, je vois mal du feutre aux parties 8”, il serait tôt ou tard arraché.


à Daniel:
oui, malheureusement, ça se retrouve sur les tirages contacts !

Pensez-vous qu’il y aurait une piste du côté de l’électrostatique et de son action sur l’émulsion ?

Nestor Burma écrivait:
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> Je dirais une marque par simple pression au cours
> des manipulations du film avant développement.
> Cela change la sensibilité locale et au
> développement on obtient une légère montée de
> densité mais aucune trace sur la gélatine.
>
> Cela n'a rien à voir avec les émulsionneurs
> c'est juste une question de manipulation ...
>
> Voilà ce que je pourrais dire, une bague ou une
> alliance peut provoquer ce genre de défaut ...

Si une bague peut provoquer une montée de densité sans trace sur la gélatine pourquoi pas une poussière agressive?
Je ne pensais pas à des poussières de papier assez douces mais plutôt à des plus dures captées par les châssis au moment de la prise de vue ou dans la tente au moment du déchargement.
J'avais eu des taches blanches (sur positif) parfois sous forme de bandes tout le long du PF avec de la Foma 200, j'avais conclu à un défaut de fabrication. C'était il y a quelques années.
Parfois si le volet coulisse un peu mal au moment de le retirer on peut très légèrement décoller le châssis sans s'en rendre compte ce qui provoque un léger voile sur les petits cotés non protégés (mais je ne connais pas le dos des Woodyman

Jean-Paul Mahé écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
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> > Je dirais une marque par simple pression au
> cours
> > des manipulations du film avant développement.
> > Cela change la sensibilité locale et au
> > développement on obtient une légère montée
> de
> > densité mais aucune trace sur la gélatine.
> >
> > Cela n'a rien à voir avec les émulsionneurs
> > c'est juste une question de manipulation ...
> >
> > Voilà ce que je pourrais dire, une bague ou
> une
> > alliance peut provoquer ce genre de défaut ...
>
> Si une bague peut provoquer une montée de
> densité sans trace sur la gélatine pourquoi pas
> une poussière agressive?

La gélatine, même légèrement marquée, retrouve sa position après traitement ...

Je ne crois pas aux poussières de papier dans ce type de défaut ...

à Jean-Paul:
”des poussières captées par les châssis ”
ce serait l’électricité statique qui produit cela, je ne sais pas si la tente de chargement neuve permettrait d’autant plus ce phénomène, mais les poussières ”aimantées ” sur les châssis seraient par la suite attirées vers le centre des négatifs et leur déplacement sensibiliserait par sa lumière le négatif ainsi causant les lignes, ” des poussières éclairantes ” en quelques sortes !
Je ne sais pas, mais la curiosité c’est que pour des même prises de vue un même processus de manipulation et de développement, 3 films différents révèlent un problème du même ordre ( une sensibilisation inattendue de l’émulsion ) mais d’expression différente suivant la marque de film.

” on peut très légèrement décoller le châssis sans s'en rendre compte ce qui provoque un léger voile sur les petits cotés non protégés”
oui, c’est possible, aux prochaines prises de vue, je veillerai à appuyer le dos presseur sur le châssis; le dos de cette Woodyman possède 2 velours noirs sur chaque côté 10” et logiquement rien aux 2 côtés 8” car l’avancée du châssis poussera - décollera à la longue le velours.

Personne ayant des connaissances sur une interaction possible de l’électricité statique sur l’émulsion, grain d’argent, tout ça ?

merci pour votre partage

J’ai remarqué quand j'arrache le scotch des films 120 ça flash dans tous les sens ... des beaux éclairs (ou arc d’électricité statique devrais-je dire) illumine pour ainsi dire le labo. Pourtant je n’ai jamais vu ni de traces ni de voile sur ces films.

Etienne écrivait:
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> Personne ayant des connaissances sur une
> interaction possible de l’électricité statique
> sur l’émulsion, grain d’argent, tout ça ?

Des connaissances expérimentales, oui, comme tout le monde j'ai vu les étoiles bleues, des micro éclairs que l'on ne peut voir que dans le noir complet. J'ai eu des plan film qui étaient impressionnés par ces micro éclairs, cela fait de petit zébra bien dessinés très différents de vos "défaut" et proche des bords de film. Et d'autre part ces éclairs sont clairement visibles, difficile de ne pas s'en rendre compte ...

Daniel Elbaz écrivait:
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> J’ai remarqué quand j'arrache le scotch des
> films 120 ça flash dans tous les sens ... des
> beaux éclairs (ou arc d’électricité statique
> devrais-je dire) illumine pour ainsi dire le labo.
> Pourtant je n’ai jamais vu ni de traces ni de
> voile sur ces films.

Observation semblable de mon côté, à la différence près que des traces de ces dégagements d'énergie sous forme lumineuse sont encore visibles sur le film après développement de la partie en contact avec le scotch maintenant disparu.

Luc Peiffer écrivait:
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> Daniel Elbaz écrivait:
> --------------------------------------------------
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> > J’ai remarqué quand j'arrache le scotch des
> > films 120 ça flash dans tous les sens ... des
> > beaux éclairs (ou arc d’électricité
> statique
> > devrais-je dire) illumine pour ainsi dire le
> labo.
> > Pourtant je n’ai jamais vu ni de traces ni de
> > voile sur ces films.
>
> Observation semblable de mon côté, à la
> différence près que des traces de ces
> dégagements d'énergie sous forme lumineuse sont
> encore visibles sur le film après développement
> de la partie en contact avec le scotch maintenant
> disparu.

J’avoue ne jamais avoir fait attention sur la partie où il y avait le scotch, qui de toute façon fini à la poubelle.
Mais je regarderai avec attention la prochaine fois si j’ai des petites zébrures !

Je n'enlève jamais le scotch pour cette raison,je me contente de le déchirer à ras.