Flash magnesium ?

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Flashgun à ruban de magnésium circa 1900-1920

Excellent état cosmétique, fonctionne mais n'a pas été testé avec le ruban de magnésium.

Informations générales sur les flashes à ruban de magnésium

Les premières photographies au flash utilisaient un ruban ou une poudre de magnésium, enflammé sur un plateau, pour produire un bref éclair de lumière vive, pendant environ 1/10e de seconde. Cette technique n'était pas sans danger évident et dégageait beaucoup de fumée, d'odeur et une retombée de cendres blanches.

Pour prendre des photos au flash, il fallait monter l'appareil sur un trépied, ouvrir l'obturateur, enflammer le ruban ou la poudre, puis refermer l'obturateur.

Poudre flash

L'utilisation de la poudre flash, à base de magnésium, s'est poursuivie (au moins) jusqu'au milieu des années 1950, car les premières ampoules flash (à partir de 1930) étaient d'un coût prohibitif pour de nombreux amateurs.

Kevin MacDonnell, dans le magazine Photography de janvier 1981, décrit l'utilisation de la poudre de flash "...un mélange explosif de poudre de magnésium, de chlorate de potassium et de sulfure d'antimoine, qui me faisait froid dans le dos, quelle que soit la fréquence à laquelle je l'utilisais". Il poursuit : "Fournie en deux bouteilles, la technique consistait tout d'abord à verser une partie de la poudre de magnésium de son récipient sur une feuille de papier pliée. Vous replaciez ensuite le bouchon de liège dans la bouteille et la mettiez de côté. Ensuite, vous versez une partie du "composé d'allumage", composé des deux autres produits chimiques, de son flacon sur le magnésium posé sur le papier et vous replacez à nouveau le bouchon. Les deux poudres sont ensuite secouées doucement. Et maintenant, la partie la plus excitante ! Vous aviez un flashgun complet avec un plateau métallique avec une poignée et une forme d'allumage. Celui que j'ai utilisé avait un marteau comme celui d'un fusil de chasse qui, lorsqu'il était relâché, tombait sur une énorme capsule explosive, tandis qu'un autre fonctionnait comme un vieux pistolet à roulette, une roue en acier actionnée par un ressort tournant contre une pierre à feu. Vous armiez le flashgun, versiez le contenu du papier plié sur le plateau, teniez le pistolet au-dessus de votre tête, décapsuliez la lentille, prononciez une courte mais pieuse prière et pressiez la détente. Si tout se passe bien, une feuille de flamme blanche est produite, d'une hauteur de 6" à un pied (12" = 300mm), selon la quantité de poudre. Mais si vous n'aviez pas de chance, deux choses pouvaient se produire. Par temps humide, ou si les bouteilles n'avaient pas été bien bouchées, la poudre pouvait " s'agglomérer " et alors, au lieu d'un flash, vous obteniez une véritable explosion comme celle d'une petite grenade à main qui, si vous aviez été généreux avec la quantité de poudre, pouvait vous faire sauter les doigts ! Ou bien, lorsque vous appuyez sur la gâchette, il ne se passe rien du tout et la réaction naturelle est d'abaisser l'arme et de regarder dans le plateau. L'action perturbait la poudre et la balle pouvait exploser pendant que vous la regardiez. Tout le monde avait une histoire horrifiante à raconter sur la poudre flash."

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Le 24 janvier 2009, vers 13 h 20, l'employé n° 1, qui travaille pour une entreprise de services d'entretien, utilisait des outils manuels sans étincelle pour gratter les résidus de magnésium et la calamine sur la porte et les surfaces intérieures d'un four de brasage sous vide Honeywell Aerospace n° 4 Al. Un collègue utilisait un aspirateur industriel Tiger Vac pour ramasser les résidus de magnésium. Lorsqu'un tas de magnésium fumant est entré dans l'aspirateur, la poussière à l'intérieur s'est enflammée. Des flammes se sont échappées de l'échappement de l'aspirateur et ont brûlé le dos et le bras droit de l'employé n° 1. Il a été transporté à Little Company of Mary, puis transféré au Torrance Memorial Medical Center, où il a été admis pour le traitement de brûlures au troisième degré, qui ont nécessité des greffes de peau.