Road trip" saint jacques"

mingmonk écrivait:
-------------------------------------------------------
> Bonjour,
>
> << La position du photographe au Rolleiflex est
> beaucoup plus route de Saint-Jacques que tous les
> fusils photographiques même en 645 ...
> D'un côté l'appareil du respect du sujet, proche
> de la zénitude et au fort capital sympathie, de
> l'autre le fusil des mariagistes qui ne ratent
> jamais leur cible ...>>
>
> J'ai voyagé en Birmanie, en Indonésie (Java,
> Sumatra, Bali, Florès), en Inde (Ladakh, Zanskar,
> Spiti), en Bolivie, en Argentine... eh bien,
> figurez-vous, monsieur Burma, je n'ai jamais
> considéré les personnes photographiées comme
> des proies. D'ailleurs, je ne 'shoote' jamais, je
> ne prends jamais de photos volées...

ET ?

Ce n'est pas vous qui pouvez déterminer quoi que ce soit,
Mais le ressenti des population qui subissent nos invasions,
Et de ce côté le Rolleiflex gagne la médaille du moins invasif possible ...

> Vous devriez savoir, et au vu de vos immenses
> connaissances vous le savez, j'en suis certain,
> que le Fuji 645 présente une latence au
> déclenchement ; donc, cet appareil est plutôt
> destiné à des portraits posés. On prend le
> temps de photographier, on discute, on sourit, on
> échange.

Le fusil aussi connait ce problème de latence, et il tire quand même ...
C'est une question d'attitude, l'attitude est déterminante,
Et le Rolleiflex induit une attitude ...

> Vu que cet appareil n'est pas imposant,
> intimidant, léger, passe-partout pour un
> moyen-format, il est un bon compagnon de
> voyage...

Ce n'est pas la question,
Le volume de l'appareil n'a aucune importance,
Tout est dans l'attitude,
Le Rolleiflex propose un langage du geste qui devient très facilement un passeport ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/08/21 15:35 par Nestor Burma.

Electrostradivarix écrivait:
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> En plein dans le mille, Marc ;-)

Pourtant la photographie grand format fonctionne plutôt en miles ...

Pourquoi vous emmerder, comme R.L. Stevenson il y a un siècle et demi louez une bourrique et vous pourrez emporter tout le matos possible et imaginable et satisfaire l'adage : qui peut le plus peut le moins.
Et le soir au bivouac vous pourrez lui parler de Sensitomètrie.

On n'est plus au XXème siècle, le rapport à l'appareil de prise de vue a peut-être changé depuis les téléphones qui photographient, les fusils photographiques pointés sur nous dans les supermarchés les lieux publics, les rues des villes et même parfois des villages.
Je ne pense pas que les pèlerins du Saint Jacques soient une tribu qui a échappé à cela...

Jean-Paul Mahé écrivait:
-------------------------------------------------------
> On n'est plus au XXème siècle, le rapport à
> l'appareil de prise de vue a peut-être changé
> depuis les téléphones qui photographient, les
> fusils photographiques pointés sur nous dans les
> supermarchés les lieux publics, les rues des
> villes et même parfois des villages.

Sans aucun doute ...

> Je ne pense pas que les pèlerins du Saint Jacques
> soient une tribu qui a échappé à cela...

Ce sont possiblement des ploucs comme les autres, il y a vraiment de tous les âges et toutes les nationalités ...

Jean-Paul Mahé écrivait:
-------------------------------------------------------
> On n'est plus au XXème siècle, le rapport à
> l'appareil de prise de vue a peut-être changé
> depuis les téléphones qui photographient, les
> fusils photographiques pointés sur nous dans les
> supermarchés les lieux publics, les rues des
> villes et même parfois des villages.
> Je ne pense pas que les pèlerins du Saint Jacques
> soient une tribu qui a échappé à cela...

Le rapport a sans doute changé, et les pèlerins sont certainement concernés, mais je le trouve plutôt paradoxal: l'acte photographique me semble de plus en plus contesté, souvent par ceux-là même qui ne cessent de l'utiliser pour exhiber leur existence vernaculaire sur les réseaux sociaux..

L'acte photographique a toujours eu et a encore plusieurs raisons d'être.
Par le progrès scientifique et technique, les conditions de vie de l'homme se sont améliorées.
Le progrès (de la peau de bête à la couverture de survie) apparait comme un moyen qui conduit l'humanité au bonheur.


Reste à déterminer pourquoi les pèlerins photographient.
Les réseaux sociaux seraient-ils les albums où on expose n'importe quoi ?

J'en connais qui ont la nostalgie de ce que cela fut (le chemin, pas la photographie).


Félix Leclerc écrivait:
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Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Ils m'ont porté de l'école à la guerre
J'ai traversé sur mes souliers ferrés
Le monde et sa misère.
...
Sur mes souliers y a de l'eau des rochers
D'la boue des champs et des pleurs de femmes
J'peux dire qu'ils ont respecté le curé
L'pays, l'bon Dieu et l'âme.
...
Au paradis, paraît-il, mes amis
C'est pas la place pour les souliers vernis
Dépêchez-vous de salir vos souliers
Si vous voulez être pardonnés ...

Bonjour,

> Bonjour,
>
> << La position du photographe au Rolleiflex est
> beaucoup plus route de Saint-Jacques que tous les
> fusils photographiques même en 645 ...
> D'un côté l'appareil du respect du sujet, proche
> de la zénitude et au fort capital sympathie, de
> l'autre le fusil des mariagistes qui ne ratent
> jamais leur cible ...>>
>
> J'ai voyagé en Birmanie, en Indonésie (Java,
> Sumatra, Bali, Florès), en Inde (Ladakh, Zanskar,
> Spiti), en Bolivie, en Argentine... eh bien,
> figurez-vous, monsieur Burma, je n'ai jamais
> considéré les personnes photographiées comme
> des proies. D'ailleurs, je ne 'shoote' jamais, je
> ne prends jamais de photos volées...

>ET ?

>Ce n'est pas vous qui pouvez déterminer quoi que ce soit,
> Mais le ressenti des population qui subissent nos invasions,
> Et de ce côté le Rolleiflex gagne la médaille du moins invasif possible ...

Tout simplement, je n'ai pas vécu ce que vous affirmez avec le Fuji 645ZI.
Et, justement, que faites-vous du ressenti du photographe ? Prendre en photo une personne contre son gré, quel que soit l'appareil, et bien que - je vous l'accorde - il puisse exister des appareils plus appropriés pour le faire, me semble bien incongru, étant donné que le photographe portraitiste agit dans une sphère de communication intersubjective ... A mon avis, un photographe portraitiste qui ne ressentirait pas qu'il agresse, incommode la personne photographiée, cela n'existe pas...
Quant au << ressenti des populations qui subissent nos invasions>>, c'est une affirmation partiellement fondée, et donc partiellement infondée. Elle renvoie à des problèmes d'ordre politique, économique, éthique, culturel, subjectif et intersubjectif bien trop complexe... pour savoir quel appareil utiliser lors d'un 'road trip Saint-Jacques'.

Cordialement,

Philippe Richard

ok il y a des pelerins mais pas que.. je ne veux pas oublier que l'on croise des personnes et des personnages parfois .. il n'y a aucune mystique dans ma démarche ;-) juste rencontrer cette région, le chemin n'est qu'un lien qui relie des endroits dont j'ai eu envie de faire le portrait..demarche simple, sans se torturer les boyaux de la tête

mingmonk écrivait:
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> Tout simplement, je n'ai pas vécu ce que vous
> affirmez avec le Fuji 645ZI.

C'est juste un constat, il devient de plus en plus difficile de travailler librement,
Le Rolleiflex et la posture du photographe font un excellent passeport,
C'est un constat que l'on peut faire sur toute la planète,
Tous les photographes ayant aujourd'hui un Rolleiflex,
Vous le diront sans détours ....

> Et, justement, que faites-vous du ressenti du
> photographe ?

C'est une toute autre question, sans rapport avec le côté soft d'un Rolleiflex ...

> Prendre en photo une personne contre
> son gré, quel que soit l'appareil, et bien que -
> je vous l'accorde - il puisse exister des
> appareils plus appropriés pour le faire, me
> semble bien incongru, étant donné que le
> photographe portraitiste agit dans une sphère de
> communication intersubjective ...

Il ne s'agit pas forcement de photographier une "personne",
Mais avant même de déclencher,
Les "fusils" portés à l'épaule,
Soulèvent souvent des protestations véhémentes,
Le Rolleiflex ne le fait pas ...

> A mon avis, un
> photographe portraitiste qui ne ressentirait pas
> qu'il agresse, incommode la personne
> photographiée, cela n'existe pas...

Pourquoi recentrer sur du Portrait, ce n'est qu'un cas particulier ...

> Quant au << ressenti des populations qui subissent
> nos invasions>>, c'est une affirmation
> partiellement fondée, et donc partiellement
> infondée.

Vous ne cernez pas bien la question ...
Oui l'appareil photo est invasif,
Il serait temps d'en prendre conscience ...

> Elle renvoie à des problèmes d'ordre
> politique, économique, éthique, culturel,
> subjectif et intersubjectif bien trop complexe...
> pour savoir quel appareil utiliser lors d'un 'road
> trip Saint-Jacques'.

Il suffit de le vivre, et de constater que le photographe aujourd'hui, pour travailler librement, a besoin d'un ambassadeur,
Et le Rolleiflex est parfaitement à sa place dans cette fonction ...

Le Minuteros est lui aussi un très bon ambassadeur, mais plus gros, plus lourd ...
Comme un grand nombre d'appareils que l'on installe sur un pied,
Le pied rassure ...

Il y a un aspect du bi-objectif (ou de la visée verticale) qui n'est jamais abordé et que je considère comme le plus décisif á l'heure d'un choix. Je passe sur l'acceptation ou le côté moins invasif *(pour moi c'est du doux délire) mais le point du vue á hauteur de nombril avec l'obligatoire contre plongée á courte et moyenne distance est ce qui va influencer le plus le rendu photographique. On aime ou pas, mais on ne fait pas la même photo si on déclenche á hauteur d'oeil ou de nombril. On peut consulter á l'heure actuelle les images de Luis Baylon, (luisbaylon.com), pour moi le meilleur utilisateur actuel du Rolleibi, toutes ses images de rue ont ce point de vue si caractéristique qui permet de reconnaître le type d'appareil utilisé.
*C'est le photographe qui, en ne photographiant pas ce qu'il a devant lui, se sentira moins invasif, et non le sujet qui se verra moins agressé.

Gabriel
gabrielramon.com

> *C'est le photographe qui, en ne photographiant
> pas ce qu'il a devant lui, se sentira moins
> invasif, et non le sujet qui se verra moins
> agressé.
ça demande un petit developpement..
si il faut utiliser la chambre à visée orthogonale.. je ne suis pas trop fan. je prefere de loin lier connaissance avec le sujet, echanger, et une fois que la confiance est établie, je demande.. si c'est oui c'est ok si c'est non... eh bien on continue la discute et on ne parle plus de photo...

Après deux voyages à St Jacques plus du partiel. Les plus belles photos qui me restent sont celles prises avec Deux Yeux plus l'assistance des de Deux oreilles.
Bon ok pour une expo va ne va pas le faire.
Mais je n'ai pas besoin d'une expo

Hello
mon point de vue sur la chose...
puisque vous avez commencé le chemin initiatique de la photo en randonnée, en partant d'un SLR pour en arriver à un TLR...
... poussez un peu + loin le raisonnement et choisissez un folding!
Le TLR est une grosse brique assez fragile de la MAP, certes, pas très lourde mais bien encombrante!
Avez-vous réellement besoin de la MAP au dépoli pour des sujets à 2~5m? ou l'infini?
On trouve des folding en 6x6 et 6x9 avec des optiques type Tessar dont le résultat / rendu peut être surprenant!
Si vous avez un peu + de ronds, le Plaubel Makina est très qualitatif.
Personnellement, pour un tel projet, je prendrai un petit Zeiss Ikon avec soit un Tessar soit un Novar F3.5. Il est difficile de faire + léger en MF et cela se range dans une poche de poitrine.
On trouve des versions japonaises (CERTO, Mamiya...) qui semblent aussi intéressantes, notamment avec des optiques Zuiko...
Si vous tenez au TLR, alors je préférerai un Rolleicord "à bouton" (avance) plutôt qu'un Rolleiflex "à manivelle" car ils ne nécessitent pas trois bras...
En version moderne, il y a le Fuji/voigtländer 6x6/6x7...
J.Ph.

Re-bonjour,

"Si vous tenez au TLR, alors je préférerai un Rolleicord "à bouton" (avance) plutôt qu'un Rolleiflex "à manivelle" car ils ne nécessitent pas trois bras..."

+1

et tant qu'à faire, au risque de me répéter, un Rolleicord Vb qui ne vous décevra pas (si il est en bon état).

Jean-Pierre RADO

Gabriel écrivait:
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> mais le point du vue á hauteur de nombril avec
> l'obligatoire contre plongée á courte et moyenne
> distance est ce qui va influencer le plus le rendu
> photographique.

C'est ce que j'ai nommé posture du photographe,
Qui se penche et baisse fortement son point de vue ...

amansjeanphilippe écrivait:
-------------------------------------------------------
> Hello
> mon point de vue sur la chose...
> puisque vous avez commencé le chemin initiatique
> de la photo en randonnée, en partant d'un SLR
> pour en arriver à un TLR...
> ... poussez un peu + loin le raisonnement et
> choisissez un folding!
> Le TLR est une grosse brique assez fragile de la
> MAP, certes, pas très lourde mais bien
> encombrante!
> Avez-vous réellement besoin de la MAP au dépoli
> pour des sujets à 2~5m? ou l'infini?
> On trouve des folding en 6x6 et 6x9 avec des
> optiques type Tessar dont le résultat / rendu
> peut être surprenant!
> Si vous avez un peu + de ronds, le Plaubel Makina
> est très qualitatif.
> Personnellement, pour un tel projet, je prendrai
> un petit Zeiss Ikon avec soit un Tessar soit un
> Novar F3.5. Il est difficile de faire + léger en
> MF et cela se range dans une poche de poitrine.
> On trouve des versions japonaises (CERTO,
> Mamiya...) qui semblent aussi intéressantes,
> notamment avec des optiques Zuiko...
> Si vous tenez au TLR, alors je préférerai un
> Rolleicord "à bouton" (avance) plutôt qu'un
> Rolleiflex "à manivelle" car ils ne nécessitent
> pas trois bras...
> En version moderne, il y a le Fuji/voigtländer
> 6x6/6x7...
> J.Ph.

Le 80mm et le 55mm ( il faut les deux ) ( c'est selon le projet )
[galerie-photo.com]

[www.dirapon.be]
[www.dirapon.be]

amansjeanphilippe écrivait:
-------------------------------------------------------
> Hello
> mon point de vue sur la chose...
> puisque vous avez commencé le chemin initiatique
> de la photo en randonnée, en partant d'un SLR
> pour en arriver à un TLR...
> ... poussez un peu + loin le raisonnement et
> choisissez un folding!
> Le TLR est une grosse brique assez fragile de la
> MAP, certes, pas très lourde mais bien
> encombrante!
> Avez-vous réellement besoin de la MAP au dépoli
> pour des sujets à 2~5m? ou l'infini?
> On trouve des folding en 6x6 et 6x9 avec des
> optiques type Tessar dont le résultat / rendu
> peut être surprenant!
> Si vous avez un peu + de ronds, le Plaubel Makina
> est très qualitatif.
> Personnellement, pour un tel projet, je prendrai
> un petit Zeiss Ikon avec soit un Tessar soit un
> Novar F3.5. Il est difficile de faire + léger en
> MF et cela se range dans une poche de poitrine.
>
> J.Ph.

il n'en fallait pas plus pour que je me lance dans la jungle (parce que tres touffue) des ikon ikonta.. il y en a eu un ou deux sur GP dernierement..

Et n'oubliez surtout pas les Isolettes !!

=====================================================================
Anything more than 500 yds from the car just isn't photogenic. - Brett Weston

Quelques images et vidéo : [www.facebook.com]

quand je parle de me lancer dans cette saga "zeiss" je parlais de me plonger dans la connaissance.; quant à acquerir.. ce n'est pas encore à l'ordre du jour.

isolette? agafa? ( c'est ce qui me vient à l'esprit sans aller secouer mon 3eme cerveau)
ah oui c'est bien ça.. le nom , oui ,mais ce qu'il y a dedans .???? alers hop encore une piste.. ;-)

Gabriel écrivait:
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On peut consulter á l'heure
> actuelle les images de Luis Baylon,
> (luisbaylon.com), pour moi le meilleur utilisateur
> actuel du Rolleibi, toutes ses images de rue ont
> ce point de vue si caractéristique qui permet de
> reconnaître le type d'appareil utilisé.

Je ne connaissais pas, et c'est une très belle découverte.

Merci pour le partage ; )

Je suis un inconditionnel de Baylon, personnage haut en couleurs, photographe talentueux et tireur hors pair.
Il vole, capte, séduit son monde, mais sait pertinemment que son Rollei n'y est pour rien dans une éventuelle acceptation de l'acte photographique.
Cessez une fois pour toute de vous branler sur GP avec cette idée que certaines machines déclenchent spontanément la sympathie du sujet photographié. Il faut vraiment n'avoir photographié que sa concierge ou son arrière grand père pour dire de telles inepties. C'est vous, photographes, qui serez ou non acceptés, pas votre machine.
Bonne fin d'été á tous...

Gabriel
gabrielramon.com



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/08/21 20:44 par Gabriel.

peut etre pas tout à fait faux..

Certains affirment que la pastille rouge des Leica intimide la personne photographiée.

C'est un mélange des deux, je pense.
Je démarre toujours au Rollei, jamais au Mam7.

MarcN écrivait:
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> C'est un mélange des deux, je pense.
> Je démarre toujours au Rollei, jamais au Mam7.

Cela me semble évident,
Ce n'est pas qu'une question de machine,
Mais de la machine qui permet un point de vue ...
C'est le point de vue qui commande.

"C'est le point de vue qui commande."
Le rendu photographique, certainement. L'acceptation du photographe, je n'y crois pas du tout.
(Mais comme toujours ici on discute sans image aucune pour étayer le propos. Donc pour moi crédibilité:zéro.)

Gabriel
gabrielramon.com

Gabriel écrivait:
-------------------------------------------------------
> "C'est le point de vue qui commande."
> Le rendu photographique, certainement.
> L'acceptation du photographe, je n'y crois pas du
> tout.
> (Mais comme toujours ici on discute sans image
> aucune pour étayer le propos. Donc pour moi
> crédibilité:zéro.)

Il s'agit d'être logique,
De connaitre l'histoire de la photographie,
Et d'avoir un peu de vécu ...
Et le point de vue "cinématographique" reste le grand gagnant des PdV intrusives ...

Mais ce n'est pas une religion,
Juste une méthode efficace ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/08/21 21:46 par Nestor Burma.

Pour ma part, je n'ai eu pour l'instant, que deux refus "agressifs".
Et les deux fois, c'était de la part de dealers.
Pour le reste, que ce soit en France ou à l'étranger, j'ai toujours réussi à me faire accepter.
Et principalement avec des Nikon.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)