Trop de bonnes Images

Trop c'est vraiment trop.
Bonnes (à définir) mais dans le trop, quasiment impossible à trouver.
Images, mais ce n'est plus magies.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Ioury écrivait:
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> Blémia écrivait:
> --------------------------------------------------
> --
> >
> > Ce n'est pas grave, l'oubli des choses a
> > l'utilité de faire de la place . Chaque
> > génération a besoin de faire ses propres
> > expériences, avoir ses propres repères et qui
> > n'ont aucunne chance d'exister si les
> > générations d'avant lèguent le cumul de
> toute
> > la mémoire de l'humanité.
>
>
> Et pourtant !
> L'oubli des choses ne concerne que le non-vivant.
> Le vivant cumule à l'infini, consciemment ou
> inconsciemment.

Les maladies neurodégénératives de la vieillesse donnent tort à votre raisonnement, il n'y a pas de mémoire infinie chez l'être humain. Pas plus que pour l'humanité, regardez tous ces archéologues et historiens qui tentent d'éclairer les trous, innombrables, de notre histoire. Tant de connaissances de plusieurs civilisations, ont sombré dans l'oubli, c'est le passeport vers la sérénité. Le seul salut devant le trop plein...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/11/13 20:51 par Blémia.

Blémia écrivait:
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> Les maladies neurodégénératives de la
> vieillesse donnent tort à votre raisonnement, il
> n'y a pas de mémoire infinie chez l'être humain.
> Pas plus que pour l'humanité, regardez tous ces
> archéologues et historiens qui tentent
> d'éclairer les trous, innombrables, de notre
> histoire. Tant de connaissances de plusieurs
> civilisations, ont sombré dans l'oubli, c'est le
> passeport vers la sérénité. Le seul salut
> devant le trop plein...

Non vous raisonnez sur un individu, qui n'est rien au regard de la multitude.
La maladie neurodégénérative est un drame pour celui qui est concerné, mais même multiplié par 100 000, ce n'est guère plus dommageable que nos cellules cérébrales détruites dans une soirée trop arrosée.

Le vivant accumule des sommes d'informations phénoménales chaque jour.
C'est ce qui permet la survie et plus encore l'évolution.
Certes, il y a des trous, des civilisations ont sombré, mais leur savoir s'est transmis. Il n'est peut-être plus utilisé directement, mais il est utilisé après des ajouts et des ajouts, accumulés encore et encore.

"Le vivant accumule des sommes d'informations phénoménales chaque jour.
C'est ce qui permet la survie et plus encore l'évolution."

Pas que, ce n'est pas suffisant d'accumuler. Il faut surtout pouvoir exploiter cette somme pour évoluer.

Les informations ne valent pas grande chose, elles sont faciles à produire, rapide et le reflet d'un instant T, fugaces et passagères, utiles sur le coup, mais bien moins qu'un savoir ou la connaissance.

Ce n'est pas en laisant un fatras d'informations accumulées que l'on transmettra quoique ce soit. Lorsque la somme de tout est trop grande, la mémoire est sélective, n'importe quel humain sait cela (pas besoins d'être agé, mon exemple n'en était qu'un parmi d'autres).
Pour laisser une chance aux autres de recevoir et de lire la mémoire que nous souhaitons voire préserver, il faut soi-même trier, abandonner des passages et des contenus, sélectionner et mettre en perspective. La seule voie possible pour garder de la lisibilité. Ce qui rejoint le constat de Pierre, trop c'est trop.
Transmettre la mémoire doit être une préoccupation permanente au fur et à mesure que nous écrivons notre histoire. Cela demande des efforts, le vrac n'est qu'une mort prématurée de nos souvenirs.

Pour fréquenter régulièrement les coulisses de musées et d'archives, je constate que de mettre en perspective le peu que nous tentons déjà de conserver est une mission presque impossible, colossale, faute de temps et de place, et donc de moyens humains comme d'argent. Pour conserver un peu, Il faut faire des choix rapides et accepter de perdre beaucoup. Quelques fois le temps fait sont oeuvre, les sinistres d'eaux et de feu, les mites, et surtout le manque de temps...

Supporter le trop de mémoire des autres est une malédiction, comment reprocher aux générations futures d'oublier certaines choses alors qu'il nous arrive déjà d'oublier nos propres souvenirs.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/12/13 05:54 par Blémia.

A lire trop de bons textes, connaitre trop de bons photographes, reconnaître trop de bonnes images, capturer/accumuler/choisir/partager trop de photographies, avec trop d'années d'expériences et de pratiques; je doute désormais, beaucoup trop.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Au risque de me répéter, vous avez une vision restrictive cantonnée à quelques individus.

Pourquoi quelques, individus ? Je parle de savoir collectif (pas d'informations en vrac), du mode de transmition aux générations futures, de civilisations disparrues, de la nature humaine...
Il me semble que cela dépasse largement le cadre individuel.

Trop, ça recommence trop, ...les dérapages de trop de commentaires trop différents du statut proposé.
Il y a déjà tellement à "réfléchir et partager" sur ces mots "TROP", "BONNES", "IMAGES".

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Ioury écrivait:
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> Blémia écrivait:
> --------------------------------------------------
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> >
> > Ce n'est pas grave, l'oubli des choses a
> > l'utilité de faire de la place . Chaque
> > génération a besoin de faire ses propres
> > expériences, avoir ses propres repères et qui
> > n'ont aucunne chance d'exister si les
> > générations d'avant lèguent le cumul de
> toute
> > la mémoire de l'humanité.
>
>
> Et pourtant !
> L'oubli des choses ne concerne que le non-vivant.
> Le vivant cumule à l'infini, consciemment ou
> inconsciemment.

C'est ce que l'on appelle l'histoire et l'histoire de l'art n'a jamais nuit à l'expression des nouvelles générations mais comme certains le craignent les progrès techniques hyperboliques mettent-ils en danger cette histoire ?

L'Histoire vraie ou remaniée ? L'Histoire, de l'Art ou du Marché de l'Art ? Trop de bonnes Images; ce statut ne veut-il pas dire l'inverse ? Avec "trop" de conséquences qui en découlent ?

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

<<Avec "trop" de conséquences qui en découlent ?

Cela veut dire quoi ?
De quoi a-t-on peur ?

Chaque action a une réaction.
"On" ne peut avoir peur de ce qu'on ne connait pas, HG.
Par contre, la prospective ça existe, et poser ou se poser des questions contradictoires, en cherchant des réponses possibles, surtout sur un forum spécialisé avec des individus expérimentés, ça ouvre des perspectives.
A moins, que ça ne vous pose "trop" de problèmes.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Cette réponse n'est que du verbiage,
Sur la longueur de ce fil, ces divers intervenants,
La peur est clairement lisible,
elle est évidente,
Elle est même dans le titre,
Et ma question restera la même,
De quoi avez-vous peur ?

Martial Maurette Photographe écrivait:
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> "On" ne peut avoir peur de ce qu'on ne connait
> pas, HG.

ahah mais si, on a peur que de cela...

Bon. Que ceux qui ont "trop" peur lèvent le doigt. Ils peuvent sans "trop" de craintes, détailler "leurs peurs" (tout en restant sur le fil des "trop de bonnes images")... que je n'ai pas "trop" lu ici ou là, en ces "trop" de forums.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Si on avait pas peur on ne serait pas des "héros". Qui n'aime pas se faire peur?
(Quant au sujet du fil l'adjectif "bonnes" me semble en trop, personnellement la dernière image qui m'a interpellé remonte á plusieurs mois. C'est peu je trouve. En ce qui concerne les "options" possibles pour se "consacrer"(?????) á l'image, j'ai du mal á croire qu'un "photographe pratiquant" réduise son art aux seuls poncifs évoqués á l'initiative du fil).
Pour Martial Maurette: quand je lève le doigt je m'attire des ennuis, mais on ne parle peut être pas du même doigt...

Gabriel
gabrielramon.com

Faux-fuyants... Toujours des dérapages (humour jaune ?) pour ne pas mettre les mots précis, (dangereux ?) dans les réponses claires, attendues en vain. Ce n'est pas propre aux forums de galerie-photo.com.
Peut-être que tout se comprend derrière/dans les images de ces Photographes GFHD ?

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Mais Martial, il n'y a pas de réponse à la peur qui transpire de ce fil,
C'est juste un problème de culture.

Quand à parler de dérapages, alors qu'il ne s'agit que d'enfantillage, ce fil ne pose aucun question véritable.
C'est juste un collage de quelques mots, qui permettent juste de traduire une angoisse de bobo nantis, pas de quoi fouetter un chat.

Ne plus avoir la possibilité de rêver...
C'est peut être ça l'angoisse ultime,celle qui conduit à la machinisation définitive des humains .
Le processus est bien en place .

Mince alors, Nestor Burma... (enfantillage ?). Vous ne respectez donc rien, ni personne. Heureusement que j'aime "La Photographie", ce qui donne un sens à ma vie. J'ai tellement de doutes et questions, sur l'angoisse sociétale et la perte de valeurs et cultures, qui transpirent/suintent de ce nouveau siècle et de ces forums compris.../...
J'ai posé la question à un intervenant (impartial), sans humour gaulois, graveleux: "Trop de Bonnes Images ?" ...Réponse sans fioritures:
[www.google.fr]

Bof, il me reste donc à transcrire mes "fouettages de chat" en mes images, de Photographe bourgeois nanti.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Martial Maurette Photographe écrivait:
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> Mince alors, Nestor Burma... (enfantillage ?).

OUI

> Vous ne respectez donc rien, ni personne.

Le respect n'est pas le principe actif de la vie virtuelle

> Heureusement que j'aime "La Photographie", ce qui
> donne un sens à ma vie.

Pourquoi pas

> J'ai tellement de doutes
> et questions, sur l'angoisse sociétale et la
> perte de valeurs et cultures, qui
> transpirent/suintent de ce nouveau siècle et de
> ces forums compris.../...

Déjà la notion de perte de valeur, de culture, tu commences très très mal

> J'ai posé la question à un intervenant
> (impartial), sans humour gaulois, graveleux: "Trop
> de Bonnes Images ?" ...Réponse sans fioritures:
> [www.google.fr]
> es&safe=off&espv=210&es_sm=93&tbm=isch&tbo=u&sourc
> e=univ&sa=X&ei=Te2eUvPWGMiK0AWUuYEo&ved=0CDMQsAQ&b
> iw=1920&bih=970

Tu peux t'inscrire à la Fac et commencer une thèse cela va intéresser du monde

> Bof, il me reste donc à transcrire mes
> "fouettages de chat" en mes images, de Photographe
> bourgeois nanti.

Ce n'est pas toi le bobo nanti, mais l'initiateur de ce fil, un bobo qui a peur qui plus est, il a peur de perdre son fauteuil,
Fauteuil de rare photographe, fauteuil de bourgeois, fauteuil de détecteur de rareté, qu'il assimile bêtement au talent,
Son problème c'est que la foultitude lui pique sa place, alors il se cramponne malgré sa peur, mais c'est trop tard, la foultitude lui a déjà piqué sa place.

Ah ? C'est donc une moche histoire entre deux égo (Trop normal donc entre des créatifs).../...
Perso, j'assume pleinement être un photographe "bourgeois" nanti (il y en a sans pognon désormais), mais néanmoins essoré et bloqué, par les gouvernements successifs. Je suis de plus, effaré de "voir" les montées stupides et dangereuses des extrêmes, bien trop médiatisés.
Effectivement... Je ne comprends pas.
Sur çà, je n'en fait pas de partages d'images, bonnes ou mauvaises. Trop, c'est trop.

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Voilà un fil culte !

[www.dominique-tiberi.com]

L'idée de départ de P. Liberas est qu'il y a trop de bonnes images ( du point de vue technique) ,sous entendu :des images sans intérêt,sans caractère...comme il y a trop de fraises ou de tomates sans saveur. C'est là le lot de notre société de sur-production et sur-consommation attisé par les progrès technologiques où l'on rejoint les propos de J. Renoir (cf lien donné par Ossette P.).
-Cette surproduction de belles images influence t-elle le jugement de nos contemporains ? je le crains.
-Cette surproduction va t-elle étouffer et nuire à un travail artisanal ou artistique ?
-Quelle attitude adopter et comment user de ces progrès technologiques pour produire un travail d'auteur maitre des machines enregistreuses hyper-performantes ?
-L'histoire de l'art est pleine d'exemples illustrant l'utilisation des progrès technologiques, va -il en être autrement avec le numérique et son énorme force de frappe ?

La surproduction a été conçu pour endiguer les famines.
Le travail artisanal ou artistique (sous-entendu de très haute qualité) va se réduire vers les élites financières.
L'attitude est de se faire plaisir et de se sentir honnête.
Y'a-t-il un devin dans la salle pour anticiper la vraie réponse à la dernière question ?

2015 impertinences et incertitudes... Respects.

Martial Maurette Photographe écrivait:
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> La surproduction a été conçu pour endiguer les
> famines.
> Le travail artisanal ou artistique (sous-entendu
> de très haute qualité) va se réduire vers les
> élites financières.
> L'attitude est de se faire plaisir et de se sentir
> honnête.
> Y'a-t-il un devin dans la salle pour anticiper la
> vraie réponse à la dernière question ?

Le but premier du binôme surproduction-surconsommation est, et était, de faire du profit ; en photo les moteurs de ce binôme sont la facilité et une espèce de narcissisme.
Complètement d'accord avec la 2ème et 3ème proposition en ajoutant l'amateur averti ,même sans fortune, aux élites financières plus enclins à suivre et spéculer sur la tendance du moment.
Pour la dernière question on peut se risquer à faire un peu de prospective en s'appuyant sur le passé et le présent.

<<Le but premier du binôme surproduction-surconsommation est, et était, de faire du profit ; en photo les moteurs de ce binôme sont la facilité et une espèce de narcissisme.<<

Joli cours d'histoire,
Vaut mieux en rire

C'est sûr que le Camarade Avedon et ses 40 000 plan film 8x10 et ses américains tombait dans la facilité narcissique
C'est sûr aussi qu'après avoir crevé de faim pendant des siècles les agriculteurs ne pensaient qu'à spéculer sur Wall Street au lieu de changer leurs méthodes agricoles.
La surproduction reste la première condition à remplir pour ne pas crever de faim.

Nestor Burma écrivait:
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> <<Le but premier du binôme
> surproduction-surconsommation est, et était, de
> faire du profit ; en photo les moteurs de ce
> binôme sont la facilité et une espèce de
> narcissisme.<<
>
> Joli cours d'histoire,
> Vaut mieux en rire
>
> C'est sûr que le Camarade Avedon et ses 40 000
> plan film 8x10 et ses américains tombait dans la
> facilité narcissique
> C'est sûr aussi qu'après avoir crevé de faim
> pendant des siècles les agriculteurs ne pensaient
> qu'à spéculer sur Wall Street au lieu de changer
> leurs méthodes agricoles.
> La surproduction reste la première condition à
> remplir pour ne pas crever de faim.
Propos un peu condescendants, je ne crois vraiment pas que l'on puisse parler de surproduction-surconsommation pour R.Avedon, le chiffre de 40000 plan films ne veut rien dire dans ce propos ; pour moi surproduction signifie production en excès, sous entendu d'une même chose. Première condition pour ne pas crever de faim ? conception bizarre de l'agriculture ou de l'industrie ,ne parlons pas de l'artisanat.

Nestor Burma écrivait:
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> <<Le but premier du binôme
> surproduction-surconsommation est, et était, de
> faire du profit ; en photo les moteurs de ce
> binôme sont la facilité et une espèce de
> narcissisme.<<
>
> Joli cours d'histoire,
> Vaut mieux en rire
>
> C'est sûr que le Camarade Avedon et ses 40 000
> plan film 8x10 et ses américains tombait dans la
> facilité narcissique
> C'est sûr aussi qu'après avoir crevé de faim
> pendant des siècles les agriculteurs ne pensaient
> qu'à spéculer sur Wall Street au lieu de changer
> leurs méthodes agricoles.
> La surproduction reste la première condition à
> remplir pour ne pas crever de faim.


Henri, là tu me fais hurler de rire !!!
La surproduction bat son plein,
Les poubelles dégueulent de nourriture,

Mais la majorité des agriculteurs sont sous-smicards
Un enfant meurt directement ou indirectement de faim dans le monde toute les 10 secondes,

Et les multinationales de l’agroalimentaire sont insolentes de santé,
Car elles spéculent; manipulent et trucident en toute impunité.

Ce ne sont pas les agriculteurs qui sont responsables de la surproduction, mais les charognes financières.

Donquifaute écrivait:
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> Propos un peu condescendants,

Mais non, mais non

> je ne crois
> vraiment pas que l'on puisse parler de
> surproduction-surconsommation pour R.Avedon, le
> chiffre de 40000 plan films ne veut rien dire dans
> ce propos

Et pourquoi traiter Avedon comme un surproductif spécifique

> pour moi surproduction signifie
> production en excès, sous entendu d'une même
> chose.

C'est ce qu'à fait Avedon, une toute petite partie de ces images ont été publiées

> Première condition pour ne pas crever de
> faim ? conception bizarre de l'agriculture ou de
> l'industrie ,ne parlons pas de l'artisanat.

Il s'agit tout simplement d'histoire et de nécessité,
Critiquer le ventre plein la surproduction reste très indécent.

Quand à la surproduction photographique, il faut la définir avant de la critiquer.