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Merci Henri.

2018-1976, quelle mise en abîme...

Dommage que cela finisse abruptement, on l'écouterait bien plus longtemps..

dans la même série il y a un documentaire sur le métier de photographe qui vaut son pesant de cacahouète vaudoise :

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cordialement

o7 philippe

:-)

Il me faut absolument une blouse blanche !

Nestor Burma écrivait:
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Merci

Je ne me prononce pas sur les 16 premières minutes, mais il a absolument tout bon sur les 8 dernières. Le pire de la situation, ou le meilleur de son intervention est sur l'utilisation de la médiocrité. La médiocrité dans le sens de "moyen", il y a beaucoup de cynisme dans cet agissement et JL Sieff le décrit très bien.
Un témoignage parfaitement d'actualité.

Je suis moins d'accord sur sa solution de déplacement du travail photographique initialement dévolu à la presse vers le livre ou l'exposition, mais il décrit bien ce qui s'est produit 20 ans plus tard. Disons que pour ma part je ne l'aurais pas rétrospectivement appelé de mes vœux.

Les propos de Sieff sont assez justes sur la situation actuelle, mais ne ressemblent pas trop à la situation de 1976, mais à l'époque je n'étais qu'un jeune observateur ...
Pour le photographe, les filles et la Rolls, c'est sans doute le mythe de l'époque, que Sieff incarnait parfaitement,
Le mec cool qui photographie des jolies filles et qui déboule en Aston DB5, la classe absolue.
Il passait de temps à autre à Vaugirard, avec la DB5 dans la cour de la rue Rollin, AA ou Weston passait direct aux oubliettes ...
Bien sûr tout le monde pouvait se projeter vers ce type doué, sympa, hyper cool, qui de plus, avait réussi ...

Aller vers les expo et le livre, effectivement, tout le monde y a pensé et a pratiqué la chose, mais c'est loin d'être la solution, ni même une solution, surtout aujourd'hui, mais je n'ai aucune autre solution à proposer.

"Aller vers les expo et le livre, effectivement, tout le monde y a pensé et a pratiqué la chose, mais c'est loin d'être la solution, ni même une solution, surtout aujourd'hui, mais je n'ai aucune autre solution à proposer."

Ses propos m'ont fait penser à l'expo de la collection japonaise de la MEP, où il nous était expliqué que les photographes étaient très pointus sur la conception graphique de leurs bouquins car c'était le seul canal pour diffuser la photographie au Japon, en l'absence de galeries photo dans les années 50-90.