Gilles Mora et Walker Evans

[www.citedelarchitecture.fr]

une conférence de 2 h sur un photographe.

on y trouve aussi la génèse d'un livre : la soif du regard.

cordialement

o7 philippe



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/19 10:34 par Emmanuel Bigler (modérateur).

Merci, M'ieur Ossette ( ^TM E. Bigler)

le s bon sang, le s, M'sieur o7. Ce parisien sans chapeau au soleil du sud est épuisé. Vivement qu'il recharge ces piles.

cordialement

o7 philippe

... au soleil du sud ...
Autrefois, c'est en plein soleil que les marins du sud se mutinaient.

Vivement qu'il recharge ces piles.
Des bennes ont été prévues pour recevoir les vieilles piles belfortaines.

E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/19 14:55 par Emmanuel Bigler.

ossette philippe écrivait:
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> le s bon sang, le s, M'sieur o7. Ce parisien sans
> chapeau au soleil du sud est épuisé. Vivement
> qu'il recharge ces piles.
>
> cordialement
>
> o7 philippe

en plus avec les coups de soleils, ça lui fait une tête LED ;-)

Très intéressante conférence de Mora sur ce site que je découvre, apparemment il y en a régulièrement à la Cité de l'Architecture.

Merci M'ieur Ossete d'avoir signalé . (pardon ...monsieur 07 c'est mieur ..). Bien cordialement.

Merci pour ce lien,

Alain Gillet

[www.alaingillet-auteurdimages.fr]

ossette philippe écrivait:
-------------------------------------------------------
> [www.citedelarchitecture.fr]
> -de-walker-evans-1903-1975
>
> une conférence de 2 h sur un photographe.
>
> on y trouve aussi la génèse d'un livre : la soif
> du regard.


Intéressant, merci.

ossette philippe écrivait:
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> une conférence de 2 h sur un photographe.


G. Mora joue malhonnêtement avec l'ignorance de son public en s'attribuant à lui seul d'avoir révélé aux américains la relation étroite entre la littérature et la photographie d'Evans, et la photographie tout court, jusque dans le contexte d'opposition à Weston.

Rappelons que dès 1946 Clement Greenberg, dans un article intitulé The Camera's Glass Eye paru dans The Nation, et daté du 9 mars 1946, avait tout dit à ce sujet :

"Si quelqu’un voulait admirer la modernité de la photographie d’art à son sommet, c’est le travail de Walker Evans qu’il faudrait lui montrer, quand bien même ses photos n’ont pas la perfection technique de celles de Weston. Comme lui, il connaît la peinture, mais aussi la littérature moderne. A plus d’un titre la photographie est aujourd’hui, plus que tout autre art visuel, proche de la littérature (il serait sans doute éclairant de tracer un parallèle entre la photographie et la prose dans leurs relations historiques et esthétiques respectives avec la peinture et la poésie). La morale, pour finir, c’est : que la photographie soit « littéraire »."

J'ai été intéressé par son jugement des œuvres de Frank, Cartier Bresson et Arbus, sur la question de la fermeture et la fabrication de leurs mythes respectifs, quand Évans produisait depuis l'intérieur du medium , dommage qu'il n'ai pas développé un peu plus cette idée.
Par ailleurs il explique plaisamment les conditions de fabrication du livre, elles sont intéressantes et se reproduiront sans doute plus.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/05/19 10:13 par Zoran.