Illustrateurs et photographes concurrencés par l’intelligence artificielle : «Il n’y a aucune éthique»
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Illustrateurs et photographes concurrencés par l’intelligence artificielle : «Il n’y a aucune éthique»

Envoyé par LT78 
Ioury écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
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> > Ioury écrivait:
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> > -----
> > > Collectiviser un indicateur !
> >
> > Le PIB c'est du fric, du fric fait pour être
> > dépensé
> >
> > > Henri, recentre-toi sur la technique
> > > photographique !
> >
> > Et toi, potasse un peu les bases de l'économie
>
>
> Le PIB est un indicateur. Rien de plus.
> La photo, Henri, la photo !

Le produit intérieur brut (PIB) est l'indicateur économique qui permet de quantifier la valeur totale de la « production de richesse » annuelle effectuée ...

C'est donc bien une quantification de la richesse produite, donc du fric qui donne des moyens.

Le billet de banque aussi est un indicateur, mais on peut quand même faire ses courses avec ...
Ioury écrivait:
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> Marc, tu es de mauvaise fois =)
> Au départ, le financement se faisait par
> prélèvement sur les salaires. Uniquement.

"Dès 1944, le Conseil National de la Résistance propose un plan complet de Sécurité Sociale. Pierre Laroque est chargé de concevoir un plan de Sécurité Sociale en 1945 et ses propositions sont reprises dans l’Ordonnance du 4 octobre 1945, véritable acte de naissance du Régime Général.
Les trois principes fondamentaux de cette Ordonnance sont .
la généralisation progressive de la Sécurité Sociale à l’ensemble de la population, celle-ci étant financée par une double cotisation à la charge des employeurs et des salariés ; l’unité des Institutions et l’universalité des risques, un régime unique doit être mis en place et des Caisses à compétence générale sont chargées d’appliquer les législations sociales ;
la démocratie sociale, les Organismes de Sécurité Sociale étant des Organismes de droit privé dotés d’une autonomie de gestion et gérés par des Conseils d’Administration composés de représentants de salariés et d’employeurs.
En contre-partie de l’autonomie accordée, l’Etat exerce une tutelle légitimant ainsi la mission de service public remplie par les Caisses."
Nestor Burma écrivait:
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> Ioury écrivait:
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> > Nestor Burma écrivait:
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> > > Ioury écrivait:
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> > > > Collectiviser un indicateur !
> > >
> > > Le PIB c'est du fric, du fric fait pour être
> > > dépensé
> > >
> > > > Henri, recentre-toi sur la technique
> > > > photographique !
> > >
> > > Et toi, potasse un peu les bases de
> l'économie
> >
> >
> > Le PIB est un indicateur. Rien de plus.
> > La photo, Henri, la photo !
>
> Le produit intérieur brut (PIB) est l'indicateur
> économique qui permet de quantifier la valeur
> totale de la « production de richesse » annuelle
> effectuée ...
>
> C'est donc bien une quantification de la richesse
> produite, donc du fric qui donne des moyens.
>
> Le billet de banque aussi est un indicateur, mais
> on peut quand même faire ses courses avec ...


Mais vraiment....
Le PIB ne prend pas en compte le travail au noir, par exemple, ni l'argent des trafics divers et variés. Donc c'est déjà faussé à la base.

Ton billet de banque "vaut" sa valeur faciale. Point barre.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
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> > MarcN écrivait:
> >
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> > > "L’organisation de la sécurité sociale
> > > (retraite, maladie & chômage) a été
> conçue
> > à
> > > l’origine (1946) pour ne rien coûter à la
> > > communauté."
> >
> > Juste un partage de PIB et rien d'autre, une
> sorte
> > de choix technique, on prend le citoyen par la
> > main, on met arbitrairement des moyens de
> côté,
> > pour éduquer ses enfants, pour payer la
> retraite
> > de ses parents, pour construire l'hôpital que
> le
> > soignera, Papa et Maman Etat décide que le
> > citoyen n'est pas capable de gérer ces
> > situations, et qu'il vaut mieux penser à sa
> > place.
> >
> > C'est en ce sens que je vois un système
> > communiste, prendre en charge le citoyen,
> penser
> > à sa place. Mais franchement, je n'ai pas
> d'avis,
> > je regarde une situation, qui en vaut sans
> doute
> > une autre.
>
>
> Moi j'y vois plutôt un système paternaliste.
> Papa qui dirige la famille.

Paternalisme communiste, pourquoi pas

> Je pourrais aussi y voir une dictature militaire,
> si on considère que les seuls à garder un
> régime spécial, et pour une fois sans descendre
> dans la rue, ce sont la police (age de départ à
> la retraite 52 ans) et les militaires (47 ans)

Pourquoi pas, ce n'est pas incompatible avec la touche communiste.
Ioury écrivait:
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>
> Mais vraiment....
> Le PIB ne prend pas en compte le travail au noir,
> par exemple, ni l'argent des trafics divers et
> variés. Donc c'est déjà faussé à la base.

Mais ce n'est pas la question, peu importe que ce soit en partie faux, l'économie n'a jamais prétendue à l'exactitude, ce n'est pas son propos.
Par contre, ce qui est sûr, c'est que sans PIB, un pays disparait et ses habitant avec lui.
Pour le travail au noir, et les trafics divers, ils font quand même partie du PIB, juste avec un temps de recul, et son comptabilisés à ce moment là.

> Ton billet de banque "vaut" sa valeur faciale.
> Point barre.

Ben non, pas si je passe une frontière.
Nestor Burma écrivait:
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> Ioury écrivait:
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> > Marc, tu es de mauvaise fois =)
> > Au départ, le financement se faisait par
> > prélèvement sur les salaires. Uniquement.
>
> "Dès 1944, le Conseil National de la Résistance
> propose un plan complet de Sécurité Sociale.
> Pierre Laroque est chargé de concevoir un plan de
> Sécurité Sociale en 1945 et ses propositions
> sont reprises dans l’Ordonnance du 4 octobre
> 1945, véritable acte de naissance du Régime
> Général.
> Les trois principes fondamentaux de cette
> Ordonnance sont .
> la généralisation progressive de la Sécurité
> Sociale à l’ensemble de la population, celle-ci
> étant financée par une double cotisation à la
> charge des employeurs et des salariés ;
> l’unité des Institutions et l’universalité
> des risques, un régime unique doit être mis en
> place et des Caisses à compétence générale
> sont chargées d’appliquer les législations
> sociales ;
> la démocratie sociale, les Organismes de
> Sécurité Sociale étant des Organismes de droit
> privé dotés d’une autonomie de gestion et
> gérés par des Conseils d’Administration
> composés de représentants de salariés et
> d’employeurs.
> En contre-partie de l’autonomie accordée,
> l’Etat exerce une tutelle légitimant ainsi la
> mission de service public remplie par les
> Caisses."


Ben alors ?
C'est bien ce qu'on te dit, non.
Les salaires comprennent une part patronale et une part salariale.
L'Etat a un droit de regard, pas une obligation de financement.
La preuve, c'est que par exemple, il existait des caisses autonomes pour certaines entreprises publiques, genre Charbonnage de France...

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Nestor Burma écrivait:
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> Ioury écrivait:
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> > Mais vraiment....
> > Le PIB ne prend pas en compte le travail au
> noir,
> > par exemple, ni l'argent des trafics divers et
> > variés. Donc c'est déjà faussé à la base.
>
> Mais ce n'est pas la question, peu importe que ce
> soit en partie faux, l'économie n'a jamais
> prétendue à l'exactitude, ce n'est pas son
> propos.
> Par contre, ce qui est sûr, c'est que sans PIB,
> un pays disparait et ses habitant avec lui.
> Pour le travail au noir, et les trafics divers,
> ils font quand même partie du PIB, juste avec un
> temps de recul, et son comptabilisés à ce moment
> là.
>
> > Ton billet de banque "vaut" sa valeur faciale.
> > Point barre.
>
> Ben non, pas si je passe une frontière.

Mais si.
Si tu passe une frontière hors UE, ton change se fera en fonction du chiffre inscrit sur le billet.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> > > Ton billet de banque "vaut" sa valeur
> faciale.
> > > Point barre.
> >
> > Ben non, pas si je passe une frontière.
>
> Mais si.
> Si tu passe une frontière hors UE, ton change se
> fera en fonction du chiffre inscrit sur le billet.

Le facteur reste le taux de change,
Et si le PIB du pays émetteur s'écroule la valeur de ton billet s'écroule ...
Et il y a aussi des monnaies (il y en a en France), des billets de banque imprimés, dont la valeur faciale chute chaque semaine ou chaque mois, pour finir à zéro.
Nestor Burma écrivait:
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> Ioury écrivait:
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> > > > Ton billet de banque "vaut" sa valeur
> > faciale.
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> > > Ben non, pas si je passe une frontière.
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> > Mais si.
> > Si tu passe une frontière hors UE, ton change
> se
> > fera en fonction du chiffre inscrit sur le
> billet.
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> Le facteur reste le taux de change,
> Et si le PIB du pays émetteur s'écroule la
> valeur de ton billet s'écroule ...
> Et il y a aussi des monnaies (il y en a en
> France), des billets de banque imprimés, dont la
> valeur faciale chute chaque semaine ou chaque
> mois, pour finir à zéro.


Ce serait valable si l'euro n'était pas une monnaie européenne

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> > Ioury écrivait:
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> > > > > Ton billet de banque "vaut" sa valeur
> > > faciale.
> > > > > Point barre.
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> > > > Ben non, pas si je passe une frontière.
> > >
> > > Mais si.
> > > Si tu passe une frontière hors UE, ton
> change
> > se
> > > fera en fonction du chiffre inscrit sur le
> > billet.
> >
> > Le facteur reste le taux de change,
> > Et si le PIB du pays émetteur s'écroule la
> > valeur de ton billet s'écroule ...
> > Et il y a aussi des monnaies (il y en a en
> > France), des billets de banque imprimés, dont
> la
> > valeur faciale chute chaque semaine ou chaque
> > mois, pour finir à zéro.
>
>
> Ce serait valable si l'euro n'était pas une
> monnaie européenne

Quel rapport, le principe des monnaies s'appliquent à toutes les monnaies, y compris les monnaies Européennes (Il n'y a pas que l'Euro).
Je pense que tu ne sais pas ce qu'est le PIB...

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> Je pense que tu ne sais pas ce qu'est le PIB...

Ce n'est pas important ce que je sais ou pas, faut pas faire une fixette, sur les personnes, je peux aussi dire que la Terre est ronde, je ne fais que relater ce que d'autres ont découvert ou établi, juste un fait, sans lien avec ma modeste personne.
Mais tous les économistes te diront que le PIB annuel d'un pays est la somme des richesses économiques produites dans un pays en un an, y compris les fraudes diverses, qui produisent aussi des richesses comptabilisées ...
Et le PiB est un truc finalement assez simple, pas trop bricolé par les statisticiens, donc plutôt fiable.

Généralement, c'est pour un état, où un groupe d'Etat, mais tu peux aussi le calculer pour une ville, une entreprise, une famille ...
Bon, je jette l'éponge.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> Bon, je jette l'éponge.

Mais tu es libre, tu fais ce que tu veux, pour le PIB, je m'en fous un peu, il y assez d'article et de bouquins sur le sujet, mais, plus drôle, je comprends juste que tu ne sais pas ou vont les fraudes, et cela me fait marrer, bien sûr ...
Allez : je remets un ou plutôt trois sous dans la machine !

D'une part le PIB calculé par l'Insee comprend une estimation du travail au noir et de certaines activités illicites telles que la contrebande (cf une source un peu ancienne mais qui reste valable dans son principe : [www.insee.fr])

D'autre part le taux de prélèvement en France était de 44,3% en 2021 (https://www.insee.fr/fr/outil-interactif/5367857/tableau/10_ECC/15_FIN)

Enfin, certes le taux de prélèvement est de 44,3%. Mais cela concerne le financement de l'activité. Il convient d’observer que l'activité financée par les prélèvements obligatoire est souvent privée ; c'est le cas de la médecine libérale par exemple. Si la France était vraiment communiste, laisserait-elle faire ça ?

Bonne soirée
Ludovic
"Mais cela concerne le financement de l'activité."
Pardon? mais qu'est-ce que c'est que ce délire?

Il y a normalement interdiction d'affectation de recettes d'impôts! Donc rien que pour ça c'est délirant.

En vérité nous avons le taux de prélèvement le plus élevé du monde (on se dispute avec le DK), et un taux de redistribution sociale également le plus élevé. Logiquement nous sommes le pays où factuellement les inégalités sont les plus faibles - encore heureux vu ce qu'on crache au bassinet! - ce qui n'empêche pas tout un tas de perroquets savants de nous livrer une vérité pravdaienne inverse.

Le pire c'est qu'il faut bien réaliser que cela ne suffit pas puisqu'on (l'Etat, c'est à dire nous, la collectivité) emprunte pour boucler les fins de mois.

Pour dire, on dépense tellement plus qu'on ne produit - et depuis de décennies- qu'on réemprunte même les intérêts que l'on doit régler (283 milliards cette année!, et bonjour la remontée des taux!). C'est la boule de neige qui grossit..

Tout ça transmis aux générations futures, auxquelles les bonimenteurs irresponsables font croire qu'on fera un bras d'honneur aux créanciers - dont beaucoup d'épargnants français, d'ailleurs- et qu'il suffit de voler Bernard Arnault pour continuer à glander en fac et toucher des allocs.... c'est lamentable..
MarcN écrivait:
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> "Mais cela concerne le financement de
> l'activité."
> Pardon? mais qu'est-ce que c'est que ce délire?

Oui, la partie du PIB collectivisée retourne une fois captée vers l'activité générale, dont du privé mais pas que et repasse par la case prélèvement et cela inlassablement.
Idem pour la fraude fiscale ou le trafic de drogue, dont les gains vont vers des SUV haut de gamme, donc TVA + TICPE, il est dans nos pays, totalement impossible d'échapper aux divers prélèvements. On peut échapper à un tour de moulinet, mais le deuxième nous rattrape ...


> Il y a normalement interdiction d'affectation de
> recettes d'impôts! Donc rien que pour ça c'est
> délirant.

Il ne s'agit pas d'affectation, mais l'argent étant fait pour être dépensé, tout l'argent collecté repart vers la lessiveuse générale et on refait un tour privé-publique.

> En vérité nous avons le taux de prélèvement le
> plus élevé du monde (on se dispute avec le DK),
> et un taux de redistribution sociale également le
> plus élevé. Logiquement nous sommes le pays où
> factuellement les inégalités sont les plus
> faibles - encore heureux vu ce qu'on crache au
> bassinet! - ce qui n'empêche pas tout un tas de
> perroquets savants de nous livrer une vérité
> pravdaienne inverse.

C'est plutôt une situation enviable, en fait en pouvoir d'achat, le SMIC n'est pas à 1300 euro/mois, mais à 2600 euro/mois

> Le pire c'est qu'il faut bien réaliser que cela
> ne suffit pas puisqu'on (l'Etat, c'est à dire
> nous, la collectivité) emprunte pour boucler les
> fins de mois.

Pour tenter de fabriquer du PIB avec de la dette, mais cela n'a pas l'air de fabriquer des miracles

> Pour dire, on dépense tellement plus qu'on ne
> produit - et depuis de décennies- qu'on
> réemprunte même les intérêts que l'on doit
> régler (283 milliards cette année!, et bonjour
> la remontée des taux!). C'est la boule de neige
> qui grossit..

Oui, un vrai pays communiste aurait une solution simple et efficace pour purger cette dette

> Tout ça transmis aux générations futures,
> auxquelles les bonimenteurs irresponsables font
> croire qu'on fera un bras d'honneur aux
> créanciers - dont beaucoup d'épargnants
> français, d'ailleurs- et qu'il suffit de voler
> Bernard Arnault pour continuer à glander en fac
> et toucher des allocs.... c'est lamentable..

La dette de l'Etat serait 2500 milliards, le bas de laine des Français serait de 6-7000 milliards, il suffit de faire une soustraction pour régler ce problème, puisque l'Etat c'est NOUS.
Par contre la dette des entreprises est de 4300 milliards environ, dans une société fragile, c'est du lourd.
Inutile de se lancer dans des explications compliquées sur le PIB, prélèvements etc...

Il suffit de constater que la France achète plus à l'extérieure qu'elle ne vend (déficit commercial chronique qui avoisine les 90 milliars ans) et qu'elle dépense plus qu'elle ne crée de richesse (la dépense sociale est une charge et n'est pas recyclée comme certains le prétendente dans une neutralité comptable)

Je regardais un excellent reportage sur le France et je me rappelais la France dont l'industrie était à la pointe mondiale et européenne et exposait aux yeux du monde sa technologie (constructions navales, aluminium, acier spéciaux Concorde, énergie hydraulique et nucléaire etc..

30 ans après des "têtes bien faites" + un délire syndicale destructeur + une éducation tout autant destructive + l'esprit soixante-huitard et l'industrie fançaise a été sabordée par des couillons savants.

Résoudre le problème ? facile: aimer entreprendre + aimer travailler
Tiens, pour une fois je suis d'accord avec Henri.
Merci Sainte Véronique !

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
@ Pierre L,

Le "problème français" n'existe pas.

Ce n'est que de la poudre aux yeux électoraliste joyeusement éparpillée par les figaro-nationalistes.
Les matières premières, les marchandises, les capitaux se baladent de part le monde, nous sommes définitivement dans une économie mondialisée.

Les frontières ne sont là que pour contenir les peuples, heureusement sans grand succès.

Quand à la dépense sociale, ce n'est que la version moderne de l'antique "Pour le Peuple, du pain et des jeux".

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
"Les matières premières, les marchandises, les capitaux se baladent de part le monde, nous sommes définitivement dans une économie mondialisée."

Certes, mais les les dettes restent nationales, malgré quelques tentatives des pays qualifiés de "Club Med" (France péninsule ibérique + Italie) de refiler aux pays vertueux (en gros l'Europe du Nord) une partie de leur incurie économique via des emprunts européens.

Lesquels vont devoir se calmer, parce qu'on vient de se rendre compte qu'ils coûtent plus cher que les emprunts faits par certains pays, comme l'Allemagne. Ce qui revient à dire que les investisseurs réalisent que ces emprunts sont in fine adossés à ce pays, qui ne pourra pas tout supporter pour tout le monde.

@Henri
"La dette de l'Etat serait 2500 milliards, le bas de laine des Français serait de 6-7000 milliards, il suffit de faire une soustraction pour régler ce problème, puisque l'Etat c'est NOUS."
Nous en sommes plutôt à 3000, mais effectivement les marchés nous prêtent parce qu'ils font ce même calcul. En France l'endettement privé est faible, contrairement à l'endettement public, et l'épargne est consistante.
Ioury écrivait:
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> Les matières premières, les marchandises, les
> capitaux se baladent de part le monde, nous sommes
> définitivement dans une économie mondialisée.

Situation que nous connaissons depuis la Rome antique, c'est juste qu'il y a une accélération des mouvements, de marchandises, mais aussi de matière grise, mais cela n'interdit pas, bien au contraire, de faire plus de PIB sur des imports que sur des productions locales, le local n'est pas le garant de la valeur ajoutée ...

Dans les années 60-70, les magasins parisiens, qui attiraient les photographes, fabriquaient plus de valeur ajoutée, en vendant du Canon et du Nikon, que du Foca, ou du Semflex ... Et la valeur ajoutée, c'est du PIB et c'est ce qui compte, tant que nous utiliserons ce concept économique ...
Il faudrait quand même préciser que les Etats empruntent à des fonds privés, via des banques sélectionnées, et que ce sont ces mêmes banques privées qui créent la monnaie...

De toutes façon un Etat ne fait jamais faillite. Il y a tout au plus un défaut de paiement

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)
Ioury écrivait:
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> Il faudrait quand même préciser que les Etats
> empruntent à des fonds privés, via des banques
> sélectionnées, et que ce sont ces mêmes banques
> privées qui créent la monnaie...

La dette Française est détenue pour des organisme privés comme à des organismes publiques, La Banque de France détient 18% de la dette, et en gros plus de la moitié de cette dette est détenue par des résidents Français, chacun d'entre peut acheter des bons du trésor, le Livret A couvre de la Dette, donc dans le privé, il y a aussi du plouc de base, pas que des multinationales ... Il y a aussi des Etats, les pays du Nord ont des fonds souverains énormes et placent sur de la dette, la Chine fait de même.

Quand à frapper monnaie, c'est ainsi, mais les banques travaillent sur ordre, et depuis que ce système est en place, à tort ou à raison, nul ne le sait, la croissance a été et est délirante.

> De toutes façon un Etat ne fait jamais faillite.
> Il y a tout au plus un défaut de paiement

Cela pourrait quand même chauffer un peu, surtout pour un pays qui importe son énergie ... Et un pays trop petit pour le "too big to fail" ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/02/23 18:50 par Nestor Burma.
@Ioury

Non le problème est également français comme il peut être anglais ou autres

Mais la perte de notre industrie et de sa qualtié n'a rien à voir avec la mondialisation (regardez l'Allemagne, l'Italie, le Portugal)

Le problème est celui de nos gouvernements successifs depuis VGE qui ont sacrifié l'industrie pour "faire de l'argent" dans les services

"Quand à la dépense sociale, ce n'est que la version moderne de l'antique "Pour le Peuple, du pain et des jeux"."

C'est un problème majeur est délicat car on y met un immense fourre tout électoraliste.

Pour partie, la dépense sociale est nécessaire et indispensable, du moins tant que les salaires ne permettent pas de vivre dignement, et pour partie c'est un gouffre démagogique

Personne ne doit pouvoir contester que chaque être humain doit vivre dignement, confortablement et en bonne santé; ces bases étant posées, il y a de la marge pour ne pas dépenser plus qu'on ne crée de richesse.

On peut ajouter que la protection sociale devrait avoir une contre partie l'obligation de participer en fonction de ses moyens (physiques ou intellectuelles) à la création de la richesse commune (voire dans le cadre d'association car un bénévole aux restaux du coeur participe également au bien de tous; les joueurs de boules retraités à 53 ans de Bandol un peu moins)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/02/23 20:17 par Pierre L.
Pierre L écrivait:
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> "Quand à la dépense sociale, ce n'est que la
> version moderne de l'antique "Pour le Peuple, du
> pain et des jeux"."
>
> C'est un problème majeur est délicat car on y
> met un immense fourre tout électoraliste.

Le problème No1 c'est que nous sommes riches, très très riches, sans doute beaucoup trop riches, et que nous n'en sommes pas conscient.
Le seuil de pauvreté dans le monde est de 1$/jour/personne ...
Bon entre temps j'ai tapé la causette avec ChatGPT.

[drive.google.com]
Nestor Burma écrivait:
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> Le seuil de pauvreté dans le monde est de
> 1$/jour/personne ...

N´importe où ?
D´où tenez-vous cette information ?

Le nouveau seuil international de pauvreté, basé sur les prix de 2017, est fixé à 2,15 dollars. Ainsi, toute personne qui dispose de moins de 2,15 dollars par jour est considérée comme vivant dans l'extrême pauvreté. Un peu moins de 700 millions de personnes dans le monde se trouvaient dans cette situation en 2017. (2 mai 2022)
[www.google.com]

Un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsqu'il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. En France et en Europe, le seuil est le plus souvent fixé à 60 % du niveau de vie médian.8 juil. (2021)
[www.google.com]

Le seuil de pauvreté est fixé par convention à 60 % du niveau de vie médian de la population. Il correspond à un revenu disponible de 1 102 euros par mois pour une personne vivant seule et de 2 314 euros pour un couple avec deux enfants âgés de moins de 14 ans.10 nov. (2021)
[www.google.com]
Martin RAVALION a fixé ce seuil en 1981 à 1$ de manière totalement arbitraire.
Il s'agit de pauvreté MONETAIRE uniquement, conformément aux théories de l'école de Chicago.
Depuis ce seuil a été augmenté par la banque mondiale jusqu'à 2€ environ et il ne concerne bien entendu que les pays du tiers monde.
Un indicateur monétaire est il pertinent dans des pays vivant principalement d'agriculture vivrière ?
En fait ce seuil représente plus la pauvreté des populations agglomérées dans des grandes villes du tiers monde qu'autre chose.

[www.cairn.info]
Luc Peiffer écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Le seuil de pauvreté dans le monde est de
> > 1$/jour/personne ...
>
> N´importe où ?
> D´où tenez-vous cette information ?

C'est un classique, et peu importe si c'est complètement un peu faux, avec un smic à 2600 euro net, ces 1$ donnent le vertige

> Un individu (ou un ménage) est considéré comme
> pauvre lorsqu'il vit dans un ménage dont le
> niveau de vie est inférieur au seuil de
> pauvreté. En France et en Europe, le seuil est le
> plus souvent fixé à 60 % du niveau de vie
> médian.8 juil. (2021)

Oui, c'est connu, et le paradoxe de ce calcul, c'est que si l'on augmente le SMIC fortement, on augmente le nombre de pauvres.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

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