Projet livre photo

Bonjour,

Cinq ans après le livre "Noir Blanc et Rouge" (avec la série Corde et Sangle) je vous propose aujourd'hui un nouveau projet de livre photo: "Paris ombre et lumière". Les photos sont principalement panoramiques et inspirées de la bande dessinée. Voir mon site:
[www.carolinemichaud.com]
La souscription a débuté lors de l'exposition d' Eaubonne en février 2016 et représente aujourd'hui 25% du projet.
Le livre sera imprimé chez Escourbiac: 64 pages, format A4 à l' italienne, Offset quadri.
Le prix de souscription est de 30€ jusqu'en octobre 2016 puis 35€ après édition.
Ci joint le bulletin d'inscription [www.cjoint.com]

A bientôt
Caroline

Bonsoir,

après "Caroline Michaud excelle dans un travail Stendhalien" elle a sortie ses crayons de couleurs pour magnifier Paris.
Bravo pour ce travail. Au moment de quitter Paris je sais avec quoi partir pour revoir ce Paris en pleine campagne.
Cordialement,

Alain Gillet

[www.alaingillet-auteurdimages.fr]

ça marche bien quand même photoshop...

Rhôôôô !
=))

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Bonjour,

Merci Alain, la maquette est en cours et l 'impression est prévue pour novembre.

Oui les photos subissent un traitement numérique puis elles sont chacune rehaussées manuellement pour accentuer le graphisme ( bande dessinée).

Bonne journée
Caroline

Je préfère cette utilisation de Photoshop à celle d'enlever les points noirs, creuser la taille, ou faire disparaître les personnage en disgrâce !

Une jolie vision de Paris qu'il me tarde de découvrir.
Je souscris et soutiens notre charmante Caroline.

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Anything more than 500 yds from the car just isn't photogenic. - Brett Weston

Quelques images et vidéo : [www.facebook.com]

Tout a fait d'accord!!

Beau comme des photochromes . Bravo .

Merci à Tous pour votre regard et votre soutien.

Je reviens de Moselle: exposition collective à la maison du Bailly, Morhange.
Les échanges photographiques sont toujours utiles pour progresser.

Bonne après -midi
Caroline

Madame Caro ,
"Les échanges photographiques sont toujours utiles pour progresser."
Madame , vous évoquez là , non la technique mais la pensée dans l'image obtenue . J'ai au début de cette année entendu Mr Birsinger me préconiser ou à peu près , de fréquenter les expositions , et m'affirmer que cela est une nécessité . Sans doute pour progresser ? dans quel sens . Coller à des modes ? Ce qui peut se concevoir pour vendre .
Parce que je le connais personnellement , et parce que je le perçois comme un homme de bien , je vais aller voir l'expo à Cognac , dont Guykunz-jacques travaille l'idée depuis des années . Certaines de ses images me sauterons à l'esprit et je les apprécierai , mais en quoi cela pourrait il me faire progresser , dans le domaine "idée d'images" ?
Au plan qualité des tirages et des présentations ? qui sont à mes yeux trop élevées pour que je puisse y prétendre .
Je reste dubitatif . Ou le but est de banalement trouvez matière de base à extrapoler ? .
Croyez Madame en mes vives salutations . J.GERARD

<<mais en quoi cela pourrait il me faire progresser , dans le domaine "idée d'images" ?

La notion de progrès en art est très relatif, mais évoluer, c'est à la portée de qui s'en donne la peine, viser le chemin du voyage et non le terminus

Il est étonnant que l'on conseille, souvent avec insistance, aux photographes, de courir les expositions pour se former le regard.
Comme si le photographe "non-star" était incapable d'avoir une vision propre. et qu'il fallait obligatoirement s'inspirer du travail des élus.
Nombre d'écrivains ne lisent pas -ou très peu -de livres d'autres, par manque de temps peut-être mais aussi et surtout pour éviter d'être influencés dans leur style.

Que l'apprenti-photographe assimile la technique de base pour manipuler un appareil peut se concevoir, mais s'inspirer du regard de l'autre pour progresser ne peut aboutir in fine qu'à des photographes standardisés.
Seuls quelques rares individus au fort caractère réussiront à faire exploser le cadre dressé par les "maîtres" .
Alors que l'inconscience est la source de toutes les audaces.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Ioury écrivait:
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> Il est étonnant que l'on conseille, souvent avec
> insistance, aux photographes, de courir les
> expositions pour se former le regard.

Je ne vois rien d'étonnant

> Comme si le photographe "non-star" était
> incapable d'avoir une vision propre. et qu'il
> fallait obligatoirement s'inspirer du travail des
> élus.

Je ne vois pas bien le rapport, le photographe autodidacte qui n'a jamais quitté son ile déserte n'existe pas, on est tous fait de mélanges, alors pourquoi ne pas forcer le destin.

> Nombre d'écrivains ne lisent pas -ou très peu
> -de livres d'autres, par manque de temps
> peut-être mais aussi et surtout pour éviter
> d'être influencés dans leur style.

C'est plutôt rare, l'écrivain qui ne lit pas, disons qu'un écrivain ne passe pas sa vie à lire, mais il lit bien sûr. Tout comme les musiciens qui écoutent ce que font les autres musiciens.

> Que l'apprenti-photographe assimile la technique
> de base pour manipuler un appareil peut se
> concevoir, mais s'inspirer du regard de l'autre
> pour progresser ne peut aboutir in fine qu'à des
> photographes standardisés.

Tu as un drôle de concept de l'inspiration, voir ce qui se fait et se standardiser est très différent, et puis l'inspiration ne vient pas forcement de photographie, il y a beaucoup d'autres composantes, il est même, bien souvent, difficile de savoir d'où vient une idée, c'est une enchainement.

> Seuls quelques rares individus au fort caractère
> réussiront à faire exploser le cadre dressé par
> les "maîtres".

De mon point de vue, il n'y a pas de maitres en photographie, mais pourquoi ne pas se tenir informé.

> Alors que l'inconscience est la source de toutes
> les audaces.

Je n'y crois pas, ce serait beaucoup trop simple, les vraies audaces sont construites.
Les dessins d'enfants sont sympa, mais très vite ennuyeux.

+1000 avec Henri...

Pour mon cas, c'est Jean-Claude Lemagny qui m'a fortement invité en 1984 à parcourir les expos et les livres, de me cultiver et d'élargir mon champs de vision à d'autres arts.

Cela fut un conseil très utile et formateur que je relaie maintenant dans mes activités d'ateliers de pratiques photographiques.

Il est bon de se rappeler aussi que des maîtres comme Walker Evans revendique la filiation à Adget, ainsi que les Becher, que nombre d'artistes revendiquent celles de l'école de Düsseldorf, etc.

Connaitre et comprendre ne veut pas dire plagier.

Comment peut-on imaginer aujourd'hui faire de la photographie documentaire sans avoir étudier l’œuvre de Walkers Evans, comment peut-on faire du portrait sans connaître les positionnements d'Avedon ou Arbus, etc

Un photographe bien connu appelait cela "se passer l’œil au papier de verre ...!!!"

Gérard vous dites : " Je reste dubitatif . "

Et bien moi aussi, je suis dubitatif devant votre remarque, je ne conçois pas d'évolutions possibles sans la rencontre avec les autres, mais c'est aussi les musées, les expos, les livres, toute ces nourritures qui vous portent plus loin, à moins de vivre dans une tour d'ivoire en monologuant avec son Ego !
A chaque fois que j'ai pu progresser c'est en confrontation avec d'autres, et ça n'a surtout rien à voir avec une quelconque influence, ça n'est pas toujours agréable non plus sur le moment, mais on a toujours plus de chance d'en sortir grandi .



bonne soirée

Ce n'est pas pour moi une découverte , mais un rappel , une confirmation je suis un non artiste , peut être même un anti artiste .. . "non artiste , anti artiste" : non artiste --> qui ne produit pas d'oeuvres artistiques ; anti artiste --> qui nie l'art chez les artistes en montrant de l'indifférence . En plein doute je passe la plume .

Gérard , désolé je ne comprends pas bien ce que vous voulez exprimer .

je reviens sur ce que je dis un peu plus haut , oui il y des influences, les nier serait mensonger , depuis que l'on m'a fait découvrir Philippe Jaccottet ( tiens une rencontre !) j'ai la très forte impression que mes paysages sont plus denses, encore plus mouillés, je n'ai pas de souci avec ça, je suis sous influence et alors ?

Et bien voilà un livre prometteur pas encore paru qui fait écrire :-)

Alain Gillet

[www.alaingillet-auteurdimages.fr]

OK, je me suis (comme d'hab) mal exprimé.

Bien sûr que le regard est influencé, ne serait-ce que par le flux incessant d’images de tout genre.
Bien sûr que la rencontre de l'autre est toujours source d'enrichissement.

Mais faut-il obligatoirement courir les expos ? Je n'en suis pas convaincu.
Je crains qu'à vouloir décortiquer le pourquoi et le comment, et à vouloir ensuite les mettre en œuvre pour tenter d'approcher le maître, on risque de perdre la fraicheur du regard.

Il n'y a jamais eu autant de livres de photo publiés, jamais autant d'expos, jamais autant de photographes et de photographies prises, et au final, en proportion, jamais aussi peu de nouveaux talents et de photos qui font vibrer.

Oui, comme dit Frédéric, bon nombre de photographes revendiquent l'influence de l'école de Düsseldorf, mais sur ce "bon nombre" combien se sont affranchis de cette influence pour créer leur propre école, ou tout du moins sortir du lot ?

Et si ! On peut faire du documentaire sans connaitre l’œuvre d'Evans, si, on peut faire du portrait sans connaitre Avedon et Arbus.
Les photos seront-elle moins bonnes, moins fortes ?
Peut-être. Ou peut-être pas.


D'accord Stéphane, tu as été influencé par Jaccottet, mais tu dis aussi que tes paysages sont "plus denses, encore plus mouillés", et j'en déduis que déjà avant cette rencontre, tu l'avais, ce regard. Peut-être moins marqué, mais néanmoins marqué.

Bon maintenant, c'est juste une réflexion.
Je n'ai pas de culture photographique, et ne suis pas artiste.
Juste un besogneux de la photographie.

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

> Ioury écrivait:
> > Alors que l'inconscience est la source de toutes les audaces la Lomographie… ;-p

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.: jeanbaPhoto ::: jeanbaBlog :.

Ioury écrivait:
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> Mais faut-il obligatoirement courir les expos ? Je
> n'en suis pas convaincu.

Vu le nombre d'expo qui se présentent à nous en Europe, courir les expo, revient très vite à ne faire que cela ...

> Je crains qu'à vouloir décortiquer le pourquoi
> et le comment, et à vouloir ensuite les mettre en
> œuvre pour tenter d'approcher le maître, on
> risque de perdre la fraicheur du regard.

Décortiquer, observer, comprendre, approcher, tu n'es pas obligé de tout faire d'un coup. Pour ce qui est de la fraicheur appliquée, non aux yaourts, mais à une production artistique, c'est une construction, cela n'est pas un truc qui sort d'un chapeau parce que ton regard est vierge.

> Il n'y a jamais eu autant de livres de photo
> publiés, jamais autant d'expos, jamais autant de
> photographes et de photographies prises, et au
> final, en proportion, jamais aussi peu de nouveaux
> talents et de photos qui font vibrer.

Oui et non, la production est considérable, en quantité, mais aussi en qualité et en diversité, c'est très facile à vérifier. Mais nous sommes passé d'une lecture discontinue à une lecture continue de l'histoire de l'art, en particulier de la photographie.

> Oui, comme dit Frédéric, bon nombre de
> photographes revendiquent l'influence de l'école
> de Düsseldorf, mais sur ce "bon nombre" combien
> se sont affranchis de cette influence pour créer
> leur propre école, ou tout du moins sortir du lot
> ?

Les écoles émergeront quand les historiens de la lecture discontinue seront réveillés, ce n'est qu'une construction à postériori.

> Bon maintenant, c'est juste une réflexion.
> Je n'ai pas de culture photographique, et ne suis
> pas artiste.
> Juste un besogneux de la photographie.

Et ?!?

SZCZEPANSKI ! : Juste un besogneux de la photographie .
J'ai souvenir d'une photographie d'usine , type industrie chimique , qui était vraiment de "la belle besogne" . A laquelle le qualificatif "besogneux" pour l'auteur n'était pas adapté .
Les photographies d'installations de machines en usine , après avoir observé des opérateurs dans ce contexte , j'ai dit pas facile !

Bonjour,

Les expositions, les vernissages sont des lieux privilégiés d 'échanges entre artistes, des individus comme nous passionnés de photographie et à ce titre la rencontre humaine est passionnante. Ainsi je découvre des approches différentes, non pour les copier, davantage par curiosité.
Je n aime pas les exercices à la manière de ...je préfère rechercher si possible une approche personnelle , parfois ressentie physiquement.

Aller voir une exposition est un moment de plaisir et contribue à une maturité du regard .Néanmoins certaines photographies bousculent, entrainent le doute. Faut il se remettre en question ou continuer?...

Bonne soirée
Caroline
www.carolinemichaud.com

Voir ce que font d'autres artistes ( pas uniquement...) quel que soit le domaine
fait partie de l'enrichissement personnel et collectif.
L'inspiration, la volonté de tendre vers tel ou tel maître est l'apanage
de la jeunesse ou des copistes besogneux et commerciaux.
A 25 balais, mes modèles c'était Irvin Penn et Eugène Smith.
La plupart des vieux briscards de ce forum ont dépassé cela il me semble.
Un courant artistique, une tendance esthétique liée à des pratiques spécifiques
est peut-être (?) une des façons qui créent de l'influence et de l'appartenance, voire
de la dépendance.
Rester dans sa tour d'ivoire, ne pas voir l'autre ou feindre cette ignorance n'amène
qu'un appauvrissement des idées et des concepts.
Nous ne possédons pas ce don d'ubiquité qui nous permettrait d'être l'autre pour
regarder, entendre et initier une réflexion objective.
Nous ne sommes pas ce robot Google "maître du jeux" qui lui, maitrise
cette effrayante perspective.
Notre salut, c'est l'échange, la confrontation des idées et des concepts,
expos, spectacles, sciences, connaissance de l'autre... tout est participation
de notre enrichissement et de notre capacité créatrice dont nous avons
bien besoin en ces temps de troubles extrêmes.
Caroline Michaud, je ne vous connais pas mais ce que vous faites participe
de votre conviction intime et se retrouve dans son résultat.
Personnellement, mon œil n'accroche pas à ce dernier travail que vous
présentez parce que mon idée de la bande dessiné, celle qui me fait vibrer
face à cet art est au-delà d'un traitement technique.
Mais vous avez suivi votre idée avec conviction, et c'est cela l'essentiel.
Je vous souhaite le meilleur.

Bien cordialement

jeep

Francois Croizet écrivait:
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F.Croizet:
> Je préfère cette utilisation de Photoshop à
> celle d'enlever les points noirs, creuser la
> taille, ou faire disparaître les personnage en
> disgrâce !

On n'a pas attendu Photoshop pour cela.
Avant on grattait, peignait, "aérographait".
En plus de 10 ans de tirages modes pour des magasines
comme Vogue, Harpers, Numéro...
J'en ai vu des "petites" se faire ravaler la gueule, rogner la taille,
raboter le nichon et le cul.
Donc rien de révolutionnaire, juste un outil d'une redoutable efficacité
qu'on use avec excès dans une compulsive idée d'une éternelle jeunesse...
Désespérément tordant de voir des gamines de 16 balais qu'on attife façon
femme pour faire rêver les trentenaires. Faut bien que le commerce tourne.
Je ne travaille plus pour ce secteur mais il semblerait que la tendance fasse
revenir vers une "certaine normalité" que l'on considérait disgracieuse.

Et pour les personnages en disgrâce, Staline, Mao et consort n'ont pas
attendu saint totoshop. Il y avait des " retoucheurs liquidateurs" chevronnés pour toutes
ces besognes :-)

jeep

H.Gaud dit plus haut " viser le chemin du voyage et non le terminus" d'accord avec lui . Se donner la bonne conscience de se perfectionner , mais pas dans un but précisément défini : en toute liberté de direction .

Bonjour,

Après quelques mois de travail,le livre photo est terminé et sera expédié à ceux qui l' ont commandé avant la fin de l année 2016, avec un nouveau titre "Mes rencontres parisiennes". Ce livre est plus personnel et correspond à des échanges , des rencontres dans différents quartiers.

A bientôt
Caroline

Est-il possible d'en avoir encore?
Merci.

Bonjour à tous,
en attendant les agapes de ce soir quel plaisir ce fût de tenir ce livre et de parcourir ces pages. Pour l'ancien parisien que je suis devenu ce livre est évocateur de lieux que j'ai parcouru avant de filer en Normandie :-)

On peu ne pas être d'accord sur le côté BD utilisé par Caro, néanmoins comme le disent ceratins j'ai encore la photo de papa en Chasseur Alpin redessiné et lui même nu comme tout les bébes d'avant colorier !

J'ai même rencontré un vieille dame dont ce fût le métier. Alors les logiciels modernes ben oui quoi ils sont là alors on utilise ou pas, mais l'émotion crée par ce travail de Caro dans ce livre est bien réel quand on redécouvre certains coins de Paris.

Merci à l'artiste et au prochain alors ?
Amitié et bon réveillon à tous,

Alain Gillet

[www.alaingillet-auteurdimages.fr]

Bonjour à Tous et Bonne Année 2017,

Merci Wista.
Oui il reste 20 livres. suite par mail privé pour différents renseignements.

Merci Alain
Heureuse que ce livre t 'évoque des souvenirs et rencontres sur Paris.Tes encouragements me donnent l énergie pour commencer une nouvelle série photographique.Souvent c est un sujet qui me hante puis les premières photos faites le sujet s" enrichit peu à peu .Alors pendant deux ou trois ans la série guide mes pas.

Amitié
Caro