Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière

Envoyé par Jean-Paul GANDOLFO 
Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
jeudi 6 août 2015 23:37:31
Bonjours à tous
Un pointeur pour une exposition sur les usages de l'autochrome dans la région Dauphiné. J'y ai modestement participé, avec mon collègue Bertrand Lavédrine, à travers un article présenté dans le catalogue publié à cette occasion.
[www.musee-dauphinois.fr]
Parmi les fonds présentés, celui du docteur Henri Bussillet (1882-1968), redécouvert en 1999, est particuliérement intéressant car il montre des plaques réalisées en altitude par un cafiste (skieur-alpiniste) motivé, par ailleurs ami d'Auguste Lumière qui lui confiait des plaques pour éprouver leur comportement dans ces situations extrêmes. Cette production est donc plutôt exceptionnelle parmi les applications connues du procédé.
HB définissait ainsi sa motivation pour l'alpinisme : "une double passion me tiraillait alors, celle de l'alpinisme, aller, venir, coucher dans les refuges, grimper, et celle de la photographie, non moins bien accrochée à moi, faisant si bien corps que je n'eus pas imaginé effectuer une course sans mon Gaumont 6x13 cm".
En remplaçant Gaumont "6x13 cm" par une longue liste d'équipements postérieurs, la maxime doit encore pouvoir s'appliquer aux Gpistes qui fréquentent les territoires de montagnes et qui n'ont pas succombé aux sirènes de l'Ultra-Trail -:), même si la plupart d'entre-eux en redescendent avec des photographies très bien définies mais aussi plates que le plus valeureux de ces coureurs, et donc dénuées de relief.
Ses photographies de la vallée du Vénéon restituent un paysage oublié de bocage totalement investi par une agriculture nourricière. On peut également voir un très beau portrait de son guide Joseph TURC, dit le Zouave, qui nous rappelle l'époque lointaine du guide paysan. Pierre Gaspard (de la Meije), qui ne devait plus être très jeune à cette époque, l'accompagnait également dans ses bambées d'altitude mais il n'y a malheureusement pas d'image le représentant dans le catalogue.
Je n'aurai sans doute pas l'opportunité de voir l'exposition. Vos retours sont donc les bienvenus.
Salutations alpines avec une pensée pour les isolés de La Grave



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/08/15 11:53 par Emmanuel Bigler (modérateur).
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
jeudi 6 août 2015 23:56:23
Merci de l'info !
Superbes images, on aimerait bien acheter le bouquin, ce sera donc un prétexte de faire un saut à Grenoble voir l'expo !

E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/08/15 11:53 par Emmanuel Bigler (modérateur).
Re: Les Alpes du dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 7 août 2015 09:56:12
Bonjour et merci de cet info!
Y aller impérativement...Faire tirer son portrait en Autochromaton...La comtesse va se faire belle!
Re: Les Alpes du dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 7 août 2015 10:07:10
Mon ami René Gargat à Grenoble a quelques unes de ses oeuvres au musée dauphinois , je les ai vues et repiquées pour lui car il n'en possède plus les négatifs . J'ai en projet d'aller voir M.GARGAT et donc maintenant de l'emmener au musée dauphinois sis sous la bastille , accès par une pente raide . Merci pour cette info .
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 7 août 2015 11:27:42
Faire tirer son portrait en Autochromaton.

Soit dit sans nulle offense, si on fait l'effort d'aller à Grenoble, c'est pour les Alpes et les autochromes véritables, pas pour de méchants ersatz ;-)

Et pourquoi pas son portrait en simulation de diapos Ferrania des années '60, pendant qu'on y est !!

---------------

a quelques unes de ses oeuvres au musée dauphinois
Avant que n'existe le musée dauphinois, les montagnards exposaient leurs vues près de leurs caches.
Aujourd'hui, aux Chasseurs Alpins, on expose les cours dans des diapos.

E.B.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 09/08/15 11:53 par Emmanuel Bigler (modérateur).
Re: Les Alpes du dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 7 août 2015 13:06:15
L'occasion de rappeler que Jean Guibal (Conservateur en chef et Directeur du Musée Dauphinois) qui a coordonné le catalogue de l'exposition, est aussi le directeur éditorial d'une magnifique revue :

[www.lalpe.com]

Dont le n°39 ("Photographier la montagne") contenait déjà un article sur les Autochromes ("Hauteurs en couleurs") signé JP Gandolfo et B. Lavédrine :

[www.lalpe.com]
Re: Les Alpes du dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 7 août 2015 19:02:00
Cher jean Paul
Heureux de te lire ! J'espère que tu vas bien .
Amitiés
Bernard
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
dimanche 9 août 2015 10:16:07
Bonjour Bernard
J'espère que nous trouverons une occasion prochaine pour nous rencontrer dans la vraie vie car je dois avoir une image issue d'un négatif PN 55 qui a au moins dix ans d'âge et qui t'était destinée. J'en ferai un tirage, ou une impression, à la rentrée.
A bientôt sans doute, et en te souhaitant une belle fin d'été

J'en profite pour saluer amicalement Emmanuel au passage et solliciter ses talents de modérateur pour ajouter la majuscule à Dauphiné qui a été oubliée dans l'en-tête de mon message. Les habitants du Haut-Vénéon me pardonneraient difficilement cet écart ...

Concernant l'Autochomaton, je ne dispose pas vraiment d'informations sur la technique mais il s'agit assurément d'une approche alternative qui n'emprunte pas la piste historique, point sensible évoqué lors des rencontres de Graçay !
L'entreprise de recréation à l'identique du procédé autochrome pourait être qualifiée d'Everest des techniques anciennes, même s'il y a quelques concurrents sérieux dans le domaine.

La Ferraniacolor Dia 28 des années 60 avait un rendu bien éloigné des inversibles disponibles à l'époque. A côté des films bien connus commercialisés par Kodak, il y avait également l'Agfacolor CT-18, le Peruchrome Perutz ou encore les Anscochrome 200 ou 500 dont l'indice de sensibilité faisait rêver les adolescents des sixties, sans oublier les Agfachrome 50 S et L sortis en 1969 qui ont marqué la décennie suivante.
Avec un regard contemporain, ces émulsions objectivement perfectibles avaient le mérite de sensibiliser leurs utilisateurs à la signature chromatique d'un film inversible, original unique dont le rendu coloré était contrôlé, physiquement et chimiquement, par chaque fabricant. Le nouvel âge numérique à apporté une extension significative des possibles en termes de restitution des couleurs mais l'attention des amateurs est probablement moins sollicitée sur ces enjeux essentiels dans le processus de fabrication d'une photographie.S'agissant des professionnels, on peut supposer qu'elle l'est encore plus qu'à ces époques reculées.

Une chercheuse américaine, Carolyn Kane, s'est récemment penchée sur cette problématique :
[press.uchicago.edu]

Pour ceux qui souhaiteraient approfondir ces questions, les éditions du Getty Museum ont lancé leurs soldes d'été :
[shop.getty.edu]
Les ouvrages publiés par Sylvie Pénichon et Martin Jurgëns, qui ne seront probablement jamais traduits en français, sont recommandables.
Bonne lecture

@ Marc : l'article qui accompagne le catalogue de l'exposition du musée dauphinois est une adaptation de celui qui avait été écrit pour la revue L'Alpe dirigée par Pascal Kober, et qui était plutôt recentré sur les Alpes du Nord, territoire bien différencié culturellement par rapport au Dauphiné.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/08/15 11:53 par Emmanuel Bigler (modérateur).
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
dimanche 9 août 2015 11:52:49
Bonjour Jean-Paul !

dont le rendu coloré était contrôlé, physiquement et chimiquement, par chaque fabricant.

... maîtrisé (** note 1) par le fabricant, certes, du moins jusqu'à ce que que les diapos soient restées quelques mois ou quelques années dans les boîtes des amateurs, dans des conditions de température et d'hygrométrie fantaisistes ; auquel cas le changement de couleur des diapos suivait sa plus grande fantaisie et n 'avait plus guère à voir avec ce qui avait été testé chez le fabricant au labo d'essais ; certaines diapos, probablement trop influencées par le chat de Cheshire d'Alice, avaient des couleurs qui commençaient lentement à disparaître à peine livrées au client ; et contrairement au chat de Lewis Carroll, n'avaient aucunement le pouvoir de réapparaître à volonté.

Sur ce point, les autochromes des frères Lumière ont l'air plus résistants que la plupart des diapos des années 1960.

En dehors du KodachrômeMD(** note 1), combien de diapos des années 1960 se sont-elles auto-effacées, telle la bande magnétique au message ultra-secret dans la version télévisée originale de « Mission: Impossible» ???

(** note 1) KodachrômeMD est la graphie comtoise consacreée par l'usage sur ce forum ;

(** note 2) on préférera à l'évidence le mot français : maîtrisé, au mot « contrôle » dans son acception anglaise ; en bon français,en revanche, on dira : « Contrôle du gamut ! Montrez votre certificat CIE 1931 !! »


E.B.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
lundi 10 août 2015 22:39:56
Bonjour Emmanuel
Merci pour les dauphinois ...
A propos du Kodachrome qui s'inscrit dans une longue lignée technique avec des évolutions multiples, le comportement du film était effectivement plutôt favorable en conservation à l'obscurité mais sa fragilité était avérée en projection. Les meilleures diapositives sont probablement celles qui n'ont jamais été projetées et la dernière génération, en progrès sur la stabilité, avait une balance chromatique perfectible, comme l'ont confirmé des retraités de Rochester sur le site APUG lors de l'abandon du procédé.

Pour revenir à l'autochrome et à ses performances en matière de conservation, elles peuvent être relativisées et c'était justement un des objectifs de la recherche engagée à la fin du siècle dernier. Aujourd'hui encore, on pourrait être tenté de projeter des plaques originales pour se replacer dans un des dispositifs historiques de visualisation, mais l'exercice n'est pas recommandé car l'autochrome est un objet complexe constitué d'un empilement de couches (fécules, vernis, gélatine ...) qui supportent mal le stress physique causé par la lumière, les températures élevées et les hygrométries faibles. Problème similaire pour les plaques Lippmann, même si des physiciens en ont projetées quelques spécimens lors de la commémoration du centenaire de l'invention en 1991 au palais des Congrès à Paris. L'écran devait faire 1,20 m de base, il fallait donc être jeune et doté de toutes ses capacités visuelles pour profiter pleinement du spectacle.

Côté gamut (anglicisme contemporain ?), celui de l'autochrome reste difficile à évaluer car le procédé est en fin de vie lorsque la CIE propose ses recommandations en 1931 sur les illuminants et l'observateur moyen. Louis Lumière ne dirige plus l'usine de Monplaisir qu'il a quittée pour s'installer à Neuilly. Contrairement à un écran CRT ou LED qui émet sa propre énergie, une diapositive reste une source secondaire dont l'aspect visuel est lié aux caractéristiques de la source primaire qui permet de l'observer. Les fonds concernés par le procédé sont confrontés à ce questionnement essentiel pour lequel il n'y a pas de réponse unique. Par ailleurs, les variables de fabrication (artisanale) et de traitement (amateur) sont plutôt élevées et compliquent singulièrement les tentatives de caractérisation, sans oublier les variables de conservation également bien représentées, comme tu le soulignes justement.

Dans l'exposition de Grenoble, il y a également des reproductions de plaques Dufay, première génération, qui nous rapprochent de Besançon.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
lundi 10 août 2015 22:56:55
plutôt favorable en conservation à l'obscurité mais sa fragilité était avérée en projection.

Ah ! Doux souvenir de mon passage à Orsay (91-F) au siècle dernier.
Le légendaire bâtiment 503 de la faculté des sciences de Paris-XI abritait non seulement l'École Supérieure d'Optique & les laboratoires de recherche, mais hébergeait un service du Laboratoire National d'Essais (le LNE) qui s'appelait le CECEP, chargé de tout ce qui concernait les tests sur les films photographiques.
Déjà un inconditionnel du Kodachrôme à l'époque, j'avais dû accepter la dure réalité de ce que l'un des ingénieurs du CECEP m'avait expliqué : en résumé, les ektas tenaient bien mieux le coup à la projection, mais moins bien le coup au vieillissement ; alors que pour le Kodachrôme, c'était l'inverse.
Mais finalement, le vieillissement plutôt que la tenue en projection, c'est tout ce qui intéresse l'amateur, celui qui ne fait pratiquement pas de photos et qui les laisse dans des boîtes jaunes pendant des décennies ...

Donc, une seul solution pour des diapos couleur inaltérables, des diapos N&B en séparation trichrôme, projetées selon la méthode de Saint Prokudin Gorskii, méthode remise au goût du jour au congrès GP de Perpignan en 2010 par l'archevêque de Moisenay ...

E.B.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 14 août 2015 23:12:05
C'est fait, j'ai fait un saut au musée dauphinois de Grenoble, et je remercie au passage l'éminent galerie-photoïste du pays qui m'a servi de guide.

Non seulement le lieu est superbe, c'est un ancien monastère en-dessous de la Bastille (on y vient à pied, mais la maison n'est pas bleue et elle n'est pas au sommet d'une colline), et disons tout net que cette expo sur les autochrômes alpins est superbe.

Donc merci à JPG, je ne peux qu'encourager tous les galerie-photoïstes qui seraient à Grenoble ou qui viendraient à s'y trouver, à faire un saut au musée dauphinois (c'est gratos, ce qui ne gâte rien !)

http://www.musee-dauphinois.fr/3084-premieres-couleurs-la-photographie-autochrome.htm

Donc on y voit de VRAIS autochrômes, beaucoup de couples stéréo 6x13 cm, mais quelques plus grands formats tout de même. Des copies, en tirages jet d'encre en diapositives, ou des tirages géants projetés en transparence (probablement des fichiers numériques au vidéo projecteur), font rêver à ce que nous pourrions laisser à nos arrière-petits enfants comme images couleur pérennes, au lieu de ... mais j'arrête là, ce n'est pas le sujet.

J'ai bien regardé le Dufaycolor indiqué par JPG, il me semble assez bien conservé ; on ne peut pas en dire autant, hélas, d'un kodachrôme 13x18 cm, exposé juste à côté ; devenu aussi mauve qu'une mauvaise diapo d'amateur sur film des années 1960 ... Le mythe de l'inaltérabilité du kodachrôme en prend un coup !

J'ai bien entendu acheté le catalogue de l'expo pour la modique somme de 16 euros.

---------------------------------

Comme c'était ma première visite, je n'ai pas boudé mon plaisir à voir les collections permanentes, en particulier celle concernant le ski, et celle concernant les arts & traditions populaires, les beaux meubles en bois sculptés, les outils agricoles.

Il y a une collection étonnante d'un objet qu'à Grenoble on appelle un coffin (rien à voir avec le mot anglais) ; en Franche-Comté, on appelle cela : un couvier. C'est un étui en bois destiné à transporter, humide, la pierre à aiguiser les faux.

----------

Pour terminer, une devinette.

Parmi les images d'après autochrômes, présentées sous forme de tirage jet d'encre en transparence, il y en a une intitulée :
« Au ski avec Fernande ».

Ces copies sont affectées d'un défaut caractéristique, lequel ?

E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/08/15 23:16 par Emmanuel Bigler.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
vendredi 14 août 2015 23:53:43
Des bandes....

Gabriel
gabrielramon.com
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
samedi 15 août 2015 09:45:06
Gabriel a gagné !
Presque toutes les copies agrandies sur transparent étaient affectées de ce défaut (apparemment, ça ne se commande pas), mais on ne va pas tenir rigueur au musée dauphinois, bien au contraire, de garder les précieux originaux en lieu sûr, et de ne montrer principalement que des copies.
Les projections de fichiers numériques ne présentaient pas ce défaut, ce qui n'est sans doute pas une surprise.

Heureusement, il y a des autochrômes originaux à voir en vrai dans l'expo, et pour les distinguer des copies, comme le faisait dire Audiard à Lino Ventura dans « Les Tontons flingueurs » :

« C'est même à ça qu'on les r'connaît »

E.B.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/08/15 09:50 par Emmanuel Bigler (modérateur).
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
samedi 15 août 2015 20:05:56
Bonsoir Emmanuel
Merci pour ce compte-rendu documenté qui va me laisser des regrets éternels si je ne parviens pas à descendre à Grenoble avant la fin septembre.
Des bandes étaient également présentes sur certaines plaques autochromes lorsque les aiguilles utilisées pour écraser les grains de fécules n'étaient pas rectifiées à temps ou encore lorsque le dispositif d'étendage du second vernis était mal réglé. Dans ce domaine, Louis Lumière a également été un pionnier !
Le Kodachrome présenté dans l'exposition était-il un original ou un duplicata ?. Cette dernière possibilité me semble plus adpatée au regard de la durée de l'exposition, à moins que le film ne soit protégé par un dispositif d'occultation ou d'allumage commandé par les visiteurs.
Un lien vers la seconde vie de Louis Dufay, moins connue que la première : [wooloomooloo.com]
Un autre pour aller voir à nouveau des autochromes cet automne pour les frontaliers de l'est, décidément bien favorisés : [www.musee-gruerien.ch]
Le musée gruerien détient également des daguerréotypes de Girault de Prangey pris dans les Alpes vers 1845-1850 à la fin du Petit âge glaciaire, mais sans les bandes de Forbes que Fernande avait peut être aperçues en poussant sur les bâtons sur le chemin du Montenvers.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
samedi 15 août 2015 20:11:54
Le Kodachrome présenté dans l'exposition était-il un original ou un duplicata ?

Zut, je ne sais pas, j'ai regardé trop rapidement !
Effectivement, si c'est une copie en ekta, le mauve pourrait s'expliquer ...

Un autre pour aller voir à nouveau des autochromes cet automne pour les frontaliers de l'est, décidément bien favorisés :

Merci, c'est noté.
« 26.09.2015 - 14.02.2016
Fous de couleurs
Autochromes, les premières photographies en couleur de la Suisse (1907-1938) »

E.B.
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
samedi 15 août 2015 21:32:19
N'oubliez pas qu'avec Félicie il y a des bandes, aussi...

Gabriel
gabrielramon.com
Re: Les Alpes du Dauphiné et la plaque autochrome Lumière
dimanche 16 août 2015 07:38:50
Au moins avec Lulu, il n'y en a plus...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter