Mining Photography . Vienne 8 mars - 25 mai 2023

MINING PHOTOGRAPHY . THE ECOLOGICAL FOOTPRINT OF IMAGE PRODUCTION.

Hamburg . bis 31. Oktober 2022
[lfi-online.de]

Vienne . 8 mars 25 mai 2023
[www.kunsthauswien.com]

Winterthur. 22. September 2023 bis 21. Januar 2023



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/03/23 23:56 par danmrb.

Encore des gens qui comptent nous expliquer que pour faire des photos il faut extraire des matériaux. Je crains malheureusement qu’il en soit ainsi pour toutes les activités humaines. Ils ont l’air d’avoir trouvé cela tout seuls, on les félicite.
Espérons qu’ils ne vont pas cerner le siège social d’Ilford à Mobberley comme les petits crétins que l’on retrouve devant celui de Total…

Il ne s'agit pas de manifestations ni de revendications mais uniquement d'une exposition sur l'industrie extractive des composants nécessaires à la photographie (argentique), c'est intéressant et instructif.
Ca relève plus de l'histoire des technologies que du militantisme écologique.
Il reste encore des pans de l'histoire et de l'art qui résistent à l'idéologie woke à la mode et qui ne cherchent pas à démontrer une quelconque culpabilité.

J’étais à Vienne en début de mois mais j’ai zappé … préférant aller me prosterner devant les KLIMT et SCHIELE …

Hier soir au J.T :
[www.arte.tv]

O.B
[www.flickr.com]

Désolé, mais non. Je lis la présentation du KunstHaus lui-même

"Just how sustainable is the ‘eternal moment’? To what extent does the production of photographs contribute to man-made climate change? MINING PHOTOGRAPHY. The Ecological Footprint of Image Production looks at the history of the key raw materials involved in photography: how they are mined originally, how they are disposed of, and the impact on our environment. A history of materials in five acts!"

S'agissant donc clairement d'empreinte écologique, de développement durable, d'impact climatique de l'extraction des matériaux qui ont été - ou sont - nécessaires à la photographie, ça me semble assez clair.

Sur le même thème, on peut envisager l'automobile,l'aviation, les trains, les disques, les rasoirs jetables, etc etc..

L'arbitrage d'Olivier est beaucoup plus pertinent. Mais je retiens que "nous" pourrions être un jour dans le collimateur des redresseurs de torts qui pullulent.. .

le fait même d'écrire ces quelques caractères a une "empreinte écologique".
damned, on est foutus ...

MarcN écrivait:
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> S'agissant donc clairement d'empreinte
> écologique, de développement durable, d'impact
> climatique de l'extraction des matériaux qui ont
> été - ou sont - nécessaires à la photographie,
> ça me semble assez clair.

Clair et intéressant, c'est toujours intéressant de mesurer causes et conséquence.

> Sur le même thème, on peut envisager
> l'automobile,l'aviation, les trains, les disques,
> les rasoirs jetables, etc etc..

Pour ma part, l'empreinte de mon travail photographique ce sont surtout les kilomètres nécessaires pour leur réalisation,
J'ai dépassé les 200 tonnes de pétrole ...