Sony 7RIII

Il est presque au 4x5 inch, encore un effort pour rentrer dans la charte... ; )

[www.sony.fr]

Le RII est déjà en 43MP.
Le truc fou c'est la stabilisation 5 axes.
Le 1/30ème de seconde en 43 MP sans bougé et l'AF au rasoir supersonique...Ca le fait!

Très très belles machines que ces mirroless très en avance sur les autres.
Et les optiques suivent, tant dans la marque que chez Zeiss et Sigma.

Quand les menus seront moins ésotériques, on touchera là le top des machines de production photo et vidéo dans ce format.

Chez Sony, on a toujours eu des difficultés sémantiques dans les menus.
Ça gueule de partout dans le monde, ils restent sourds.

Mais l'inconvénient reste mineur.

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J'ai peine à y croire , peu importe , je n'en ai ni l'usage , ni l'envie . C'est bon pour les satellites . Je n'en ai pas trouvé le prix demandé ?

En cherchant bien on trouve du RII à moins de 2000€. Le III vient de sortir, pas de prix encore mais ça va tourner autour de 3500 - 4000, pas le moment de l'acheter donc.

Pour se faire une idée du succès de ces machines, il faut se balader sur les forums dédiés. Peu de boîtiers ont provoqué un tel engouement depuis pas mal de temps, surtout chez les hybrides photo/vidéo.

La raison s'explique simplement: les travaux à l'arrache sont devenus un standard de production.

Il faut arriver sur les lieux sans repérage préalable, juger la lumière disponible instantanément et les apports de lumière possible avec des panneaux LED sur batterie, l'acoustique, donc un choix et un emplacement de microphone, le décor possible, la focale variable ad hoc pour flouter le laid, la hauteur de pied ou mieux aujourd'hui, un stabilisateur Zhiyun Crane2 qui permet, couplé au stabilisateur du boîtier, de rester strictement immobile à main levée même en vidéo 4K.

On a changé de monde.

M'en vais craquer un rouleau de Tri-X tiens, ça gagne rien mais ça repose :)
Bon dimanche à tous.

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3200 $ chez B&H.... ça va faire dans les 3700 Euros chez nous. 100 de moins qu'un D850. C'est le baston entre les reflex et les "mirrorless" ..

MarcN écrivait:
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> 3200 $ chez B&H.... ça va faire dans les 3700
> Euros chez nous. 100 de moins qu'un D850. C'est le
> baston entre les reflex et les "mirrorless" ..

Des machines trop bon marché,
Cela donne une petit idée du taux horaire des utilisateurs professionnels de ces machines.

"Viseur électronique (couleur) 1,30 cm (type 0.5), OLED Quad-VGA"

Pour moi, c'est rédhibitoire...

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Nestor Burma écrivait:
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> MarcN écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > 3200 $ chez B&H.... ça va faire dans les 3700
> > Euros chez nous. 100 de moins qu'un D850. C'est
> le
> > baston entre les reflex et les "mirrorless" ..
>
> Des machines trop bon marché,
> Cela donne une petit idée du taux horaire des
> utilisateurs professionnels de ces machines.


Exact !

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Certainement.. après il faut voir ce qu'ils sont capables de sortir avec. même s'ils s'étaient payés un Phase One 100MP à 45000 balles...

Nestor Burma écrivait:
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Des machines trop bon marché, Cela donne une petit idée du taux horaire des utilisateurs professionnels de ces machines


Réflexion de nostalgie corporatiste has been.

Ces machines géniales mettent juste un coup de pied dans le vieux système auto-protégé des anciens cadors aujourd'hui dépassés qui regardent leur monde s'écrouler.

Elles permettent au contraire de produire dans des couches budgétaires jusque-là interdites d'images de qualité "élitiste".
Elles permettent également à de jeunes talents d'accéder à des matériels ultra-performants sans s'engager dans des financements angoissants à perte de vue.

Les coûts d'investissement ont à l'évidence un impact sur la facture, mais comme je le dis plus haut, ces matériels réduisent considérablement la durée d'intervention et les aléas d'échec.
Le travail a changé de ce fait, on ne le pense plus pareil.

Ce qui ne change pas, et ne changera pas, c'est le professionnalisme.
Et le professionnalisme se facture, indépendamment du coût du matériel. Savoir le vendre et le faire apprécier fait partie du métier comme dans les autres.

De mon point de vue, les métiers de l'image fixe et de l'image qui bouge ne feront plus qu'un dans un avenir très proche. C'est déjà le cas pour un pourcentage grandissant d'entre nous. Les photographes de la presse écrite font maintenant conjointement des photos et des reportages vidéo au même moment avec un seul boîtier.
Les mariagistes développent également le concept. Pour ma part, on me demande aujourd'hui des photos de très haute définition en plus de la vidéo, et rien n'est plus simple que de passer de l'une à l'autre avec ces machines. JPEGs, RAWs et fichiers vidéo se rangent dans leurs dossiers respectifs sur une même carte cadencée à 150 Mb/s.

On a juste changé de monde.

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"les métiers de l'image fixe et de l'image qui bouge ne feront plus qu'un dans un avenir très proche."

La vidéo 8K c'est pour demain et c'est des images individuelles de plus de 30 mpix, suffisantes pour un tirage taille poster. Le 4K, disponible aujourd'hui sur smartphone, ce sont des images suffisantes pour une double-page sur papier glacé. Il me semble évident que la presse n'a plus besoin d'envoyer un photographe en plus de l'équipe vidéo.

Il restera pourtant encore un marché pour la photo, car composer des images filmées et des images fixes ce n'est pas pareil, mais ça devient un marché de niche.

Je vous laisse à vos délires, ce que je constate c'est une relation entre les prix des équipements et les revenus des utilisateurs des équipements. C'est assez général et ne concerne pas que la photo.
Pour la relation image fixe image animée, l'une est industrielle, l'autre artisanale, deux mondes différents, qui se croisent de temps à autre, mais qui restent bien différents.

Nestor Burma écrivait:
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une relation entre les prix des équipements et les revenus des utilisateurs des équipements


C'est une conclusion toute personnelle que tu fais ici. Le prix du matos et les revenus de certains utilisateurs ont certes baissé mais les raisons ne sont pas totalement corrélées.

De ton temps la frontière entre les pros et les photographes du dimanche était très marquée. Elle ne l'est plus autant aujourd'hui, grâce à la technologie et ces nouveaux matériels accessibles.

Quant au revenu des pros aujourd'hui, il est lié à leur pleine adhésion à ce changement (ou à leur résistance). Je le dis et le répète, j'en connais qui vivent bien même s'ils ne roulent pas en Aston-Martin.

Quant à la dichotomie que tu fais sur l'environnement industriel ou artisanal de l'une et l'autre des pratiques fixes et animées, une fois de plus tu te marginalises par rapport a la réalité de terrain dont tu sembles tout ignorer.

Sur le terrain, les deux pratiques fusionnent de plus en plus. Et comme il est dit plus haut, la 8K va enfoncer le clou.

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Je ne cherche pas à discuter avec un mec qui n'a aucun contact avec le vrai monde,
Mais les faits restent bien présents et cela n'a rien de personnel,
Juste des constats.

Ensuite vous en faites et pensez ce que vous voulez, de toute façon, je me cogne complètement des rotomontades ...

Nestor Burma écrivait:
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de toute façon, je me cogne complètement des rotomontades ...


On dit "rodomontades" dans le vrai monde.

Tu t'enfonces inexorablement dans tes certitudes fossiles en dénigrant toute modernité, c'est un signe irréversible de vieillesse précoce.
Et quand tu es pris la main dans le pot de confitures, tu "t'en tapes" de l'avis des autres, tes pirouettes on les connait depuis 15 ans.

Que tout cela ne t'empêche pas de quincailler et tambouiller comme tu aimes hein.
La Terre tourne toujours.

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Nestor Burma écrivait:
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> Je vous laisse à vos délires, ce que je constate
> c'est une relation entre les prix des équipements
> et les revenus des utilisateurs des équipements.

Délire ou pas, la presse utilise déjà les images issues de la vidéo comme image fixes. C'est comme ça, qu'on le veuille ou pas.

Relation entre le prix des équipements et les revenus des utilisateurs: oui, sans doute. Le prix de l'équipement limite l'entrée sur le marché des amateurs et semi-pros et permet de justifier des tarifs élevés auprès des commanditaires. Mais là aussi c'est comme ça, qu'on le veuille ou pas: le prix des équipements baisse.

J'espère qu'il vont faire un adaptateur en M42... :) Hem, si vous me cherchez je suis déjà parti...

Vest Pocket écrivait:
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J'espère qu'il vont faire un adaptateur en M42...

Déjà fait.
Même en baïonnette Leica M. Je monte mon Summicron sur le RII, il bat tous les autres.

ici sur le SII

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Moi je pensais plutôt à un bon vieux zoom Soligor, mais c'était une boutade.

Y a des adeptes du vintage grunge.
Moi pas fan, mais c'est chacun.

grandstirages écrivait:
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>
> Relation entre le prix des équipements et les
> revenus des utilisateurs: oui, sans doute. Le prix
> de l'équipement limite l'entrée sur le marché
> des amateurs et semi-pros et permet de justifier
> des tarifs élevés auprès des commanditaires.
> Mais là aussi c'est comme ça, qu'on le veuille
> ou pas: le prix des équipements baisse.


Et, faut arrêter de rêver...
Le prix des équipements baisse, mais la rémunération des photographes s'effondre.
En illustration, par rapport aux années 80, le tarif a été divisé par 50 ou 100.( en francs/euros constants)
D'ailleurs, il n'y a plus d'agences d'illustration...

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Ioury écrivait:
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par rapport aux années 80


Certes. Mais à l'époque actuelle, 40 ans c'est pas rien si on en juge par les bouleversements qui impactent le monde en quelques mois seulement.

La profession de photographe des années 80 à ce titre n'est pas la seule à avoir trinqué, et les revenus de l'époque pour un magasin de photo étaient pour 70% des travaux de développement et tirages qu'ils sous-traitaient.

La mienne a traversé au moins 4 révolutions technologiques et les survivants des années 80 ne sont pas légion.

Quelle profession n'a pas été touchée...
Plombier? Électricien? Eh non, leur métier lui aussi est aujourd'hui entré dans le numérique, et si c'est toujours avec la même clé à molette dans la poche du bleu de travail, ils arrivent aujourd'hui chez toi avec une tablette et un logiciel de diagnostic qui leur permet de te faire un devis instantanément, et même de te faire choisir ton radiateur sur photo ou en animation 3D.
Le gars pas équipé de cet outil est condamné, avec ses catalogues déjà obsolètes à leur sortie de l'imprimerie.

La photographie professionnelle d'aujourd'hui à mon sens survivra associée à d'autres activités, d'autres compétences connexes. Graphistes, communicants, vidéastes, journalistes, auteurs littéraires, peintres, infographistes 3D, Motion design, chefs op,...

Elle survivra non plus dans l'isolement du photographe, mais dans le collaboratif.

Son cas n'est pas isolé. Pourquoi assistons-nous actuellement au regroupement d'activités connexes dans des clusters ou des pôles de compétitivité, si ce n'est pour assurer leur pérennité et leur développement mutuel et réciproque...

Mais la résistance au changement est toujours vive. Une amie photographe ET graphiste a des soucis avec les agences de com qui la soupçonnent de "concurrence déloyale".

Questions de territoires, de prérogatives, de coutumes. D'habitudes. La mutation n'est pas faite dans la photo. Mais sa survie en dépend.

Ce n'est qu'un avis, basé sur l'observation quotidienne des métiers de l'image. Le débat reste ouvert.

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Ioury écrivait:
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> grandstirages écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> >
> > Relation entre le prix des équipements et les
> > revenus des utilisateurs: oui, sans doute. Le
> prix
> > de l'équipement limite l'entrée sur le
> marché
> > des amateurs et semi-pros et permet de
> justifier
> > des tarifs élevés auprès des commanditaires.
> > Mais là aussi c'est comme ça, qu'on le
> veuille
> > ou pas: le prix des équipements baisse.
>
>
> Et, faut arrêter de rêver...
> Le prix des équipements baisse, mais la
> rémunération des photographes s'effondre.
> En illustration, par rapport aux années 80, le
> tarif a été divisé par 50 ou 100.( en
> francs/euros constants)
> D'ailleurs, il n'y a plus d'agences
> d'illustration...

Quand il n'y a plus d'agence dédiée, c'est qu'il n'y a plus de professionnel dans le secteur, il ne reste qu'un flux d'images et non la somme de compétence.
La compétence est déléguée au grand nombre, à l'industrie ...

Tout cela n'est pas très grave, il suffit de changer de métier, il y a tellement de voies possibles. Personnellement, la voie du flux et du grand nombre ne m'intéresse pas, je reste dans l'artisanat, mettant l'industrie le plus loin possible de ma zone travail.

Avec cette machine magnifique, bon marché et de grand performance, j'entends le son du glas qui se propage à travers forêts et collines ...

L'arrivée du numérique dans toutes les professions n'est pas le vrai problème.

Autrefois (il n'y a pas si longtemps), on rémunérait le travail.
Aujourd'hui, on a choisi de rémunérer le capital.

De tout temps, le progrès technologique a permis de réduire la pénibilité (éventuellement) et d'accroitre la productivité.
On produit de plus en plus, avec moins de bras.
La mondialisation amplifie la chose de façon exponentielle.

Nous sommes plus de 7 milliards d'individus, des enfants travaillent pour survivre.
Informatique ou pas, il n'y a plus de travail pour tout le monde.
Seuls les politiques veulent nous faire croire au plein emploi futur et toujours éloigné.

Un vrai partage des richesses et du travail serait une solution.
24h par semaine, ce serait pas mal, non ?

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)

Ioury écrivait:
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> Un vrai partage des richesses et du travail serait
> une solution.

Donc finalement, l'effondrement des prix depuis les années 80 est une bonne chose.
Si j'ai bien compris, un Photographe qui fait 100000€ de CA en 2017 aurait fait X50 à X100 dans les années 80 soit entre 5 et 10 millions d'euros ! (pour un taf plutôt cool)

Seul le capitalisme le plus brutal et/ou un mauvais partage de l'argent public peut permettre une telle chose.
Il était temps que c'est branleurs de Photographes arrêtent de se gaver comme des traders ;)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/11/17 12:30 par Guillaume Crochez.

Guillaume Crochez écrivait:
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> Donc finalement, l'effondrement des prix depuis
> les années 80 est une bonne chose.
> Si j'ai bien compris, un Photographe qui fait
> 100000€ de CA en 2017 aurait fait X50 à X100
> dans les années 80 soit entre 5 et 10 millions
> d'euros ! (pour un taf plutôt cool)

Ioury ne parlait que du CA provenant d'agence d'illustration, j'aimerais croiser le type qui fait aujourd'hui des notes de 100 000 Euro par an à son agence d'illustration ...

Nestor Burma écrivait:

> Ioury ne parlait que du CA provenant d'agence
> d'illustration, j'aimerais croiser le type qui
> fait aujourd'hui des notes de 100 000 Euro par an
> à son agence d'illustration ...


Ok je comprends. Je n'ai pas connu ces agences ...

Guillaume Crochez écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
>
> > Ioury ne parlait que du CA provenant d'agence
> > d'illustration, j'aimerais croiser le type qui
> > fait aujourd'hui des notes de 100 000 Euro par
> an
> > à son agence d'illustration ...
>
>
> Ok je comprends. Je n'ai pas connu ces agences ...

Il en reste, quelques survivantes, je fais des factures tous les mois ...

Nestor Burma écrivait:

> Il en reste, quelques survivantes, je fais des
> factures tous les mois ...


Au prix des années 80 j'espère ;)

Guillaume Crochez écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
>
> > Il en reste, quelques survivantes, je fais des
> > factures tous les mois ...
>
>
> Au prix des années 80 j'espère ;)

Je les fais par principe, dans les années 90-00 cela couvrait les dépenses vigneronnes, aujourd'hui cela ne paye pas les eaux minérales ...