insoleuse avec leds UV

pascalM écrivait:
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> L'UV-mètre peut être intéressant, mais il faut
> être certains qu'il mesure réellement les UV et
> ne fait pas une extrapolation à partir du spectre
> visible et des IR... ce que font les modèles
> destinés à la protection de la peau.

J'ai ce modèle, il est dédié à la photographie alternative, cela fonctionne très bien ...

[www.alternativephotography.com]

Sinon il y a aussi en plus sophistiqué:
[ianleake.com]

PAyral
[payral.fr]
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I own an iPhone so I'm a Photographer, Damn It.

J'utilise aussi un UV metre fait maison aussi bien avec l'insoleuse qu'en lumière naturel c'est juste parfait je ne pourrais plu m'en passer c'est comme un posemètre en photo on peut faire sans mais c'est bien moins pratique !

J'ai utilisé l'insoleuse pour étalonner mon UVmetre,
en dehors de cela je ne l'utilise pas avec l'insoleuse,

elle est donne une lumière constante, pas besoin de mesure
une série de tests m'a donné mon temps de base (8 minutes en Pd/Pt)
depuis je n'en change plus.

Mon UVmetre contrôle mon insoleuse (allumage et extinction) ce qui me permet de faire autre chose au labo sans me concentrer sur le timer, en plus je gère les expos avec mes temps de bases et des corrections d'expo comme + ou - x1/3 IL ce qui me permet d'adapter le temps d'expo aux rendues souhaite ou au négatif. Et comme j'ai une insoleuse a tube je n'ai pas a la laisser tourner pour la stabilisé, je démarre a "froid" chaque tirage et l'UVmetre compense en temps réel.

Et l'été ou quand il fait beau je sors faire mes tirages en extérieur aussi simplement qu'avec l'insoleuse. Je pratique plusieurs procédés alternatifs avec des temps de tirages court ou très long et je trouve ça très pratique on peut faire sans, mais ça m'apporte une régularité dans le process.

Je travaille même sur une v2 avec plein d'améliorations, c'est même une refonte complète après deux ans d'utilisation intensive.

Franck



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/12/19 11:04 par Meditant.

L'insoleuse led n'a pas de préchauffage et elle est sur une minuterie,
pour corriger une expo +1/3 ou -1/10, je sais encore faire ça de tête !

donc je me retrouve dans les mêmes conditions que toi, mais de façon plus simple :-)

l'UVmetre est là pour les expos en extérieur.

Dans ma pratique l'UV meter est utilisé pour la lumière solaire, avec un étalonnage sur l'insoleuse qui sert de référence.

Mon insoleuse dispose de starters électroniques et de 2 niveaux de puissance, mes poses courtes sont de 10 mn. L'UV meter m'a permis de cerner la courbe d'actinisme des tubes à l'allumage, sur 10 mn de pose c'est négligeable.

Pour des poses plus courtes ou diversifiées, cela peut arriver, l'insoleuse dispose de tiroirs et se charge comme un four, elle reste allumée du matin au soir et les poses se règlent en entrée sortie, je peux avoir 4 chassis presse et 4 poses différentes simultanément.

Bonjour

J'ai besoin d'explication

Si je comprends bien l'UV meter est fondé sur des unités résultant d'un calcul interne à la machine. (je ne me soucie pas de ce qu'il calcule, ni comment, sauf à savoir qu'il s'agit d'une quantité cumulé dans un temps donné)

Mais comment savoir le nombre d'unités que je dois paramétrer en fonction du négatif, du papier et de la chimie ?

Si les deux derniers sont constants comment régler les unités nécessaires en fonction de la densité du négatif ?

Une bande test en partant d'une valeur moyenne en fonction de la chimie et du papier ?

Je ne sais pas comment sont faits les UVmetre du commerce.

Mon modèle perso ("maison") comporte un bouton de réglage de sensibilité (unité arbitraire), il affiche un temps d'insolation.

pour étalonner je fais une exposition avec l'insoleuse quand l'exposition donne une image ok, je note le temps

je place l'UVmetre sous l'insoleuse et je modifie la sensibilité jusqu'au moment où il indique le temps trouvé

je découvre ainsi que mon Pt-Pd a une sensibilité de 612 unités arbitraires

et voilà...

Pierre L écrivait:
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> Bonjour
>
> J'ai besoin d'explication
>
> Si je comprends bien l'UV meter est fondé sur des
> unités résultant d'un calcul interne à la
> machine. (je ne me soucie pas de ce qu'il calcule,
> ni comment, sauf à savoir qu'il s'agit d'une
> quantité cumulé dans un temps donné)

On va appeler cela des TOP (cela existait sur les chassis de copie en photogravure pour ne pas avoir à tenir compte de l'usure des lampes.

> Mais comment savoir le nombre d'unités que je
> dois paramétrer en fonction du négatif, du
> papier et de la chimie ?

Les procédés alternatifs ont beaucoup de défaut, mais ils sont plutôt stable en sensibilité et si le test que l'on réalise dans son labo, avec ses moyens et ses exigences et faut 4000 top, du début à la fin de l'année les 4000 top produiront les mêmes effets.

> Si les deux derniers sont constants comment
> régler les unités nécessaires en fonction de la
> densité du négatif ?

En négatif jet d'encre, les négatifs sont "normalisés" la pose est toujours la même, où presque.

En négatif argentique, on gardera une mesure de densité d'une plage de référence (il y a toute sorte d'école dans le choix de la plage en question).
Soit un négatif TEST avec la "pose de base en TOP" donc la plage de référence a une densité de Dr, et un négatif à tirer dont la plage de référence à une densité de Da ...

la nouvelle pose en TOP se calcul ainsi : Fonction log inverse (Da-Dr) X pose de base en TOP" = nouvelle pose en TOP

> Une bande test en partant d'une valeur moyenne en
> fonction de la chimie et du papier ?

On peut aussi procéder ainsi

Merci beaucoup Henri, Pascal, Franck et les autres

Je vais essayer de progresser avec toutes ces indications.