Le même principe que les lanternes SONARC qui équipaient les projecteurs HORTSON 16mm utilisés jusque dans les années 80 dans beaucoup de ciné clubs en France. Il fallait une surveillance permanente de l'avance des charbons "Le carbone Lorraine" afin d'éviter les hurlements des spectateurs qui voyaient la luminosité diminuer progressivement sur l'écran si le projectionniste s'éloignait de sa machine.
Il n'y avait en général pas besoin de chauffage dans la cabine de projection.
Depuis, les projecteurs HORTSON restants ont été sans doute équipés de lampes XENON qui sont quand même plus pratiques.
Comme toutes les lanternes à arc, il fallait gérer la durée de vie des charbons qui s'usaient assez rapidement (avec une lanterne SONARC on ne pouvait pas dépasser 1h de projection sans les remplacer, d'ou entracte obligatoire au milieu de la plupart des films).