Le portrait corporate - Eyrolles

Résumé

Le portrait corporate est une discipline photographique répondant aux besoins multiples des professionnels à la recherche d'images pour promouvoir leur activité, leur marque, se promouvoir eux ou leur équipe. Destinés à illustrer un site Internet, une signature mail, des brochures internes, un article de presse, un CV ou à mettre à jour le trombinoscope de l'entreprise, ces portraits répondent à des problématiques particulières qui diffèrent grandement de celles d'un portrait personnel. Comment le photographe va-t-il répondre à la demande de son client lors de la séance ? Comment va-t-il le diriger pour obtenir des images conformes à ses attentes ? A la manière d'un workshop, cette collection dédiée aux photographes professionnels et aux problématiques de prises de vue, présente le déroulé d'une séance photo et met en lumière la pratique d'un expert. Milena Perdriel a fait du portrait corporate sa spécialité. Elle photographie aussi bien des entrepreneurs individuels, que des artisans, des cadres et dirigeants d'entreprises, et forme régulièrement des photographes aux problématiques spécifiques de cette discipline.

[www.eyrolles.com]

"Portrait d'entreprise" ou "en entreprise", ça ne se dit pas chez les photographes de par chez vous?.
(Comme Mr Jourdain j'ai fait du "corporate" toute ma vie sans le savoir; si j'avais su j'en aurais mis plein mes factures, ça n'aurais en rien changé mes images mais peut être mon prestige et mon compte en banque...).

Gabriel
gabrielramon.com

Gabriel écrivait:
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> "Portrait d'entreprise" ou "en entreprise", ça ne
> se dit pas chez les photographes de par chez
> vous?.
> (Comme Mr Jourdain j'ai fait du "corporate" toute
> ma vie sans le savoir; si j'avais su j'en aurais
> mis plein mes factures, ça n'aurais en rien
> changé mes images mais peut être mon prestige et
> mon compte en banque...).

Possiblement,
Mais “corporate“ fait partie des meubles depuis plusieurs décennies ...

Il convient de distinguer, le Portrait d'entreprise du Portrait corporate

corporate : relating to a large company or group ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 14:42 par Nestor Burma.

Gabriel, du point de vue des entreprises, services comm particulièrement etc, la formulation à la mode est "portrait corporate"
L'auteure s'adapte à la demande

Un point de vue complémentaire ici, avec plus de nuances et probablement d'expertises ; professionnels, cadres, dirigeants, les oiseaux à photographier ne sont pas les mêmes : [www.studio-harcourt.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 14:42 par Michael77.

"Portrait corporate" ou "executive ..." dans les deux cas les images Harcourt sont nulles ou franchement nunuches....Mais bon, ils savent au moins comment faire contemporain avec du cliché dépassé.

Gabriel
gabrielramon.com



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 14:50 par Gabriel.

L'important, ce n'est pas ce qu'en pense un photographe en particulier, mais ce qu'en pensent les photographiés.

Si des clients continuent d'y affluer, c'est manifestement qu'ils aiment ce style de photographie.

Pour vendre, il faut proposer ce que les clients désirent

Photo-collector écrivait:
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> L'important, ce n'est pas ce qu'en pense un
> photographe en particulier, mais ce qu'en pensent
> les photographiés.

Surtout celui qui paye ;-)

> Si des clients continuent d'y affluer, c'est
> manifestement qu'ils aiment ce style de
> photographie.

Certains clients, mais pour un CA sans doute suffisant, c'est un business, pas une œuvre ...

> Pour vendre, il faut proposer ce que les clients
> désirent

Il faut proposer un peu plus que ce qu'ils désirent ... Mais c'est l'idée ... ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 17:09 par Nestor Burma.

Je n'ai eu que quarante ans d'expérience portrait/client. Trop peu pour avoir une opinion définitive sur la question.

Gabriel
gabrielramon.com

Gabriel écrivait:
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> Je n'ai eu que quarante ans d'expérience
> portrait/client. Trop peu pour avoir une opinion
> définitive sur la question.

Sur Paris ?
Du corporate ?

Cabinets d'avocats, d'archi, agences de pub, chaines hotelières, partis politiques, etc...
Pas sur Paris, (ni la France au passage), je suis un peu plouc. ou métèque au choix.

Gabriel
gabrielramon.com

Gabriel écrivait:
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> Cabinets d'avocats, d'archi, agences de pub,
> chaines hotelières, partis politiques, etc...
> Pas sur Paris, (ni la France au passage), je suis
> un peu plouc. ou métèque au choix.

Métèque c'est plus cool,
Paris restera toujours une sorte d'exception, il est prudent de l'admettre ... .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 17:45 par Nestor Burma.

Pour l'archétype du portrait "d'entreprise" je proposerais les portraits de nos présidents de la république.

Andge écrivait:
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> Pour l'archétype du portrait "d'entreprise" je
> proposerais les portraits de nos présidents de la
> république.

Plutôt les Président du CAC 40 ...

Les portraits de Gabriel ont le fond et la forme. On ne peut pas en dire autant d'Harcourt qui ne jouit que de la forme.

.

Dans le portrait totalement d'entreprise il y a un sujet qui se pose où on lui dit un photographe qui fait ce que lui demande celui qui paie et qui décide, le maitre du jeu c'est le dircom.
Pas sur que Gabriel accepte de se laisser dicter ce qu'il doit faire, sans liberté je le sens plutôt capable d'envoyer c**** le dircom.

Andge écrivait:
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> Dans le portrait totalement d'entreprise il y a un
> sujet qui se pose où on lui dit un photographe
> qui fait ce que lui demande celui qui paie et qui
> décide, le maitre du jeu c'est le dircom.

C'est le Job

> Pas sur que Gabriel accepte de se laisser dicter
> ce qu'il doit faire, sans liberté je le sens
> plutôt capable d'envoyer c**** le dircom.

Sans aucun doute

Mais le livre parle de "Portrait Corporate".



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/07/21 19:07 par Nestor Burma.

Entre deux contraintes on se trouve toujours un espace de liberté. Il faut en abuser. En fait on arrive presque toujours á s'entendre avec le client. Je n'aime pas beaucoup ces photographes qui n'assument pas leur boulot. ("Je fais de la m... parce qu'on me le demande", si j'avais toute liberté on verrait ce qu'on verrait...etc...etc).

Gabriel
gabrielramon.com

La créativité a toujours besoin d'un cadre pour s'épanouir, comme le support pour une plante grimpante

Que ce soit le photographe qui se le pose ou un client, il me semble qu'il relève du professionnalisme de savoir être créatif dans ce cadre défini, qu'on peut éventuellement parvenir à dépasser, aller plus loin, comme dans toute profession créative

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.: jeanbaPhoto ::: jeanbaBlog :.

jeanba3000 écrivait:
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> La créativité a toujours besoin d'un cadre pour
> s'épanouir, comme le support pour une plante
> grimpante
>
> Que ce soit le photographe qui se le pose ou un
> client, il me semble qu'il relève du
> professionnalisme de savoir être créatif dans ce
> cadre défini, qu'on peut éventuellement parvenir
> à dépasser, aller plus loin, comme dans toute
> profession créative

Certes, on dira alors que je suis tombé sur un mauvais exemple.
Quand la boite à voulu faire ses plaquettes, au cours d'une réunion tous les DR sont passés devant un photographe. La DirCom à assité, dirigé, imposé, chaque détails, au photographe qui n'avait plus qu'a régler les IL et appuyer, même les éclairages étaient sous controle; au point que j'en été gêné pour lui.

Andge écrivait:
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> jeanba3000 écrivait:
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> > La créativité a toujours besoin d'un cadre
> pour
> > s'épanouir, comme le support pour une plante
> > grimpante
> >
> > Que ce soit le photographe qui se le pose ou un
> > client, il me semble qu'il relève du
> > professionnalisme de savoir être créatif dans
> ce
> > cadre défini, qu'on peut éventuellement
> parvenir
> > à dépasser, aller plus loin, comme dans toute
> > profession créative
>
> Certes, on dira alors que je suis tombé sur un
> mauvais exemple.
> Quand la boite à voulu faire ses plaquettes, au
> cours d'une réunion tous les DR sont passés
> devant un photographe. La DirCom à assité,
> dirigé, imposé, chaque détails, au photographe
> qui n'avait plus qu'a régler les IL et appuyer,
> même les éclairages étaient sous controle; au
> point que j'en été gêné pour lui.


Ça a toujours existé.
Dans la VPC, à l'époque, les agences de pub, etc, il y avait (il y a ?) des D.A. qui veulent tout gérer.
Dans ce cas, pas besoins de se prendre la tête.
Un peu d'argent facile à gagner a toujours fait plaisir à son banquier...

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Goéland qui s'gratte le gland, mauvais temps. Goéland qui s'gratte le cul, pas d'beau temps non plus !
(Proverbe breton)