Monographie de Stéphane Spach

Bonjour à Toutes & à Tous,

L’excellent Stéphane Spach a lancé via Ulule une souscription pour éditer une monographie de son travail.

Le lien est ici : [fr.ulule.com]

En plus d’être un photographe talentueux dont les images ouvrent l’imaginaire ; l’homme est aussi délicieux.

Alors n’hésitez pas : foncez sur le lien CB en main !

Jérôme

Excellent !

Je ne connais pas le travail de M. Spach et malgré la petitesse des vignettes de présentation, je trouve qu'il y a des choses très belles, qui devraient me plaire dans la durée dans un format imprimé plus généreux. Là où je m'interroge, c'est que je ne comprends pas pourquoi L'Atelier contemporain, qui est un éditeur réputé, très correctement distribué dans les librairies de qualité et dans celles spécialisées dans les arts par Les Belles Lettres, estime nécessaire de faire lancer une souscription de financement pour un, pour ce livre. Une certaine frilosité, une certaine fragilité financière ou bien l'ouvrage à venir sort un peu trop des collections déjà établies chez l'éditeur?...
Cela n'enlève rien à la qualité du travail de Stéphane Spach, évidemment!

Bonne chance au projet.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, Stéphane est avant tout un contributeur régulier de GP.

Photographe d’architecture, il a pris depuis une nouvelle orientation vers des projets très personnels.

Ses images sont visibles sur son site : [spach-fine-art.com] où nature & natures mortes cohabitent dans une belle harmonie.

J

Bonjour Olivier,

La réponse me semble évidente: pourquoi ne pas passer le risque financier aux contributeurs, puisque c'est gratuit... enfin, disons que le coût des contributions versées est dérisoire par rapport au coût du risque.

Sinon, étant l'heureux propriétaire d'un catalogue des oeuvres de Stéphane Spach, je ne peux qu'abonder dans le sens de Vent de Sable; des séries véritablement inspirées..

ah ...je viens de voir ce fil !!! merci beaucoup ,-)

la demande de souscription est assez ridicule par rapport au projet ... ce qui compte c'est de mettre en place tous les soutiens possibles
celui çi en fait parti

pour info aussi c'est un gros projet pour l'éditeur !

merci à vous

Trouvé ça sur le web:

[www.youtube.com]

CericF écrivait:
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> Trouvé ça sur le web:
>
> [www.youtube.com]


Excellent !!

Sérieusement ?

Vos photographies sont sûrement intéressantes, mais j’avoue qu’à la lecture de ce texte je n’ai aucune envie de découvrir.

Dommage, une prochaine fois peut-être.

Bonne soirée !


« Allons à l’essentiel : notre époque a besoin des photographies de Stéphane Spach.

Son œuvre apparaît comme antidote à la fébrilité de nos âmes, cet éparpillement de nous-mêmes.

Stéphane Spach pose un regard neuf sur ce qu’on ne voit plus qu’à peine.

Il récolte et organise les éléments diffus d’un territoire qui est aussi le nôtre.

Ce sont bords de rivières, chemins, talus et clairières que le photographe arpente et révèle. De là, il ramène pierres, branches, mousses, ossements…, qu’il assemble et réinvente. Fleurs fanées, peaux animales, cornes et écorces, sachets plastiques, vieux chiffons, objets usés chorégraphient l’espace jusqu’à la corde, disent encore – et à nouveau – la fragilité de nos existences.

Par-delà le tumulte, est-ce la possibilité de s’émerveiller encore ? Un petit goût de l’enfance perdue ?

Un peu de clarté dans l’impermanence de nos vies ?

Une chose est sûre : le photographe réinvente notre géographie intime, et nous offre un nouvel accordage au monde. »

Daniel Elbaz écrivait:
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> Sérieusement ?
>
> Vos photographies sont sûrement intéressantes,
> mais j’avoue qu’à la lecture de ce texte je
> n’ai aucune envie de découvrir.
>
> Dommage, une prochaine fois peut-être.
>
> Bonne soirée !
>
>
> « Allons à l’essentiel : notre époque a
> besoin des photographies de Stéphane Spach.
>
> Son œuvre apparaît comme antidote à la
> fébrilité de nos âmes, cet éparpillement de
> nous-mêmes.
>
> Stéphane Spach pose un regard neuf sur ce qu’on
> ne voit plus qu’à peine.
>
> Il récolte et organise les éléments diffus
> d’un territoire qui est aussi le nôtre.
>
> Ce sont bords de rivières, chemins, talus et
> clairières que le photographe arpente et
> révèle. De là, il ramène pierres, branches,
> mousses, ossements…, qu’il assemble et
> réinvente. Fleurs fanées, peaux animales, cornes
> et écorces, sachets plastiques, vieux chiffons,
> objets usés chorégraphient l’espace jusqu’à
> la corde, disent encore – et à nouveau – la
> fragilité de nos existences.
>
> Par-delà le tumulte, est-ce la possibilité de
> s’émerveiller encore ? Un petit goût de
> l’enfance perdue ?
>
> Un peu de clarté dans l’impermanence de nos
> vies ?
>
> Une chose est sûre : le photographe réinvente
> notre géographie intime, et nous offre un nouvel
> accordage au monde. »

On peut apprécier les photographies de Stéphane sans s'attarder sur ce texte "New Age" un peu trop daté à mon goût ...

Ah, Zut ! le plafond est déjà dépassé : y'a même pas de suspense ... et encore au moins 27 jours à tirer avant de recevoir un beau bouquin ... comment dire ? Verdammt elsässisch ! ;-)

C'est le moment de citer ce billet d'humeur de Marc Pussenier, en page 131 du dernier numéro de la revue « Like » - N°10 - automne 2022
« ... j'ai besoin de voir la qualité de l'impression, de toucher le papier et de sentir le livre. C'est la raison pur laquelle ne ne pourrais jamais acheter de livre de photographie sur Internet. J'ai besoin de compulser les livres physiquement. »

Soudain, le doute me ronge : je connais un peu les photos de Stéphane S. (que je salue et que je félicite au passage), mais se pourrait-il, éventuellement, qu'il laisse imprimer un bouquin publiant ses oeuvres, qui ne soit pas absolument parfait ?

E.B.

Mais... M. Bigler, cela n'existe pas un livre parfait!
Un livre quel qu'il soit est toujours le fruit d'un compromis, de choix difficiles à faire quand l'excellence, l'exigence et l'honnêteté soutiennent la base du projet d'édition.

Oui, pour la perfection, il faut plutôt viser le tirage, même si certaines expositions en font clairement l'économie..

Et en plus, j'ai hâte de lire ce qu'est un texte « New Age », car sur GP.info, on en apprend tous les jours.
Au fait, vu le succès prévisible de la version française, est ce-qu'il y aura une version en alsacien ?

E.B.

Emmanuel Bigler écrivait:
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> Et en plus, j'ai hâte de lire ce qu'est un texte
> « New Age », car sur GP.info, on en apprend
> tous les jours.

"Le New Age stricto sensu désigne l'attente d'une nouvelle ère à venir ou en cours. Ce millénarisme se distingue des millénarismes traditionnels par le fait que le changement à venir ne serait ni abrupt, ni violent, ni même issu d'une force supérieure, mais qu'il nécessiterait la participation des êtres humains."

> Au fait, vu le succès prévisible de la version
> française, est ce-qu'il y aura une version en
> alsacien ?

Il y a des communautés New Age en Alsace, j'ai eu l'occasion d'en croiser lors de reportage ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/10/22 14:47 par Nestor Burma.

200 % !!

En Alsace, on ne plaisante pas avec les beaux bouquins de photo !

Nous avons été quelque peu timorés
C'est vrai, le Stéphane, c'est un grand timide ;-)



Et dans la foulée, M. Peiffer (qui vit au Portugal) a déclaré à la Comtesse :
« Les fanas de Porto ne jurent que par cette monographie ».

E.B.

Z'avez quelque chose en stock pour les mob? :)

Z'avez quelque chose en stock pour les mob ?

Des mobs qu'il faut éviter de coincer entre deux autos !

E.B.

Levée de fonds réussie : 225% !

Félicitations !

E.B.

Félicitations aux 100 souscripteurs surtout !!!
merci à vous

Reçu cette info de l'éditeur, annonçant que le livre était déjà disponible :

« Une présentation, avec Stéphane Spach, bien entendu, mais aussi l'ensemble des auteurs et Jean-Marc Nigon (le maquettiste), aura lieu à la Librairie des Bateliers (5, rue Modeste Schickelé, à Strasbourg) le samedi 3 décembre à 18 h. Des photographies seront, pour l'occasion, accrochées (et cela durant tout le mois de décembre) — un moment de rencontre, discussions, signature, moment convivial aussi pour fêter avec vous cette édition. »

De deux choses l'une, ou bien l'imprimeur est ultra-rapide, ou bien l'éditeur a tout simplement lancé l'impression avant que le financement participatif ne soit terminé  ;-) (c'est vrai que les 100% ont été atteints bien avant le a fin du délai imparti)

E.B.

Hello,

Reçu le même message et ressenti le même étonnement.

Mais ne boudons pas notre plaisir et guettons la BAL physique. Pour une fois que ce n’est pas un PDF.

J

réceptionné samedi dernier dans un beau emballage carton. bel ouvrage. très bien imprimé. pour le reste c'est du Spach.

cordialement

o7 philippe

J'ai également reçu le bouquin de la souscription ; c'est un très beau livre, chaudement recommandé.
Je connaissais certaines images pour avoir vu des tirages originaux.
Certaines, en particulier de la série « Le jardin de minuit » sont effectivement un défi pour l'imprimeur.

Page 52, un squelette de mammifère placé devant un radiateur en fonte nous rappelle désagréablement que la dispartion d'un grand nombre d'espèces animales ces dernières décennies est probablement liée à notre consommation démesurée de combustibles fossiles ;-)

Quant aux textes, l'important est que le photographe soit satisfait de la partie écrite de son livre.
Car, pour citer l'Archevêque de Moisenay « Mon avis n'a pas d'importance ».

E.B.

« Stéphane Spach » Photographies de Stéphane Spach, textes de A. Loubert, D. Payot, R. Recht, J. Thélot et A. Zimmer. Éditions l'Atelier contemporain, novembre 2022, ISBN 978-2-85035-102-0 - 336 pages - 35 euros.

https//editionslateliercontemporain.net/collections/monographies/article/stephane-spach

https://editionslateliercontemporain.net/

E.B.

Un seul mot. Superbe !!!

Reçu ce jour un mél de « l'Atelier Contemporain » me rappelant la présentation du livre de Stéphane Spach très bientôt.

à Strasbourg (FR-67)
Librairie des Bateliers
Samedi 3 décembre 2022 à 18 h
5, rue Modeste Schickelé
67000 Strasbourg

Jusque là, tout va bien.

Mais (horresco referens) voici l'image qui accompagne cette charmante invitation !!!
Pour sûr, c'est pas du Spach !

E.B.

Une critique du jour de Fabien Ribery:

[lintervalle.blog]