La très véridique histoire de Zalthabar
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La très véridique histoire de Zalthabar

Envoyé par François Besson 
La très véridique histoire de Zalthabar
samedi 17 mai 2014 19:04:57
Dans le sillage d’Ulysse
Un livre en leporello
Dans un étui bleu marine estampé
Inspiré des vieux récits d’aventures
Une épopée sentimentale, esthétique et géographique
Distrayante, édifiante et captivante
Un début étrange, une fin presque heureuse
Un papier pur chiffon magnifique et sensuel
Des tirages argentiques originaux
Imprimé en typographie dans l'Atelier des lamantins célestes
Avec la plus belle des polices
La Jenson de Robert Slimbach
A acheter pour presque rien auprès des distributeurs exclusifs
Dix exemplaires signés, dont sept dès à présent disponibles
Paru chez les Courlis, avec la participation exceptionnelle des Petites Editions Vagabondes
Achevé d’imprimer le 10 mai 2014

[cjoint.com]
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François

Les éditions du courlis déchaîné
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
samedi 17 mai 2014 22:22:33
Magnifique ouvrage. De ce que nous offrent les vues jointes.

À noter toutefois que la « Jenson », est plus une police de… Nicolas Jenson que de Robert Slimbach ; que ce caractère correspond plus volontiers pour un mur typographique que pour un texte allégé (mais qu’elle est belle et diversifiée, nous sommes d’accord).

Quel est le prix de cet objet ? où est-il visible ?
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
dimanche 18 mai 2014 09:01:14
Merci pour le petit mot, Claude. Je laisse à François le temps de répondre, il est grand temps qu'il apprenne à répondre aux sollicitations des acheteurs potentiels :-)))) Les photos rendent mal la qualité des tirages de François.

Sur le caractère Jenson (ceux qui n'en ont rien à faire de la typographie et des caractères peuvent sauter la lecture ;-)) :

- Le caractère de Slimbach, s'il garde pour le romain tout l'esprit de Nicolas Jenson, en est une version admirablement transformée et adaptée aux usages contemporains. D'autre part, le caractère original ne possédait pas d'italique, Slimbach - pour lequel j'ai une immense admiration - l'a recréé à partir des premières italiques de la Renaissance.

- Sur son usage ici : le choix a été fait dès le départ de s'inspirer, tout en gardant évidemment une distance clin d'oeil, d'une part des pages de la Renaissance et particulièrement des in-octavo, d'autre part de la forme des têtes de chapitres des romans d'aventures et de voyages des XVIIIe et XIXe siècles. Le choix d'une humane a été vite décidé pour ce lien avec la Renaissance et les vieux récits. Il y avait plusieurs possibilités parmi ces polices (un jour, je parviendrai à utiliser la merveilleuse Centaur, un jour... :-). L'emploi d'une italique « primitive » va bien à mon sens à de petits blocs de texte verticaux compacts dans l'esprit de ces temps, ce sont les larges plages de blanc qui l'aèrent. Il ne faut pas non plus perdre de vue que la Jenson est une police numérique et que transposée en typographie, elle donne un gris de page marqué qui s'accorde bien avec le contraste des photographies. Ca fonctionne différemment avec le romain et ses blocs horizontaux, le corps est assez gros, ça se voit tout de suite, d'autant plus que le jeu était aussi de ne pas cacher l'origine numérique de la maquette. Nous avons également cherché à accentuer ce caractère clin d'oeil ancien en faisant le choix d'un foulage (la pression des caractères sur le papier) assez marqué, relief qu'on voit bien sur les photos, ce qui était d'ailleurs un petit point de désaccord entre nous, j'aurais personnellement préféré un foulage plus discret. Ce sont les menus plaisirs du travail en commun :-)

Comme toujours, en regardant le résultat et après les centaines d'heures passées à la fabrication du livre, on se dit que si c'était à refaire, on choisirait une autre police. Je partirais peut-être sur une réale ou peut-être sur une variante du Caslon. mais je défends quand même l'usage du Jenson :-)

Jimmy



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/05/14 09:08 par Jimmy Péguet.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
dimanche 18 mai 2014 15:34:51
Les livres pourront être vu les 26 et 27 mai au Salon de la photographie contemporaine, place Saint-Sulpice à Paris. Ils peuvent également être vus en prenant directement contact avec les éditeurs.

Le prix ? six cent petits euros.

François

Les éditions du courlis déchaîné
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 00:15:49
Mazette, que répondre ? surtout à une époque où les maquettes se font sur Word© sans calcul de marges, encore moins de pages de repos avec une typographie sans accents, sans ligatures, sans approches de paires, où contrepoinçons, queues, jambages, panses, pointes sont engloutis dans une version dite « pdf » de troisième zone… Je voulais juste rendre hommage à Nicolas Jenson, même si, évidemment, Robert Slimbach est un vénérable maître. Quant à hésiter sur le choix d’une police, chers amis, vous vivez dans l’Autre Monde :-)))

Pour un foulage copieux, un caractère robuste et rudimentaire, aux empattements triangulaires, augmenté d’une hauteur d’x imposante avec une fin de Renaissance nous mènerait vers un Plantin régulier. Ah Christoffel ! toi qui n’a guère dessiné mais diffusé, au catalogue Plantin-Moretus, les talents des Claude Garamond et Robert Granjon…

Trêve de billevesées, à la simple vue des images de l’ouvrage, l’objet semble une pure merveille. À défaut de pouvoir l’acheter en ce moment, il donne envie d’être tenu en mains.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 07:43:17
Je serais bien incapable d'ajouter quoi que ce soit à vos sciences typographiques, mais je voulais simplement dire combien je suis admiratif de la combinaison d'art, de poésie et d'artisanat présente dans cet ouvrage.
Bravo à vous deux.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 11:03:51
Les livres imprimés en typographie ne sont pas légion aujourd'hui. Pour qui ne connaît pas ou n'y a jamais prêté attention, l'impression typo est une pure beauté. Pour Zalthabar, il s'agit d'une impression à partir de plaques réalisées par nos soins à partir d'un logiciel de PAO et d'une police numérique, mais nous disposons également à l'atelier pas mal de plomb acheté d'occasion, nous avons également récemment fait l'acquisition du très beau Garamond de chez Stempel, la dernière fonderie en activité, en plomb neuf. Je pourrais discuter sans fin des caractères et des papiers, mais je crains que ne soit pas l'endroit :-)

La question, c'est "quelle place pour ces petits ouvrages", à qui peuvent parler ces petits objets ? On n'est pas dans la bibliophilie, on n'est pas dans le livre de photo classique, on est dans le tout petit tirage, 10 exemplaires ici, dans le bel objet un peu précieux, délicieux en mains, le beau papier, le très beau tirage argentique dans ce cas, on n'est pas dans le contemporain, les sujets sont toujours un peu décalés, François cherchant à faire des photographies qui sortent des sentiers battus (hors copinage, si si :-), elles sont vraiment belles). Ce sont de petites choses, mais il faut passer un peu de temps dessus pour profiter des subtilités. A qui va parler ce genre de petite chose, sans même parler d'achat ?

Jimmy
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 11:24:54
Jimmy Péguet écrivait:
-------------------------------------------------------
>Je pourrais discuter sans fin des
> caractères et des papiers, mais je crains que ne
> soit pas l'endroit :-)

Et si, je pense que ce serait l'endroit, impression typo, police de caractère, mise en page, etc... cela nous changerait drôlement des discussions sur les scanners :-)
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 12:53:29
<Je serais bien incapable d'ajouter quoi que ce soit à vos sciences typographiques, mais je voulais simplement dire combien je suis admiratif de la combinaison d'art, de poésie et d'artisanat présente dans cet ouvrage.
Bravo à vous deux.<

+1
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 13:09:00
Bien sûr que c’est l’endroit pour parler de cela, justement. En guise d’introduction à la typographie, nous pourrions commencer par faire la différence entre le symbole de minute (') et l’apostrophe (’), entre les guillemets anglais (“ ”) et français (« »), afficher les accents (À, È, Ô), les ligatures (&, @, æ, œ, Œ), faire la différence entre chiffres arabes et romains, entre les majuscules, les minuscules (ou petites capitales) et les bas de casse, etc. D’autant plus que tout ceci ne concerne que la grammaire française (cf. « le » Maurice Grévisse, Le Bon usage, grammaire française, Paris - Louvain, éditions Duculot). :-)))
Après, la classification des lettres (Humane, Garalde, Scripte, Manuaire, Mécane…), la gestion des approches, des interlignages, du parangonnage, la mise en espace, etc. est affaire de profession (et de goût).

Il y a, et toujours eu, un public pour ce genre de travail. Le plus difficile est de le cerner, de diffuser l’information (dans un monde de brutes, je vous l’accorde mais tout autant qu’au Moyen Âge). À son époque, la galerie parisienne Studio 666 (rue Maître Albert) diffusait des portfolios (selon son orthographe de 1990) contenant de l’ordre de cinq à six tirages photographiques et limités à une dizaine d’exemplaires (quinze, vingt ?). Cela se vendait, partout dans le monde, malgré l’absence du « filet international ». Il est important que le vendeur sache éduquer l’œil du collectionneur en devenir, mette l’accent sur la subtilité produite par le créateur, où fond et forme se rejoignent. Il faut poursuivre cette qualité, tout se fait avec sincérité, uniquement avec désintéressement, sincérité (et culture). Attention que cette dernière ne soit pas comme la confiture…
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
mercredi 21 mai 2014 15:33:59
Ca me parait bien passionnant tout cela et j'avoue ne pas y être insensible .... mais dans le genre je ne sais rien du sujet je dois être premier.
Mais de tenir un belle objet dans les mains est toujours un moment de bonheur !

François, j'essaierai de passer à St Sulpice voir ces merveilles... même si je crois avoir déjà vu d'autres éditions du Courlis à la St-Véro.

En tout cas c'est toujours un plaisir de vous lire ici !
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 06:22:09
Je ne sais pas par où il faudrait commencer. Apprendre à typographier correctement, bien sûr, mais ça s'apprend très vite. Il me semble que se demander pourquoi formellement une page vous touche est un bon départ. Pourquoi les pages de tel livre ou de tel site qu’on est en train de lire paraissent plus plaisantes que celles d’un autre. Essayer de repérer quel genre de caractère est utilisé et pour quel usage, comment et quels caractères différents marchent bien ensemble, et surtout surtout surtout comprendre l'importance du blanc et du vide sur une page, se laisser foudroyer parfois par trois mots tous seuls sur une page blanche. Il sera bien temps d'aller creuser, explorer les humanes, garaldes (les anciennes classifications de polices) et cie ensuite.

Un excellent livre pour approcher le sujet : La fontaine aux lettres, chez Taschen. A recommander sans modération.

Il y a des centaines de sites et blogs passionnants sur la typo, les caractères... Un exemple de site archi-classique que beaucoup doivent connaître sur le monument des caractères typographiques français, le Garamond, il y a sur ce site une collection magnifique de pages imprimées... en Garamond d'abord :-)

Quelques brèves lignes sur le Jenson dont il est question ci-dessus.

Apprendre à ne pas en faire trop. Le Jenson par exemple est très riche en ligatures, ornements, etc. On en fait vite trop. La version finale de Zalthabar doit utiliser deux ou trois capitales ornées seulement, les ligatures classiques et quelques rares variantes de lettres qui se fondent dans le texte.

Et pour faire de petites maquettes, oublier Word :-) Si on n'a pas de logiciel de PAO genre InDesign ou XPress, Scribus, logiciel libre, même s’il est moins ergonomique est très bien, même s'il plante un peu. On peut faire du très bon travail avec malgré l’absence de la gestion des fonctions OpenType.

Enfin ne pas utiliser de polices gratuites récupérées n’importe où, pourries à tous égards la plupart du temps :-)

Au final, ça fait de jolies choses avec la photographie. Pour le plaisir, une page du blog - avec une petite vidéo - d'un Américain qui marie photographie imprimée en jet d'encre et typographie au plomb pour les livres qu'il fabrique à la main. Typo ici, mais on peut parfaitement faire ça en jet d'encre aussi :-)

Jimmy



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/05/14 06:42 par Jimmy Péguet.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 08:43:13
On va s'éloigner un moment du livre de François. Pour rester dans la typo, suite à la lecture du fil voisin sur Éric Poitevin dont j'aime énormément le travail mais dont je n'ai malheureusement qu'un seul très beau bouquin, une recherche renvoie ceci, son livre sur les papillons de 94. Juste pour rester dans le sujet des derniers messages de ce fil, pour la simple beauté et l'élégance de la page de titre. C'est édité chez William Blake et Co, ça explique tout :-)

Jimmy

En passant, je suis preneur de toutes infos sur les livres d'Éric Poitevin.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 09:02:17
Faire des vanités avec quelque chose d'aussi éloigné que des papillons, sans dramatisation ni effet ténébriste, c'est assez génial. La dernière fois que je l'ai vu c'était chez Pierre Bergounioux, il en avait un exemplaire à portée de main, et aux murs des collections entières d'insectes naturalisés intacts, presque vivants. L'impression de voir ces objets réunis dans un même endroit donnait une impression rare de temps discontinu.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 10:21:23
La clé de la réussite en tous domaines : « Apprendre à ne pas en faire trop. »
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 13:02:32
Bravo pour cette réalisation, du moins ce que je peux en voir à l'écran ! Juste la même petite réserve que Jimmy à propos du foulage, un peu trop présent (démonstratif ?) semble t-il.
Quand j'étais apprenti typo, il fallait apprendre à faire en sorte que rien, hormis la qualité du noir, ne distingue un tirage typo d'un tirage offset. Le foulage devait être minimisé au point de devenir invisible, pour le plaisir visuel de ne voir qu'un noir pur déposé avec suffisemment de fermeté sur le papier mais sans traumatiser ce dernier, et pour des raisons évidentes d'usure prématurée des polices.

Encore bravo
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 14:33:15
Oui Guillaume, ça fait partie du plaisir des petites discussions du travail à deux. François voulait un foulage très marqué, j'aurais préféré qu'on ne le voie qu'à peine. Il a suffi que j'argumente en parlant de beau travail et de bon goût pour que cette tête de mule se bute comme c'était prévisible à la mention du bon goût :-) Cette tête de lard a même utilisé malgré mes grognements des plaques à fort relief (bien plus chères en passant) pour mieux parvenir à ses fins ! Mais bon, pas de regrets, la prochaine fois je l'aurai, l'encre ne fera que caresser le papier :-)

Je plaisante, François !

Jimmy
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 15:13:58
Concernant le foulage : c'est effectivement un de nos nombreux points de désaccord ! Jimmy, très british, trouve que le foulage fait nouveau riche... J'ai, pour ma part, un avis un peu plus nuancé : un foulage à peine visible convient à certains projets ; pour d'autres, tel Zalthabar qui est un peu dans le deuxième degré, un foulage assez marqué me semble coller parfaitement.

Notre collaboration a été fructueuse mais quelque peu agitée, raison pour laquelle je ne relèverai pas ici les fourbes attaques de mon associé, attaques pour lesquelles je lui ai déjà envoyé mes témoins !

François
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 16:04:06
Ma plus grande épreuve - si je puis dire :-) - aura été, à intervalles réguliers, alors que j'étais concentré, plongé dans un travail délicat, d'entendre tout-à-coup dans mon dos, prononcés sur un ton d'excitation joyeuse, les mots terrifiants "Aaaah, j'ai une idée !". Ce qui se reproduisait plusieurs fois par jour, et faisait à chaque fois se crisper brutalement tout mon être :-)

Bon, il faut être juste avec lui : ses illuminations nous ont plus d'une fois tirés d'affaire :-)

C'est vraiment un plaisir de travailler à deux sur des choses pareilles, quand on entend bien les idées de l'autre et qu'on sait faire avec ses points forts, ça permet de bien avancer sans se laisser déborder par une technique encore approximative, en gardant toujours la fantaisie et la part poétique en tête. Et là-dessus, le bougre est bon.

Jimmy
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
jeudi 22 mai 2014 17:53:28
Etant déjà séduit par ces deux compères et leur univers poétique, je ne pouvais être que séduit par leur travail, et je le suis, même si je n'ai pas encore eu le plaisir de regarder, toucher, et renifler de prêt ces magnifiques réalisations...

J'ai plus de possibilités d'aller faire un tour chez Jimmy, mais peut être que ce jour là, l'autre François sera là aussi, qui sait...

Un grand salut amical à tous les deux !

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Anything more than 500 yds from the car just isn't photogenic. - Brett Weston

Quelques images et vidéo : [www.facebook.com]
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
vendredi 23 mai 2014 22:46:14
Une petite question au passage: l'Atelier des Lamantins Célestes travaille-t-il exclusivement pour les Editions du Courlis Déchaîné ou bien est-il susceptible d'accepter des commandes extérieures ?
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
samedi 24 mai 2014 16:03:53
Didier,

Prendre en charge d'autres projets nous plairait particulièrement mais nous n'en avons guère le temps pour l’instant...

François
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
samedi 24 mai 2014 17:22:50
Le prix ? six cent petits euros.

Méchanceté de Comtois

Pour le prix, j'espère au moins que les majuscules sont accentuées, et qu'il y a une espace fine insécable qui accompagne les guillemets à la française !

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une police numérique

Délires de Comtois

Police numérique !
Ne sortez pas de votre véhicule et présentez votre permis d'imprimer en analogique !

E.B.
Re: La très véridique histoire de Zalthabar
samedi 24 mai 2014 19:27:56
François,

Je ne pensais pas forcément à des projets complets, mais pourquoi pas des petites demandes concernant des travaux à la presse typo...
Mais quand je vois la galère que c'est pour moi de sortir une quinzaine de petits tirages en double exemplaire sans montage ou autre, je crois bien volontiers que vous n'ayez pas vraiment de temps libre en dehors de vos productions, et je me demande bien déjà comment vous pouvez être aussi productifs !?...
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