liquidation judiciaire THECNICINE PHOT

pour les parisiens et autres vente aux enchères à NANTERE le 15 novembre de la scociété thecniciné phot:
chambre SINAR, optiques, Mamyia phase one, BOWENS etc
Listez détaillée sur INTER ENCHERES

au HAVRE le 3 novembre 1 ROLLEIFLEX + valise d'accessoires

Encore une clé sous la porte :(
Mais l'acquisition de beau matériel permet aux uns de se faire plaisir pour que d'autres puissent éponger leurs dettes.
C'est donc l'agréable pour l'utile

Pour information, TCP a fermé en août suite à des fausses déclarations sur les charges sociales et la tva.

C'est une catastrophe autant pour son personnel que pour sa clientèle.

bonsoir
je n'ai eu affaire à TCP qu'une seule fois. Le vendeur était très sympathique et arrangeant. Mes premières pensées vont vers lui et ses collègues.
à la suite de Bertrand, je pense à la détresse des salariés. Sur le long terme, les photographes seront perdants de la disparition de cette entreprise et des emplois.
LB

un lot pour quasis l'ensemble du materiel photo etimé 1 million d'euros !!!

macatalan écrivait:
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> un lot pour quasis l'ensemble du materiel photo
> etimé 1 million d'euros !!!

+ 14,4% de frais !

"en valeur nette comptable avant dépréciation"

Surtout si il y a des trucs qui datent d'anvant la dernière glaciation, cela ne veut pas dire grand chose quand on sait à combien reprennent les acheteur de ce type de lot.

La vente en un lot c'est pour se retrouver qu'entre vrais professionnels.

Aufilmdesmots

C'est peut être pour que l'entreprise soit reprise, et espérons le AVEC les salariés. Si tout est vendu pièce par pièce, les salariés sont sur le carreau à coup sûr.
LB

Quand on en est à la vente aux enchères, il y a longtemps que l'option reprise de la socièté est depassée.

Aufilmdesmots

Le lot principal est parti pour 170 000 € (hors frais) pour une estimation de 1 000 000 € avant décote. Je suppose que les ex salariés de TCP doivent être dégoutés. De plus pour avoir une oreille par là, le million paraissait déjà faible.
Nous aurions pu nous cotiser pour reprendre le stock !
Et pourquoi pas relancer le truc avec les ex salariés.
LB

+1 LB

LB écrivait:
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> Le lot principal est parti pour 170 000 € (hors
> frais) pour une estimation de 1 000 000 € avant
> décote. Je suppose que les ex salariés de TCP
> doivent être dégoutés. De plus pour avoir une
> oreille par là, le million paraissait déjà
> faible.
> Nous aurions pu nous cotiser pour reprendre le
> stock !
> Et pourquoi pas relancer le truc avec les ex
> salariés.
> LB

Si les salariés eux même ne sentaient pas capable de trouver 170 000 euro c'est que l'affaire était déjà perdue d'avance, inutile de pleurer, c'est la loi du commerce, celle que nous appliquons tous, ou presque.

Des salariés, individuellement ou collectivement, ne sont pas formés pour créer et gérer une entreprise.
Pour relancer une entreprise comme celle-ci, il faudrait déjà savoir pourquoi elle s'est plantée, il peut y avoir mille raisons.
Le secteur photo actuel dans sa forme traditionnelle n'étant pas particulièrement sexy, on peut comprendre que personne se soit présenté pour proposer un plan de reprise ou de continuation.
Dans une vente aux enchères, les acheteurs viennent pour acquérir les biens de liquidation pour peanuts.
Cette société était sans doute en bout de course, elle est peut-être décédée de mort naturelle.
C'est triste mais c'est dans la logique des choses.


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Modifié 2 fois. Dernière modification le 16/11/14 10:58 par Jean.

Jean écrivait:
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> Des salariés, individuellement ou collectivement,
> ne sont pas formés pour créer et gérer une
> entreprise.

C'est vrai, et pourtant j'ai vu des exemples de reprises de PME en SCOP par les salariés avec une ambiance, une implication et une gestion excellente. Si la mayonnaise prend ça peut très bien fonctionner, encore faut-il avoir un marché.

[collodion-humide.com]

Jacques Cousin écrivait:
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> Jean écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Des salariés, individuellement ou
> collectivement,
> > ne sont pas formés pour créer et gérer une
> > entreprise.
>
> C'est vrai, et pourtant j'ai vu des exemples de
> reprises de PME en SCOP par les salariés avec une
> ambiance, une implication et une gestion
> excellente. Si la mayonnaise prend ça peut très
> bien fonctionner, encore faut-il avoir un marché.

On parle surement d'ateliers de fabrication, c'est plus facile. Là il s'agit d'un commerce qui plus est tombé si j'ai bien lu pour fraude à la TVA
Dire qu'un lot de matériel électronique à une valeur comptable d'un million d'euros je suis un peu perplexe pour une boite liquidée, est ce que le matériel était du top ou des invendus précédents. Ce qui compte, c'est le différentiel prix d'achat en gros, prix de reprise du stock.

Aufilmdesmots

Jacques Cousin écrivait:
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...j'ai vu des exemples de reprises de PME en SCOP par les salariés avec une ambiance, une implication et une gestion excellente...

Ça s'est vu oui, mais les exemples restent rares.
Si les compétences d'exploitation sont là, si la "mayonnaise", l'esprit d'équipe est bien là, il manque souvent les deux critères essentiels: la vision du marché à court et moyen terme et aussi l'audace des décisions. Un salarié jusque là protégé par une structure se trouve brutalement "au front", comme aux commandes d'un avion sans avoir terminé son brevet de pilote et fait les heures de vol nécessaires à la qualification.
Mais on a vu des crashes évités grâce à un passager qui a puisé dans ses capacités et ses audaces personnelles la force et l'intelligence de poser l'avion après le décès du pilote professionnel.
On ne peut que saluer.

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Nestor Burma écrivait:
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> LB écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Le lot principal est parti pour 170 000 €
> (hors
> > frais) pour une estimation de 1 000 000 €
> avant
> > décote. Je suppose que les ex salariés de TCP
> > doivent être dégoutés. De plus pour avoir
> une
> > oreille par là, le million paraissait déjà
> > faible.
> > Nous aurions pu nous cotiser pour reprendre le
> > stock !
> > Et pourquoi pas relancer le truc avec les ex
> > salariés.
> > LB
>
> Si les salariés eux même ne sentaient pas
> capable de trouver 170 000 euro c'est que
> l'affaire était déjà perdue d'avance, inutile
> de pleurer, c'est la loi du commerce, celle que
> nous appliquons tous, ou presque.


Henri, le lot est parti pour 170 000 €.
Il aurait pu partir pour moins ou beaucoup plus.

Pour une reprise en SCOP, ils auraient dû réunir 1 000 000 €.

Par contre, dire que les salariés ne sont pas formés, c'est un peu simpliste.
Et que ce soit un atelier de fabrication ou un commerce ne change rien.
Les coopérateurs connaissent leur boulot pour l'avoir pratiqué durant des années.
Un atelier doit aussi vendre ses produits, et non pas seulement les fabriquer.

Les raisons des échecs dans le cas de reprises par les salariés, ce n'est pas un manque de compétences, mais une ligue en amont et en aval de la part des fournisseurs et des clients qui bien souvent sont les mêmes, entités de grands groupes qui ont auparavant décidés de la liquidation de la-dite entreprise.

Ioury écrivait:
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Par contre, dire que les salariés ne sont pas formés, c'est un peu simpliste.

Ce n'est pas simpliste, c'est une simple réalité. Un salarié n'a pas de vocation naturelle à prendre les décisions d'un chef d'entreprise.
Parmi eux il en existe qui en sont tout à fait capables techniquement, mais pas du jour au lendemain et une fois encore comme en photographie, la technique ne fait pas tout loin s'en faut. Manager une entreprise c'est aussi un ensemble de postures, de comportements, d'attitudes, d'aptitudes à la négociation, à la décision stratégique, d'inclinations à la prise de risque, d'aptitude à la gestion, voire d'anticipation au changement.

Ce n'est pas simpliste.


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Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/11/14 11:55 par Jean.

Il existe beaucoup d'entreprises non pyramidales et non paternalistes, où il n'y a pas de patron tout puissant se prenant pour Dieu.

Ioury écrivait:
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> Il existe beaucoup d'entreprises non pyramidales
> et non paternalistes, où il n'y a pas de patron
> tout puissant se prenant pour Dieu.


;-)

Je souscris à cette idée

T'es pire que Totor Burné y a des jours :-)

Tout s'explique, on comprend maintenant que vous rouliez sur l'or! :-))

Ioury écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
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> -----
> > LB écrivait:
> >
> --------------------------------------------------
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> > -----
> > > Le lot principal est parti pour 170 000 €
> > (hors
> > > frais) pour une estimation de 1 000 000 €
> > avant
> > > décote. Je suppose que les ex salariés de
> TCP
> > > doivent être dégoutés. De plus pour avoir
> > une
> > > oreille par là, le million paraissait déjà
> > > faible.
> > > Nous aurions pu nous cotiser pour reprendre
> le
> > > stock !
> > > Et pourquoi pas relancer le truc avec les ex
> > > salariés.
> > > LB
> >
> > Si les salariés eux même ne sentaient pas
> > capable de trouver 170 000 euro c'est que
> > l'affaire était déjà perdue d'avance,
> inutile
> > de pleurer, c'est la loi du commerce, celle que
> > nous appliquons tous, ou presque.
>
>
> Henri, le lot est parti pour 170 000 €.
> Il aurait pu partir pour moins ou beaucoup plus.

Bien sûr

> Pour une reprise en SCOP, ils auraient dû réunir
> 1 000 000 €.

Mais non, tu peux aussi acheter en salle des ventes comme tout le monde,
De tout façon, ce qui est sûr, c'est qu'ils n'avaient pas envie de le faire.

> Par contre, dire que les salariés ne sont pas
> formés, c'est un peu simpliste.
> Et que ce soit un atelier de fabrication ou un
> commerce ne change rien.
> Les coopérateurs connaissent leur boulot pour
> l'avoir pratiqué durant des années.
> Un atelier doit aussi vendre ses produits, et non
> pas seulement les fabriquer.

De toute façon la plus part des repreneurs d'entreprise sont des anciens salariés

> Les raisons des échecs dans le cas de reprises
> par les salariés, ce n'est pas un manque de
> compétences, mais une ligue en amont et en aval
> de la part des fournisseurs et des clients qui
> bien souvent sont les mêmes, entités de grands
> groupes qui ont auparavant décidés de la
> liquidation de la-dite entreprise.

Cela arrive, mais c'est souvent la naïveté qui à raison d'une entreprise, reprise ou pas, par des gens ou pas destinés à devenir des patrons, petit ou grand.

Jean écrivait:
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> Tout s'explique, on comprend maintenant que vous
> rouliez sur l'or! :-))

Qu'en sais-tu ?
De toute façon, cela ne te regarde pas, cela n'a aucune importance, et ce fil ne concerne pas nos bonnes fortunes,
Tu ne connais ni le marché, ni les interlocuteurs, ni le métier, alors ...

je connais le marché mieux que toi, la preuve je vends mieux que toi et y a pas photo.
Mes interlocuteurs ont changé cent fois depuis 35 ans et je me suis toujours adapté à leurs exigences.
C'est mon métier depuis 35 ans entre autres, tes leçons tu te les gardes.

Jean écrivait:
-------------------------------------------------------
> je connais le marché mieux que toi, la preuve je
> vends mieux que toi et y a pas photo.
> Mes interlocuteurs ont changé cent fois depuis 35
> ans et je me suis toujours adapté à leurs
> exigences.
> C'est mon métier depuis 35 ans entre autres, tes
> leçons tu te les gardes.

Ce qui est amusant c'est que tu débites tes conneries sans la moindre information

A l'attention des nouveaux venus, un petit document utile pour comprendre Totor :-)

Lexique de décryptage - Notice d'emploi de Totor Burné.

1- Totor Burné a toujours raison sur tous les sujets.

2- Au cas où il aurait tort (mais ça n'arrive jamais) :

- Ce que vous dites est absurde, ridicule
- vous n'y connaissez rien, vous êtes incompétant (SIC)
- D'abord, il vous parle pas (à vous)
- Vous ne savez pas lire
- Vous êtes vulgaire, fasciste, totalitariste
- Il n'a rien à prouver (sur ce point on peut être d'accord:-) )
- Vous ne comprenez pas le français
- Votre avis n'a aucune importance ( number two dans le top 5)
- Le problème n'est pas là ( number one dans le Top 5)
- Vous le faites chier
- Il vous botte le cul
- Mais non il n'a pas été incorrect (« où ça j'ai été incorrect ? » ):-))

QUE FAIRE ?

RIEN. Laissez-lui le dernier mot, comme ça il a gagné, il est le plus fort. C'est une question de survie. SVP un peu de compassion dans ce monde ignare et hostile qui a fait de lui un incompris.

Ne lui parlez jamais de « talent », c'est « has been », et d'abord ça n'existe pas:-)
Redites-lui au détour d'une phrase qu'il est artiste - plasticien, ça lui fait plaisir, c'est ce qu'il a mis sur ses cartes de visite, et là vous serez un mec (une nana) bien.

Évitez d'engager un débat dans les tranches horaires de digestion et de dégrisement : 14H00 – 15H30 et 20H30 – 22H30. Entre-temps il est plus maussade, donc muet. On peut alors avoir des conversations polies et passionnantes entre nous, les ignares.

Versions anglaise, espagnole, allemande et japonaise de la notice en cours de traduction, bientôt en ligne.
Ne me remerciez pas. C'est pure solidarité.

:-)


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Pour les autres,
Le sujet reste Technicinephot,
Mais Jean a ses obsessions une sorte de maladie incurable.

Et pour Technicinephot, c'est mort, les ex salariés sont sans doute sur le marché du travail, je leur souhaite bonne chance.

inutile de pleurer, c'est la loi du commerce, celle que nous appliquons tous, ou presque

les ex salariés sont sans doute sur le marché du travail, je leur souhaite bonne chance


Ce n'est pas pour être désagréable, mais j'ai du mal a saisir ta pensée sur le sujet.

Jean écrivait:
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> inutile de pleurer, c'est la loi du commerce,
> celle que nous appliquons tous, ou presque
>
> les ex salariés sont sans doute sur le marché
> du travail, je leur souhaite bonne chance
>
>
> Ce n'est pas pour être désagréable, mais j'ai
> du mal a saisir ta pensée sur le sujet.


Je ne vais pas m'emmerder à t'expliquer, mais pour les lecteurs de ce forum, ton comportement exemplaire est une véritable démonstration que tu ne comprendrais pas.