Utiliser ligthroom pour prévisualiser le tirage argentique.

Une méthode bien maline ;

[youtu.be]

Bof... Pas convaincant

qu'est ce qui ne vous pas convaincu ?
Je trouve le procédé intéressant dans l'économie de chimie et de papier. Le tirage finale ressemble bien à au traitement numérique de lightroom, vous ne trouvez pas ?

Mais voilà ce qui remplit la bande passante, une vidéo qui s'la pète sans aucun intérêt. Strictement aucun.

+1

Si on ne la regarde pas, ça n'impacte pas la bande passante mais uniquement le volume de stockage sur les serveurs de Google ou de AWS.
Conclusion , il ne faut pas regarder ce genre de tuto.
Les livres ne consomment pas de bande passante sur internet et sont (en général) bien plus fiables.

OlivierF écrivait:
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> Mais voilà ce qui remplit la bande passante, une
> vidéo qui s'la pète sans aucun intérêt.
> Strictement aucun.

Sans entrer dans le débat sur l'intérêt des tutoriels en tout genre qui peuplent la toile et de leur impact sur nos ressources, utiliser un scan comme "tirage" de lecture ou pour tester différentes interprétations d'un négatif peut -de mon point de vue- être parfaitement pertinent. Je confesse volontiers pratiquer, il m'arrive même d'imprimer les bristols qui me servent ensuite pour le masquage. Déterminer avec précision les temps de pose et les filtrages n'est évidemment pas possible si on ne souhaite pas y consacrer un temps conséquent à calibrer le process dans tous les sens.

Je conçois parfaitement que cette approche ne soit pas au goût de tout le monde, et qu'on puisse considérer qu'on s'éloigne d'une démarche traditionnelle ou "purement argentiste". Pour ma part, cela ne me pose aucun problème de conscience ;)

Il est important de se rappeler que la diversité est essentielle en matière de contenu en ligne. Certaines personnes peuvent trouver de l'intérêt dans des vidéos qui ne vous intéressent pas personnellement. Il est donc important de respecter les choix de chacun en matière de consommation de contenus. Je ne juge pas ce vous streamez.

J'espérais plus un débat technique sur ce processus pour interpréter un tirage via Lightroom en amont d'un tirage argentique final.

Glencc écrivait:
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> J'espérais plus un débat technique sur ce
> processus pour interpréter un tirage via
> Lightroom en amont d'un tirage argentique final.

Personnellement, pour savoir ce que je peux faire d'un négatif à l'agrandisseur, une table lumineuse, un compte fil et un densitomètre me suffisent largement.
Si je scan une image, ce n'est pas pour prévisualiser, mais pour avoir un bon scan qui sera utilisé en temps que scan, et lightroom ne me sert pas dans ce but précis.

Glencc écrivait:
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> J'espérais plus un débat technique sur ce
> processus pour interpréter un tirage via
> Lightroom en amont d'un tirage argentique final.
Perso, en regardant le contact, j'ai déjà une idée du travail à faire pour le tirage parfois je fais un tirage de lecture en 13 x 18 et puis je passe au tirage final. Ce qui est sûr c'est qu'il ne me viendrai pas à l'idée de passer par le numérique j'aime trop bidouiller sous mon agrandisseur et travailler sur un écran m'ennuie profondément !

+1 !

Visiblement il n'y a que peu de pratiquants par ici. Si vous voulez vous faire votre propre opinion, il suffit d'essayer! D'un point de vue technique, je ne vois rien de notable, il faut évidemment partir d'un scan correctement exposé et n'appliquer que des traitements que vous serez en mesure de reproduire à l'agrandisseur: en gros jouer sur l'exposition, et si vous utilisez du papier multigrade, le contraste.

Pour les tirages contact, dont le masquage traditionnel est plus difficile qu'à l'agrandisseur, voir impossible avec certaines insoleuses à UV pour les procédés alternatifs, on peut même imprimer un masque sur un transparent qu'on placera au-dessus du négatif ou de la vitre du châssis-presse avant l'exposition, en faisant varier la densité du noir pour simuler des temps de pose différents selon les zones. Ou faire varier le contraste à l'aide de zones jaune/magenta (ou vert/bleu) agissant comme des filtres multigrades.

Évidemment, on peut aussi tirer directement un négatif numérique retouché à souhait, mais là on sort indiscutablement de l'argentique, et la finesse n'est pas la même que celle d'un négatif.

Le Splitgrade Heiland permet aussi de diminuer le nombre de négatifs à problèmes et permet d'obtenir de bons (à mon sens) résultats. Depuis que j'utilise ce matériel ma vie en chambre noire a changé, vraiment.