galerie-photo / Nouveautés de été 2021

Ioury écrivait:
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> Oui. Et alors ?

Savoir que la société fonctionne sur un accord social est important


> Le découvert de fin de mois en est un exemple.

Dans un monde de consommateur, on parlera toujours des fin de mois ...


> Je te retourne le compliment.
> Et évite de sortir le mot "populisme" à tour de
> bras.

Le populisme, la quête du coupable, tout ce que je déteste ...

> J'ai l’impression que c'est ton Point Godwin.

Remarque sans intérêt

"la Bourse est virtuelle et que cet argent n'existe pas"

cet argent existe bel et bien, sonnant trébuchant, car si vous achetez 100 % (pour faire simple) des actions d'une Société en Bourse cette Société vous appartient en totalité et si vous achetez 51% (tjrs pour faire simple) vous êtes actionnaire majoritaire et vous faites ce que vous voulez.

Il est encore plus sonnant et trébuchant car les actifs vous appartiennent, immobilier notamment que vous pouvez revendre et vous pouvez dépecer votre entreprise en revendant les machines, clientèle, brevets.

Une OPA n'a pas pour objet une perte d'emploi; Une OPA amicale permet à une entreprise de se renforcer vis à vis de la concurrence; il est vrai que cela conduit inévitablement à une rationalisation de l'ensemble de la structure, mais également à un renforcement de sa compétitivité.

Pierre L écrivait:
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> "la Bourse est virtuelle et que cet argent
> n'existe pas"
>
> cet argent existe bel et bien, sonnant
> trébuchant, car si vous achetez 100 % (pour faire
> simple) des actions d'une Société en Bourse
> cette Société vous appartient en totalité et si
> vous achetez 51% (tjrs pour faire simple) vous
> êtes actionnaire majoritaire et vous faites ce
> que vous voulez.

Sauf que cela ne veut rien dire,
La Bourse ne fonctionne pas avec des petits "si" mais avec un grand "SI" qui n'est que spéculation, c'est même le sens de "spéculation" ...

> Il est encore plus sonnant et trébuchant car les
> actifs vous appartiennent, immobilier notamment
> que vous pouvez revendre et vous pouvez dépecer
> votre entreprise en revendant les machines,
> clientèle, brevets.

Ce n'es pas la Bourse mais une entreprise au hasard, les entreprises non côté peuvent être acheté et vendues par appartement ...

> Une OPA n'a pas pour objet une perte d'emploi; Une
> OPA amicale permet à une entreprise de se
> renforcer vis à vis de la concurrence; il est
> vrai que cela conduit inévitablement à une
> rationalisation de l'ensemble de la structure,
> mais également à un renforcement de sa
> compétitivité.

Cela ne change pas la dimension virtuelle des capitalisations boursières qui ne sont pas injectables dans l'activité réelle, et sont et resteront virtuelles et extrêmement volatile. On ne peut donc pas acheter le pain avec des montants fictifs ...

Sauf que cela ne veut rien dire,

Si le SI ne vous plaît pas remplacer le SI par QUAND ce sera peut être plus évident

Question: Où allez vous chercher tout cela ? Vous avez une vision totalement erronée de la vie économique; je dirais sans vouloir vous offenser "fantasmée"

"la dimension virtuelle des capitalisations boursières"

voici ce qu'est (simplifiée) la capitalisation boursière

[www.capital.fr]

Il n'y a rien de virtuel sauf s'il s'agit de cryptomonnaie

Pierre L écrivait:
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> Sauf que cela ne veut rien dire,
>
> Si le SI ne vous plaît pas remplacer le SI par
> QUAND ce sera peut être plus évident
>
> Question: Où allez vous chercher tout cela ? Vous
> avez une vision totalement erronée de la vie
> économique; je dirais sans vouloir vous offenser
> "fantasmée"
>
> "la dimension virtuelle des capitalisations
> boursières"
>

Inutile de sortir de la théorie, toutes les crises montrent que ces valeurs sont virtulles

Bien sûr que si que c'est virtuel, pour la simple raison que les valeurs boursières ne sont pas convertibles, sauf à mettre en péril toute l'économie et toutes ces valeurs, c'est donc clairement une convention entre membre d'un très petit club ...

Tesla est doté d'une capitalisation boursière qui représente 1000 ans de résultat, rien de réel, c'est même pire que du virtuel ...

"Inutile de sortir de la théorie"

Il n'y a pas de théorie, juste une réalité et une évidence.

"pour la simple raison que les valeurs boursières ne sont pas convertibles,"

Je viens de vous expliquer que toutes les valeurs boursières sont convertibles et représentent un actif constitué de biens réels et concrets susceptibles d'être vendus



Evidemment, comme pour les billets de banque, si tout le monde vend en même temps les valeurs s'effondrent

Mais c'est idem pour l'immobilier, les forêts ou quoi que ce soit d'autre.

"toutes les crises montrent que ces valeurs sont virtulles"


Vous confondez avec la spéculation et les bulles spéculatives ( se rappeler l'excellent film "le Sucre") Effectivement, on est dans le virtuel, car, même si la tonne de sucre existe bel et bien et est négociable, personne n'en demandera livraison. Mais cela n'est plus la Bourse mais s'apparente aux jeux de la FdJ

Dans ce que vous appelez virtuel , vous confondez avec les actions sur cotés

Amazon, Tesla ont des valeurs d'actions totalement spéculatives; l'entreprise peut enregistrer des pertes colossales et ses actions peuvent atteindre des sommets; c'est du pur pari qui s'apparente au jeu de la barbichette: il y aura quelques gagnants et beaucoup de perdants .... quoiqu'il ne soit pas sûr que les perdants perdent autant que cela.

En revanche, si vous achetez des actions de l'Air Liquide (excellent placement) vous ne gagnerez pas le gros lot mais vous percevrez des dividendes régulièrement en corrélation avec les performances de l'entreprise


Ce n'est pas la Bourse qui est mauvaise; seulement une petite partie de celle-ci.

Pierre L écrivait:
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> "Inutile de sortir de la théorie"
>
> Il n'y a pas de théorie, juste une réalité et
> une évidence.
>
> "pour la simple raison que les valeurs boursières
> ne sont pas convertibles,"
>
> Je viens de vous expliquer que toutes les valeurs
> boursières sont convertibles et représentent un
> actif constitué de biens réels et concrets
> susceptibles d'être vendus

Vous n'expliquez rien, l'explication est hors de vos compétences ....
La question concerne la représentation des valeurs boursières dans la communication journalistique,
Il ne s'agit pas de s'opposer à un modèle, mais à le relativiser ....

> Evidemment, comme pour les billets de banque, si
> tout le monde vend en même temps les valeurs
> s'effondrent

Et bien non, on ne vend pas des billets de banque, on les échange sur des bases convenues ...

> Mais c'est idem pour l'immobilier, les forêts ou
> quoi que ce soit d'autre.

La baisse éventuel d'un marché immobilier ne change pas la dimension des bâtiments, ce n'est donc pas comparable ...

> "toutes les crises montrent que ces valeurs sont
> virtulles"
>
>
> Vous confondez avec la spéculation et les bulles
> spéculatives ( se rappeler l'excellent film "le
> Sucre") Effectivement, on est dans le virtuel,
> car, même si la tonne de sucre existe bel et bien
> et est négociable, personne n'en demandera
> livraison. Mais cela n'est plus la Bourse mais
> s'apparente aux jeux de la FdJ

Je ne confonds rien, la capitalisation des GAFAM le fleuron de la bourse mondiale n'est pas convertible ...

> Dans ce que vous appelez virtuel , vous confondez
> avec les actions sur cotés

Je ne confond rien, j'observe ...

> Amazon, Tesla ont des valeurs d'actions totalement
> spéculatives; l'entreprise peut enregistrer des
> pertes colossales et ses actions peuvent atteindre
> des sommets; c'est du pur pari qui s'apparente au
> jeu de la barbichette: il y aura quelques gagnants
> et beaucoup de perdants .... quoiqu'il ne soit pas
> sûr que les perdants perdent autant que cela.

Mais ce sont ces valeurs qui misent en avant permettent aux pisses copies de titrer que 1% de la population détient 50% des richesses mondiales ...

> En revanche, si vous achetez des actions de l'Air
> Liquide (excellent placement) vous ne gagnerez pas
> le gros lot mais vous percevrez des dividendes
> régulièrement en corrélation avec les
> performances de l'entreprise

Je n'achète pas d'action, principe No1

> Ce n'est pas la Bourse qui est mauvaise; seulement
> une petite partie de celle-ci.

Je ne dis pas que la bourse est bonne ou mauvaise,
En fait je m'en fous, j'essaye de me tenir à l'écart,
Je dis simplement que je déteste le populisme plaqué sur la Bourse, je trouve cela très dangereux ...

"Je ne dis pas que la bourse est bonne ou mauvaise,
En fait je m'en fous, j'essaye de me tenir à l'écart,
Je dis simplement que je déteste le populisme plaqué sur la Bourse, je trouve cela très dangereux"


Effectivement le populisme plaqué sur la Bourse est dangereux et alimente tous les fantasmes.

Vous avez raison de vous tenir à l'écart (je fais de même et je ne place pas mes économies en Bourse)

Mais ne vous lancez pas dans des explications complètement farfelues.

Pour la compétence, j'ai la compétence suffisante pour relever les approximations.

La bourse ce n'est pas les GAFAM et heureusement; il est vrai que le jour où il y aura une rude correction sur les GAFAM ce sera encore une nouvelle crise cyclique.

Mais sur 50 ans le rendement moyen boursier a été de 6 % et de 9 % avec les dividendes; donc le meilleur placement

Ce qui toutefois ne m'incite pas à mettre ma retraite en Bourse préférant perdre 0.5 % de mes économies dans des placements dits "surs" que de les risquer à la Bourse car le creux de la vague peut faire très mal et je ne vais pas attendre 20 ans pour me "refaire"


.

Pierre L écrivait:
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> "Je ne dis pas que la bourse est bonne ou
> mauvaise,
> En fait je m'en fous, j'essaye de me tenir à
> l'écart,
> Je dis simplement que je déteste le populisme
> plaqué sur la Bourse, je trouve cela très
> dangereux"
>
>
> Effectivement le populisme plaqué sur la Bourse
> est dangereux et alimente tous les fantasmes.
>
> Vous avez raison de vous tenir à l'écart (je
> fais de même et je ne place pas mes économies en
> Bourse)
>
> Mais ne vous lancez pas dans des explications
> complètement farfelues.

Juste réaliste, il suffit de lire 2-3 bouquins ...

> Pour la compétence, j'ai la compétence
> suffisante pour relever les approximations.

Cela ne veut rien dire à part votre histoire de concours de bites ...

> La bourse ce n'est pas les GAFAM et heureusement;
> il est vrai que le jour où il y aura une rude
> correction sur les GAFAM ce sera encore une
> nouvelle crise cyclique.

Les GAFAM représentent une masse virtuelle hallucinante

> Mais sur 50 ans le rendement moyen boursier a
> été de 6 % et de 9 % avec les dividendes; donc
> le meilleur placement

Cette approche ne présente aucun intérêt

> Ce qui toutefois ne m'incite pas à mettre ma
> retraite en Bourse préférant perdre 0.5 % de mes
> économies dans des placements dits "surs" que de
> les risquer à la Bourse car le creux de la vague
> peut faire très mal et je ne vais pas attendre 20
> ans pour me "refaire"

Aucun rapport avec le propos ...
La retraite est un autre monde ... Qui ne règle pas la relation Riche/Pauvre ...

Je crois tout simplement que vous ne savez pas analyser les propositions des autres;

Vous les réduisez par le petit bout de la lorgnette

"Juste réaliste, il suffit de lire 2-3 bouquin"


C'est ce que je pense de la photographie; il me suffit de lire 2 ou 3 bouquins pour en savoir autant que vous; c'est d'une prétention à mourir de rire !


Aux étudiants il suffit de leur dire: "prenez deux ou trois bouquins" et vous en saurez autant que Nestor

C'est d'un ridicule affligeant !


"Cela ne veut rien dire à part votre histoire de concours de bites" (élégant !)


Si, j'ai passé pas mal d'examens semestriels en micro-économie, macro-économie, statistiques et finances publiques pour avoir un avis plus pertinent qu'un type hallucinant qui a lu "trois ou quatre bouquins" et qui débite des âneries au km dans ce qui n'est pas sa partie. ceci étant ma compétence en ce domaine est assez relative et je n'oserais pas avoir votre prétention un peu bêbête.

Aucun soucis; j'essayais de partager avec vous quelques notions élémentaires mais vous ramenez tout à votre vulgarité personnelle.

Clos pour moi avec Vous !

Pierre L écrivait:
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> Je crois tout simplement que vous ne savez pas
> analyser les propositions des autres;
>
> Vous les réduisez par le petit bout de la
> lorgnette
>
> "Juste réaliste, il suffit de lire 2-3 bouquin"

Pour savoir ce qu'est la Bourse, oui, bien sûr, un seul bouquin suffirait presque,
Il ne s'agit pas de devenir trader ou directeur de place de marché,
Mais de cerner les tenants et les aboutissants du point de vue du citoyen ...

> "Cela ne veut rien dire à part votre histoire de
> concours de bites" (élégant !)

Je corrige : concours de petites bites ...

>Clos pour moi avec Vous !

C'est mon vœux le plus cher ...

Effectivement, le noeux du problème est là.
"Lire 2-3 bouquins..."
Écrits par des pisse-copies ???.

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Tu pleures, et personne ne remarque tes larmes...
Mais pète, juste pour voir !
(Anonyme)

Ioury écrivait:
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> Effectivement, le noeux du problème est là.
> "Lire 2-3 bouquins..."

> Écrits par des pisse-copies ???.

Par des économistes qui savent faire passer le message ...

J’ai un peu une autre vision de la bourse. Celle-ci organise deux flux financiers :
1) vers l’entreprise qui vend des actions.
2) retour vers l’actionnaire qui reçoit les dividendes.
Aujourd’hui ce flux financier N° 2 est devenu le principal ressort de la société. Toute l’activité économique mondialisée tend vers le but : rétribuer l’actionnaire. Il s’en suit des sommes considérables prélevées dans la production et qui ne sont pas ré-investies dans l’entreprise où l'on baisse encore les salaires pour cause de crise, quand elle ne licencie pas, tout simplement. On attendra que ça ruisselle.
A un autre niveau, l’état, devenu néolibéral, conforte les marchés par des baisses d’impôts, modifie les lois travail et rêve que les caisses de retraites alimentent le marché.
Bien sûr la société civile regimbe un peu (gilets jaunes). A cet endroit le niveau culturel n’est pas épargné certains milliardaires ont justement investi le secteur : Niel= le Monde, Dassault= Le Figaro, Bolloré= Canal+….., malheureusement la foule d'experts convoqués laissent des traces. Dire que les flux financiers sont virtuels, que consommer est un problème, que la surpopulation cause la famine… Tout cela ne fait que divertir la réalité.
On peut se contenter de lire le titre accrocheur « Désormais, tout est culturel ! » je préconise plutôt de lire la dernière phrase de l’article en guise de conclusion : «  Les enjeux de la culture sont toujours politiques ; ses définitions et ses moyens aussi. »

Manifestement il fait chaud.

@Paul57

+1

paul57 écrivait:
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> J’ai un peu une autre vision de la bourse.
> Celle-ci organise deux flux financiers :

Je suis pas bien sûr que ce soit une autre vision ...
Mes remarques ont été déclenchées, non par l'existence de la bourse mais par les inepties qui concerne, en gros, les gains boursiers qui sont évidements virtuels, les fameux riches qui possèderaient 50 ou 80% des richesses mondiales, et les distribution de dividende du CAC40 qui ne sont que 50 milliards les bonnes années.
Et tout ce petit monde prêt à porter les riches à la potence, ne comprenant pas que les milliers de milliards des GAFAM n'existent pas ...
La richesse des riches et pauvreté des pauvres, ne sont pas comparable, car les outils de mesure sont spécifiques à chacun des ces deux monde, aucune comparaison sérieuse possible.

> 1) vers l’entreprise qui vend des actions.

Bien sûr, cette proposition est imparable

> 2) retour vers l’actionnaire qui reçoit les
> dividendes.

Oui bien sûr, et c'est normal

> Aujourd’hui ce flux financier N° 2 est devenu
> le principal ressort de la société. Toute
> l’activité économique mondialisée tend vers
> le but : rétribuer l’actionnaire. Il s’en
> suit des sommes considérables prélevées dans la
> production et qui ne sont pas ré-investies dans
> l’entreprise où l'on baisse encore les salaires
> pour cause de crise, quand elle ne licencie pas,
> tout simplement. On attendra que ça ruisselle.

Si le CAC40 redistribue 50 milliards d'euro dont 25 d'entre eux reviennent directement dans les poches de la collectivité,
Pendant ce temps là, la dite collectivité redistribue 1200 milliards d'euro, passer à 1225 milliards, en confisquant les dividende du CAC40, ne changerait rien, sauf à foutre la Bourse par terre, pas sûr que le jeu en vaille la chandelle.

> A un autre niveau, l’état, devenu néolibéral,
> conforte les marchés par des baisses d’impôts,
> modifie les lois travail et rêve que les caisses
> de retraites alimentent le marché.

Pour le moment, rien ne change, juste un peu d'enfumage ...

> Bien sûr la société civile regimbe un peu
> (gilets jaunes).

Le GJ c'est une autre affaire, être contre l'impôt alors que l'on en est un des premier bénéficiaire, il y a de quoi se marrer ...

> A cet endroit le niveau culturel
> n’est pas épargné certains milliardaires ont
> justement investi le secteur : Niel= le Monde,
> Dassault= Le Figaro, Bolloré= Canal+…..,
> malheureusement la foule d'experts convoqués
> laissent des traces.

Il est assez facile de passer outre le gang des milliardaires ...

> Dire que les flux financiers
> sont virtuels, que consommer est un problème, que
> la surpopulation cause la famine…

Les capitalisations boursières sont virtuelles, donc une partie des flux le sont aussi

> Tout cela ne
> fait que divertir la réalité.

La réalité existe-t-elle ?
Il faut simplement lui donner réalité ...

> On peut se contenter de lire le titre
> accrocheur « Désormais, tout est culturel
> ! » je préconise plutôt de lire la dernière
> phrase de l’article en guise de conclusion :
> «  Les enjeux de la culture sont toujours
> politiques ; ses définitions et ses moyens
> aussi. »

La politique étant l'organisation de la vie de la cité, tout est politique ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/07/21 20:00 par Nestor Burma.

Nestor Burma écrivait:
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> La politique étant l'organisation de la vie de la
> cité

Il s'agit bien de cela dans l'article si mal cité, article qui se termine par une citation d'Hannah Arendt sur l'entre-appartenance de la culture et de la politique. Citation extraite de du recueil La crise de la culture, où culture et pensée sont confrontés à la rupture avec la tradition et la crise de l'éducation relevant du politique. Crise qui, comme le soulève l'article, est au cœur du problème.

"les milliers de milliards des GAFAM n'existent pas .." ( ils ont construites leurs fusées et leurs entreprises avec des bons de réduction trouvés dans les paquets de lessive )


Il y a eu le point Godwin sur les dérives du net

Maintenant il y a le point Gaud ...pour mesurer le temps mis pour sortir une connerie qui dépasse les 1244 Km/h avec un C..


Les cours d'économie de Nestor, c'est un grand moment; Chut .... un silence religieux s'impose ........


Encore ! Encore !

Pierre L écrivait:
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> "les milliers de milliards des GAFAM n'existent
> pas .." ( ils ont construites leurs fusées et
> leurs entreprises avec des bons de réduction
> trouvés dans les paquets de lessive )

Justement les GAFAM n'y arrivent pas et ne cessent de pleurer pour capter de l'argent public,
Ils savent bien que la Bourse ne peut en aucun cas servir de planche à billets,
Le contribuable Américain semble beaucoup plus solide et plus enclin à céder ... ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/07/21 21:32 par Nestor Burma.

Vous avez raison ce sont des pompes à finance; Je ne nie pas le coté artificielle des actifs, mais tant que cela tient c'est un carburant pour l'économie.

Bien sûr il y aura dans une temps indéterminé une sévère correction, mais l'économie a besoin de ces cycles avec ses dépressions.

Le marché boursier Chinois est beaucoup plus "exemplaire" et sain; il faut dire que le milliardaire qui spécule trop est condamné à mort; c'est efficace pour lutter contre les bulles spéculatives. On ne s'embarrasse pas d'un contrôle fiscal, on l'exécute pour cause de bigamie.

Mais voyons autrement la fortune des riches



Pour une mise en perspective

le 5° des bénéficiaires du Cac 40 (Bettencourt) ne perçoit que les revenus totalisés des 5 meilleurs sportifs) ce qui est peu pour une fortune évaluée à 71 milliards

je cite :

"La petite-fille du fondateur et sa famille contrôlent en direct et via leur holding Thétys 33 % du n° 1 des cosmétiques (CA : 26,9 milliards). La famille, très présente au conseil d’administration de L’Oréal, a également investi au fil du temps plus d’1 milliard à travers ses fondations dans la recherche scientifique, la santé, l’éducation… et la restauration de Notre-Dame de Paris.et s’est lancé dans un vaste programme d’investissement dans la santé (Sebia, Elsan) et l’éducation (Galileo)."




C'est du Virtuel !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/07/21 21:28 par Pierre L.

Le fabricant français de bouchons et tonneaux Oeneo (+1,64% à 12,40 euros) a vu son chiffre d'affaires progresser de 33,2% au premier trimestre de son exercice décalé 2021-2022, à 77,1 millions d'euros.

Dassault Aviation bondit
[www.lefigaro.fr]
Le constructeur aéronautique français a vu son bénéfice net et ses ventes se redresser au premier semestre, le chiffre d'affaires dépassant même son niveau d'avant la crise du Covid-19 grâce au succès de l'avion de combat Rafale à l'export. Le titre Dassault Aviation bondissait de 7,33% à 1.040 euros.

"Le marché boursier Chinois est beaucoup plus "exemplaire" et sain; il faut dire que le milliardaire qui spécule trop est condamné à mort; c'est efficace pour lutter contre les bulles spéculatives. On ne s'embarrasse pas d'un contrôle fiscal, on l'exécute pour cause de bigamie".

Je ne comprends pas que l'on puisse écrire ça. Vous confondez avec les règlements politiques dans un régime totalitaire, dont l'arbitraire (pour qui est étranger à ce genre de bisbilles) le rend justement particulièrement malsain.

Renseignez-vous sur ce qui se passe en ce moment avec les applis de fret, ou bien le concurrent d'Uber, ou bien encore les applis éducatives, c'est édifiant. Tout ceci sous couvert de la loi sur la sécurité nationale ou cybersécurité.

Sans compter - mais elles n'en n'ont pas l'apanage, il est vrai- les malversations comptables et l'opacité des comptes de nombre de sociétés. Au point qu'aux US, certains demande leur retrait de la cotation à Wall Street.

C'est vraiment le dernier marché où je mettrais du pognon.

Marc

C'est de l'humour Noire et cynique

Bon allez dépêchez vous on arrive à la fin du mois et notre hôte va nous annoncer les nouveautés du mois d"août.
Un grand moment de rigolade que ces cours d'éco du bar de la marine entre l’archevêque du chardonnay et le capitaine du pitalugue.
Vous reprendrez l'été prochain, à l'an que ven.

Andge écrivait:
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> Bon allez dépêchez vous on arrive à la fin du
> mois et notre hôte va nous annoncer les
> nouveautés du mois d"août.
> Un grand moment de rigolade que ces cours d'éco
> du bar de la marine entre l’archevêque du
> chardonnay et le capitaine du pitalugue.
> Vous reprendrez l'été prochain, à l'an que ven.

Et dans le rôle du bouffon ?!?

Pour discuter…

Je suis le « grand public », avec un petit plus concernant la photographie, dans son aspect technique. Comme l’ébéniste qui visiterait le Musée des Arts Décoratif.
Je n’ai pas, non plus, fait les Beaux Arts, et je ne suis pas « critique d’art ».

Au premier abord, j’ai été très intéressé par l’article de Peyre, à chaud.
À froid, après digestion: un peu donneur de leçons aux donneurs de leçons, mais j’ai continué à pencher de son côté.

Je comprends très bien le choc qu’il a ressenti en découvrant dans son cher et beau village cette intrusion non raisonnable.
On n’imagine pas, par exemple, (j’espère) que Les Baux de Provence puissent être utilisés comme théâtre de ce genre d’exposition.

Oui, les grilles du Luco sont plutôt à l’origine cette pratique, « vous n’allez pas à la photo, mais la photo va-t-à vous ».
Je dois reconnaitre que ça ne m’avait pas choqué que ça « masque » ce beau jardin, que tout parisien de longue date, qui passe rue Médicis, connait depuis longtemps et peut admirer à loisir, comme un touriste, en y entrant, tout simplement…
D’autant qu’en général, les tirages sont d’assez bonne facture, vitrine parisienne oblige.

Pour ce qui concerne Rochechouart, que je ne connais pas, mais qui semble très beau sur les photos de google, je mesure la consternation visuelle de Peyre :
Situation incongrue dans la perspective du paysage.
Tirages de très mauvaise qualité sur des bâches mal tendues. Comme une promo Carrefour…En pire.

Pour résumer mon point de vue:
Un de mes dadas concerne la qualité des tirages, qui est la finalité finale d’une photo.
Je ne pense pas que ce soit promouvoir la photographie auprès du « grand public » en lui montrant d’excellentes photos tirées sur des bâches ( mais quand c’est bien fait, ça peut être bien ) mal tendues et mal positionnées.
C’est de l’ « à peu près » …Ça ira bien comme ça, et c’est pas cher.

Non, ça la dessert.
Je ne sais pas ce qu’en pense Reza, en son for intérieur. Content et flatté qu’on l’expose, mais pas satisfait de la qualité, sans le dire?

Moi, j’aime bien regarder une expo dans une présentation qui la met en valeur. Respectueusement.

La "philosophie" sur la politique et l'argent, c'est un autre sujet ...

Je suis un vieux con, mais comme disait Wolinsky, les jeunes le sont encore plus!