Arles 2014, l'expo caca !!! Ai-je dit caca ? :

ce bon vieux xénophon...on pourrait rajouter elafos eplen .



Modifié 2 fois. Dernière modification le 01/08/14 01:03 par jan.

Zoran écrivait:
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> Le jugement en art est une qualité, pas un
> défaut, le temps ne juge de rien, il fait son
> travail de vieillissement. Le jugement est
> simplement ce qui précède le plaisir
> d'apprécier pleinement ou non une œuvre.

Avant d'entamer ce type de raisonnement autour d'une œuvre, il faut plus simplement savoir aborder les sujets qui peuvent présenter un certain intérêt et non pas se lamenter à longueur de forum sur le paradis perdu, le c'est plus comme avant etc etc ...

Nestor Burma écrivait:
-----------------------------------------
> Zoran écrivait:
> ---------------------------------------
> Avant d'entamer ce type de raisonnement autour
> d'une œuvre, il faut plus simplement savoir
> aborder les sujets qui peuvent présenter un
> certain intérêt

Drôle de remarque pour quelqu'un qui encourage d'abord à ne pas regarder ;-)


non pas se lamenter à
> longueur de forum sur le paradis perdu, le c'est
> plus comme avant etc etc ...

Mauvais procès.
Je n'ai pas lu la moindre intervention sur ce fil qui regretterait un temps passé, en art il y a des attitudes simultanées au même moment qui s'opposent parfois sans engager forcément le passéisme.

Zoran écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
> -----------------------------------------
> > Zoran écrivait:
> > ---------------------------------------
> > Avant d'entamer ce type de raisonnement autour
> > d'une œuvre, il faut plus simplement savoir
> > aborder les sujets qui peuvent présenter un
> > certain intérêt
>
> Drôle de remarque pour quelqu'un qui encourage
> d'abord à ne pas regarder ;-)
>
>
> non pas se lamenter à
> > longueur de forum sur le paradis perdu, le
> c'est
> > plus comme avant etc etc ...
>
> Mauvais procès.
> Je n'ai pas lu la moindre intervention sur ce fil
> qui regretterait un temps passé, en art il y a
> des attitudes simultanées au même moment qui
> s'opposent parfois sans engager forcément le
> passéisme.


Alors apprends à lire et n'hésite pas à relire tous ces fils à la con,
Aucun réflexion à part je me sens en droit de tout critiquer de façon passéiste,
Même si tout cela n'a aucune importance,
C'est juste une façon de prendre les gens pour des cons,
C'est donc sans le moindre intérêt.

Et pour les lampes de poche, tu conseilles quoi ?
Une frontale HMI, y a des trucs d'enfer pour examiner des tirages en se moquant éperdument du DA.

ce bon vieux xénophon...

J'ai quelques doutes sur le fait que ce texte potachique qui faisait rire au siècle dernier (comme c'est loin, tout ça) soit authentique.
Mais si vous avez une référence précise à Xénophon, à propos de cette ville qui ne fut pas prise parce les augures disaient des choses mauvaises, je suis preneur !

E.B.

Nestor Burma écrivait:
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> Alors apprends à lire et n'hésite pas à relire
> tous ces fils à la con,
> Aucun réflexion à part je me sens en droit de
> tout critiquer de façon passéiste,
> Même si tout cela n'a aucune importance,
> C'est juste une façon de prendre les gens pour
> des cons,
> C'est donc sans le moindre intérêt.
>

Nestor, les gens pensent ce qu'ils veulent, regardent comme bon leur semble, c'est comme ça, brandir tes interdictions ne sert à rien.

> Et pour les lampes de poche, tu conseilles quoi ?
> Une frontale HMI, y a des trucs d'enfer pour
> examiner des tirages en se moquant éperdument du
> DA.

Je ne conseille rien en général, au musée De Chalon sur Saone certains tirages sont trop fragiles pour être montrés en plein jour, le conservateur les montre à la lampe de poche justement. Le principe en lui-même n'est donc pas absurde ;-)
Je n'ai pas vu l'expo de Arles dont tu parles, mais vu d'ici ça évoque cette mode de proposer au public de faire des expériences psycho sensibles, personnellement ça ne me choque pas plus que les piscines de ballons gonflables, toboggans et autres divertissements qu'on a pu voir dans beaucoup de musées. Cela peut présenter un intérêt pour des gens blasés, ou pour lesquels regarder est trop fatiguant.

<<Nestor, les gens pensent ce qu'ils veulent, regardent comme bon leur semble, c'est comme ça, brandir tes interdictions ne sert à rien.

Je ne vois pas d'interdiction dans mes interventions,
Les juges sont lassants et tellement prévisibles.

Nestor Burma écrivait:
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> Les juges sont lassants et tellement prévisibles.


Quand on a les idées claires et que l'on sait où l'on va, la plupart du temps on est effectivement prévisible, c'est logique. Cela peut être lassant pour certains, comme les girouettes qui tournent avec le sens du vent, je comprends. Ils ne sont cependant pas démunis, la moraline est faite pour eux, elle les accompagne en toutes circonstances ;-)

Zoran écrivait:
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> Nestor Burma écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Les juges sont lassants et tellement
> prévisibles.
>
>
> Quand on a les idées claires et que l'on sait où
> l'on va, la plupart du temps on est effectivement
> prévisible, c'est logique. Cela peut être
> lassant pour certains, comme les girouettes qui
> tournent avec le sens du vent, je comprends. Ils
> ne sont cependant pas démunis, la moraline est
> faite pour eux, elle les accompagne en toutes
> circonstances ;-)

A lire les fils en question, aucune idée claire, aucune question digne de ce nom,
Juste de l'aigreur, l'aigreur des laissez pour compte,
Ce n'est pas l'idée que je me fais d'une direction que l'on puisse donner à sa vie, ou à son travail.

Tu as beau mettre des smiley, je ne vois pas de rire, juste de l'aigreur.

> Tu as beau mettre des smiley, je ne vois pas de
> rire, juste de l'aigreur.

Mais c'est la tienne que tu projettes ici, tout est dans ton expression, il suffit de te lire. (Sans smiley).
Tu étales ton insatisfaction en te plaignant de la pauvreté des échanges auxquels tu participes activement (avec smiley), et oui c'est drôle.

Zoran écrivait:
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> > Tu as beau mettre des smiley, je ne vois pas de
> > rire, juste de l'aigreur.
>
> Mais c'est la tienne que tu projettes ici, tout
> est dans ton expression, il suffit de te lire.
> (Sans smiley).
> Tu étales ton insatisfaction en te plaignant de
> la pauvreté des échanges auxquels tu participes
> activement (avec smiley), et oui c'est drôle.

Il ne s'agit pas de pauvreté,
Je ne parle pas de cette façon,
Je dis juste que ce type d'échange ou les internantes, tous d'accords, ne relève pas de la photographie,
Mais sans doute du divan du psy,
Il y a surement des évènements intéressant dans le vaste monde,
Mais il faut impérativement se lamenter sur les commissaire d'exposition, les expo "ratée", les DA sans culture et le copinage sans fin (mais dont aimerait bien faire partie),
Et aussi toutes les petites misères que nous apporte le capitalisme, sans oublier que certains envient les intermittents qui ont des moyens de se faire entendre.

Les GPistes ont eux aussi un mur des lamentations, cela ne me semble pas de bon augure.

Les commissaires d'expos se revendiquent artistes, alors pourquoi ne seraient-ils pas l'objet de critiques comme Yab ou Depardon, eux-mêmes commissaires à leurs heures ? Je suis d'accord sur le fait qu'on puisse se désintéresser complètement de ces petits jeux, et ne se consacrer qu'à l'expérience du regard, pour ma part c'est ce qui me passionne. Et sur ce point je ne suis pas d'accord avec tout le monde ici, pour moi la seule chose qui compte est ce qui est présenté, c'est tout, le contexte, les murs de Arles ou le hall de mon immeuble, c'est pareil.
En photographie, le type réductioniste défendu par Kessels connaît du succès, mais ce n'est pas le seul, beaucoup de choses de qualité en ont beaucoup plus que ses propositions. Il y a suffisamment d'alternatives pour ne pas éprouver l'aigreur dont tu parles. À moins que tu n'évoques une aigreur personnelle liée à mon parcours. Dans ce cas sois rassuré, la vie n'a pas été méchante avec moi, me plaindre serait indécent. Mais je n'aime pas qu'on méprise les invisibles en prétendant qu'ils n'existent pas au motif qu'ils n'ont rien accroché, qu'ils ont par conséquent le devoir de taire leurs critiques, et de ne pas regarder ce qui "brille". Pas besoin d'un psy pour dire que c'est très bête comme point de vue.

Ce dernier message me semble très différent de la tonalité générale ce fil,
Je suis plutôt d'accord avec ce qui est dit (même si cela n'a aucune importance).

Ce qui me semble absurde c'est " d'attaquer " les visibles sans consistance pour prétendre défendre les invisibles,
Pour défendre les invisibles, il suffit de se mettre à leur place et jouer au commissaire d'expo avec une autre approche,
Certainement pas en critiquant des fadaises.

Pour Yab ou Depardon, ce sont des People, on a donc tous les droits, ils ont choisi la lumière, ils en payent le prix, c'est juste un jeu.

me serais-je fait enfumer par mon très sévère prof de latin grec de quatrième Monsieur Sérré (accessoirement prof de Français aussi)??? en effet je croyais qu'elle était attribuée à Xénophon dans l"anabase ... quelle déception , Merci Emmanuel .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/08/14 10:02 par jan.

je croyais qu'elle était attribuée à Xénophon dans l"anabase .

S'il en est bien ainsi, il devrait être possible retrouver la citation et créditer Xénophon sur des bases solides !
Bonne .. chasse ;-)

E.B.

Bonne .. chasse ;-)
comme ça on ne change pas de domaine ;-.))
je crois après avoir superficiellement vérifié que c'est une légende urbaine ...
je suis un peu trop occupé en ce moment pour relire toute l'anabase en VO surtout que mon grec s'est évaporé
Salutations de Denver au pied des rocheuses, ville fort agréable ma foi.

'' Je suis curieux de connaître les rouages qui permettent de sélectionner une oeuvre artistique dans le cadre d'une manifestation publique '' s'exprimait sur ce forum, AlexL.

La première chose à connaître est : qui est l'interlocuteur culturel et en même temps décideur, auquel je m'adresse pour soumettre mon travail photographique. C'est une première étape. Pour Arles, cela pourrait être le Directeur du Festival.

Qui est-il ? Quel est sa pensée sur le monde, le monde artistique de préférence ? Quelles options artistiques va-t-il prendre ? Quel est son point de vue sur la photographie?

Pour être concret, voilà son interview datant de février 2013 :

- Quel est votre métier ?

François Hébel : Directeur des Rencontres de la photographie d'Arles.

- Dernière programmation pour vous cette année à Arles; quel bilan tirerez-vous de ces années consacrées aux Rencontres ?

FH : Une période passionnante où nous avons réussi avec de nombreux commissaires internationaux, à élargir la curiosité du public pour des genres très variés de la photographie, sans prendre en compte la valeur commerciale.
Grâce à cela, beaucoup d'emplois directs et indirects ont été crées à Arles.

- Pourquoi ce départ ?

FH : Pour rester libre.

- Quels sont vos projets pour la suite ?

FH : Il est trop tôt pour en parler *.

- Premiers contacts avec la photographie ?

FH : Certainement des albums de famille, un instamatic, puis le film BLOW UP.

- Quels sont les photographes qui vous impressionnent ?

FH : Tous, je trouve très courageux de choisir une profession artistique.

- Qu'est-ce qui vous passionne le plus dans la photographie ?

FH : Les photographes. Rencontrés aux quatre coins du monde, ils sont au coeur de leur société; les rencontrer est extrêmement enrichissant.

- Argentique VS numérique ?

FH : Il ne faut pas les comparer, ils s'additionnent pour élargir la palette des possibles.

- Faites-vous des photos ? De quel genre ?

FH : Bloc note.

- Quelle est l'activité qui vous permet de reposer vos yeux et de ressourcer votre esprit critique ?

FH : Changer de point de vue en s'imprégnant d'autres cultures, d'autres arts.

- à quoi sert un photographe ?

FH : Les artistes, pas seulement les photographes, ne sont pas des marginaux ainsi que certains le pensent par facilité. Ils sont au centre de la société et non à la marge. Ils la ressentent plus que d'autres, et tentent de la traduire pour mieux nous la faire comprendre, dans sa tragédie comme dans sa beauté.

- Quel conseil donneriez-vous à un jeune photographe ?

FH : De ne pas exposer trop tôt.

- Et la génération de demain... ?

FH : Gigantesque et populaire, plus libre des dogmes, certainement créative comme jamais auparavant.



et des questions subsidiaires :

- Quel (autre) métier auriez-vous aimé faire ?

FH : Avocat.

- Quel métier n'auriez-vous pas aimé faire ?

FH : Chômeur.

- Quelle est votre drogue favorite ?

FH : Le whisky irlandais.

- Qu'est-ce qui vous fait réagir le plus de façon créative, spirituellement, ou émotionnellement ?

FH : Tout.

- Qu'est-ce qui au contraire, vous met complètement à plat ?

FH : Rien.

- Quel bruit, quel son, aimez-vous faire ?

FH Am Em C G.

- Quel bruit détestez-vous entendre ?

FH : Am Em C G mal joué par moi.

- Quel est votre juron, gros mot, blasphème favori ?

FH : Administration de la culture.

- Avez-vous un objet fétiche, un porte-bonheur ?

FH : 4 enfants.

- En quoi aimeriez-vous être réincarné ?

FH : En singe.

- à quoi vous sert l'art ?

FH : Penser, voyager.



Bernard Birsinger Photographe.

* à la question posée à FH pour sa suite de sa carrière après Arles 2014....... voici la réponse donnée par lui-même rue Fanton, à Arles, en juillet 2014 : des missions photos, mais en Asie .

** merci à vous, Sandrine Fafet, pour votre interview de février 2013.

Bof,pas terrible ce boulot;uniquement l'équivalent du stade 3 ;ça manque de diversité...

(/[fr.wikipedia.org])

BBB m'a fait tellement peur avec Arles et ses expos terrifiantes, que finalement, par sécurité, je préfère rester rester au pays.

C'est pas chez nous qu'on verrait des expos provocantes.

E.B.

Cher Emmanuel,

Pour que les amateurs d'art de la Suisse toute proche, désertent la très belle vallée de la Loue et le musée d'Ornans qui vient d'être rénové, pour que les voisins de cette même vallée, les bisontins, restent terrés dans leur bunker bienveillant, il fallait rajouter cette critique faite à Gustave Courbet :

'' De quel accouplement fabuleux d'une limace et d'un paon, de quelle antithèse génésiaque, de quel suintement sébacé peut avoir été générée, par exemple, cette chose qu'on appelle Gustave Courbet ? Sous quelle cloche, à l'aide de quel fumier, par suite de quelle mixture de vin, de bière, de mucus corrosif et d'oedème flatulent a pu pousser cette courge sonore, cette incarnation du Moi imbécile et impuissant ? ''.


Bernard Birsinger Photographe.

A la une du Monde ,ce jour.
(/[www.lemonde.fr])

'' De quel accouplement fabuleux à.................. cette incarnation du Moi imbécile et impuissant '' :


Voilà ce qu'écrivait celui qui fut admis à l'Académie française en 1874 à propos de Gustave Courbet . Il s'agit bien des écrits d'Alexandre Dumas fils, romancier et auteur dramatique ( 1824-1895 ).


Bernard Birsinger Photographe.

bernard birsinger écrivait:
-------------------------------------------------------
> '' De quel accouplement fabuleux
> à.................. cette incarnation du Moi
> imbécile et impuissant '' :

Vous devriez être plus indulgent avec vous-même.

Blémia écrivait:
-------------------------------------------------------
> bernard birsinger écrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > '' De quel accouplement fabuleux
> > à.................. cette incarnation du Moi
> > imbécile et impuissant '' :
>
> Vous devriez être plus indulgent avec vous-même.


Blémia, de temps à autre, retrouve son humour décoiffant.

pardon pour le doublon ci-dessous



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/08/14 21:11 par romain.

Bonjour à tous,

cette image de Jos Houweling fait partie d'une série, la traiter isolément extraite de son contexte n'est peut être pas le meilleur moyen de s'interroger sur ce qu'elle signifie pour nous.

En quoi comparer cette image avec celles de Serano est éclairant? D'un côté un travail sur la merde, en studio, un arrangement, une nature morte, plus que morte... et très gros plan, photo tirées dans un format géant, un travail qui joue avec la provocation (pour ceux qui le sont encore avec ces images)

ici des images organisées en panneaux, une série d'éléments trouvées dans la rue, un travail uniquement basé sur la série, toute image du même thème présentée dans un même cadre (sonnette, banc, tricylce, rétroviseur au fenêtre...) la merde n'est vraiment pas le sujet central...

je n'ai pas pour autant aimé ce travail, commun, sans regard particulier, une simple accumulation des choses du monde urbain et graphiquement je n'ai pas été sensible aux compositions (contrairement à Kessels)

Pourquoi Kessels a-t-il choisi 4 ou 5 montages à tirer en grand alors que les autres (originaux peut être ) ont été présenté dans des cadres. Le montage ne dépassait pas les 30x40 (de mémoire)? et pourquoi a-t-il choisi le montage des merdes a été choisi pour faire parti des agrandissements.....? c'est tout le mystère et la magie du travail des commissaires d'expo avec ou sans les artistes!!

bonne journée à tous

Romain

Pour en savoir un peu plus sur cette expo [vimeo.com]

Art ou pas ?

Art ou pas ... à quel moment une photographie est-elle considérée comme ''oeuvre d'art'' ..... face au stade d'une ''reproduction mécanique'' ?

Par rapport au mot ''Art'', que nous dit Ambrose Bierce dans son fameux dictionnaire du Diable ?

Art : ce mot n'a pas de définition !!!


.... et on peut y raccrocher cette phrase :

Quand l'on parcourt le Musée Tinguely à Bâle que voit-on, en grand, sur un des murs de ce musée architecturé par Mario Botta :

'' J'ai toujours été anti-tout et surtout anti-art ou meta-art, ou merde à l'art ''. Jean Tinguely (1925-1991).


... et en nous rapprochant de la photographie, on peut se raccrocher à cette oeuvre là :


Oeuvre


C'est l'oeuvre d'un grand artiste d'origine alsacienne qui s'est pris de plein fouet le maccarthysme à son arrivée aux Etats-Unis, vers les années 1956-1957.


ART ou pas ?


Bernard Birsinger Photographe.

on peut se raccrocher à cette oeuvre là :

Ouf ! J'ai eu peur que l'appareil caricaturé par un fameux dessinateur qui n'habitait pas Bollwiller soit de format 4x4 cm ou supếrieur (on respire).

E.B.

Cher Emmanuel,

Avec votre carte des musées tri-nationale, vous pourriez lui rendre visite et cela gratuitement, mais les 6x6 sont interdits dans son musée. Pour vous consoler, vous pouvez toujours ramener cette oeuvre là, pour moins de 3 euros......... comme bien d'autres oeuvres. BBB

Je remarque au passage que le fait d'être obligé de s'exiler loin des cigognes n'est pas une obligation pour les artistes alsaciens à forte personnalité.
Tout au plus doit-on les exiler pendant un minimum de deux semaines annuellemet, dans le Grand Sud ; et ils reviennent très vite au pays, comme le poète,
plein d'usage et raison.

E.B.